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Histoire d'AMOUR IMPOSSIBLE

Histoire d'AMOUR IMPOSSIBLE

Les Ecrits de Tella

4.6
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Chapitres

<> Tonna une voix féminine très catégorique. << Mais c'est elle que j'aime et elle est la seule que je veux pour femme maman >> répondit son interlocuteur qui était son fils. << Elle ne te mérite pas, elle est une souillure pour le trône. >> Redit cette voix, cette voix de femme, de la reine à son fils << Tu n'en sais rien du tout ! >> Répliqua à son tour le fils, catégorique aussi cette fois-ci. << Tant que je vivrai elle ne sera jamais ta femme. >> Dit alors la reine comme promesse qu'elle faisait à son fils. << Excuse-moi mais tu rêves debout maman >> lui répliqua son fils avec empressement. << Prince !! >> avait-elle crié Malheureusement il était déjà sortit de la chambre en la laissant seule. Il s'agit de Prince RIFEL, le prince héritier du Royaume "ONOULOU". Il est tant pour lui d'accéder au trône royal mais pour cela il lui faut une épouse. Sa mère, la Reine Mélanie épouse RIFEL est contre corps et âme la jeune fille qu'il aime. Pour elle elle n'est pas l'épouse idéale. Entre l'amour maternel et l'amour de sa vie, lequel triomphera ? Jusque où sera prête à aller Mélanie pour ne pas voir cette fille, qu'elle qualifie de souillure épouser son fils ?

Chapitre 1 1

Je viens de terminer le travail que j'avais à faire pour aujourd'hui donc je décide de rentrer me reposer car depuis hier je sent mon corps très fatigué. Ce qui n'est rien que normal car je suis une machine du travail. J'appelle donc mon assistante:

<< Hortence ! >> Appela une voix d'homme.

<< Oui monsieur >> répondit celle prénommée Hortence.

<< Annule tout mes rendez-vous restants pour aujourd'hui, je rentre me reposer, je ne me porte pas bien. >> Lui dit son patron.

<< Compris monsieur. Prompte rétablissement à vous. >> Fit sa seule réponse.

<< Merci. C'est bon tu peux disposer >>

Elle ressortit de mon bureau et moi après avoir rangé mes affaires, je pris la direction du bureau de mon ami de tout les jours, Kris. Ah ! Je ne me suis pas présenté.

Je me nomme Prince RIFEL, fils d'Antony et Mélanie RIFEL. Je suis le prince héritier du Royaume d'ONOULOU. Mais bon je n'ai pas grandi dans mon royaume mais plutôt en Amérique. Et présentement je suis toujours en Amérique, en tant que le Directeur Générale de l'entreprise de la famille RIFEL. Voilà tout ce que je peux dire sur ma personnalité pour le moment.

Arrivé donc devant son bureau je cogne et ayant reçu la réponse d'entrer j'entre dans son bureau.

<< Tu as une tête de mort >> lui dit son ami Kris.

<< Parce que tu m'as déjà vu dans un cercueil n'est-ce pas ? >> Je lui répondis en lui lançant un bic que j'ai pris sur sa table de bureau.

<< Non ce n'est pas ce que je voulais dire >> répondit Kris en éclatant de rire

<< Ok je t'écoute donc >> dis-je en arcant un sourcil

<< Ta tête montre que tu ne te sent pas bien à moins ce que je me trompes. >> Dit Kris en m'observant bien

<< Pas du tout. Tu as parfaitement raison. Je rentre même pour me reposer. >> Lui repondis-je

<< Pour une fois tu acceptes d'accorder du repos à ton corps ! Jésus vas revenir aujourd'hui ! >> Dit Kris en pouffant de rire

<< Fou moi le camp. Ce n'est pas la première fois que je me repose donc arrêt. Bon bye je te laisse >>

<< Pense aussi à te trouver une petite amie c'est tout cela qui te rend ainsi >> répliqua Kris en prenant un air sérieux.

<< Tu as un problème. Je suis sexuellement actif je te rappel. Et même ce soir je pense me faire du plaisir de ce côté >> répliquai-je en riant.

<< Je ne parle pas de tes vides couilles, je parle d'une femme que tu vas épouser. >> Dit Kris très sérieux

<< Elle viendra. Bye >>

Et sur ces mots je me suis levé pour partir.

<< Fuit bien comme toujours >>

<< Je t'ai dis que ça viendra. Maintenant au revoir. >> Je répondis en lui faisant un large sourire

Là je suis sorti de son bureau, direction le parking pour entrer dans ma voiture. Bon j'ai un chauffeur et j'ai aussi des gardes. Que voulez-vous ? Je n'ai pas le choix. Les gardes je ne leur permet jamais de me suivre lorsque je veux sortir, ils restent à la maison mais le chauffeur lui il me conduit toujours mais cela ma mère n'en sait rien. Je n'ai fais la confidence qu'à mon père, ma mère n'aurait pas accepté si elle le savait.

Il vient de garer la voiture dans la cour de la maison. C'est une grande maison avec une grande cour. Elle possède un jardin qui n'est pas des moindre. Il y a une grande salon et un salon privé, la cuisine à l'américaine naturellement et deux chambre en bas. En haut il y a quatre chambres.

Tout ça pour moi seul? Et bien je ne vis pas seul, il y a les gardes, domestiques, trois aux filles à mon services aussi et une gouvernante. Ils sont tous des filles, femme et homme de mon royaume donc ils dorment dans la maison avec moi. Je suis descendu de la voiture

<< Bon arrivé mon prince >>

<< Bon arrivé mon prince >>

<< Merci, s'ils-vous-plait que personne ne vient me déranger à par une jeune fille qui viendra le soir c'est tout. >> Leur dis-je avant de prendre la direction de ma chambre.

<< D'accord mon prince. >>

Je n'ai jamais aimé tout ses protocoles mais je ne peux pas non plus leur refuser cela ils obéissent aux ordres de leur Roi. Je suis rentré dans ma chambre après une bonne douche, j'ai pris mon téléphone pour appeler la jeune fille en question:

<< Allô ! >>

<< Peux-tu passer chez moi ce soir ? Tu ne dors pas ici, c'est juste pour au plus 2 heures >> lui demandai-je en même temps qu'elle répondit au bout du fil.

<< Ok je serai là mais tu sais que cela ne me dérangerait pas de dormir là non plus. >>

<< Vient à 20h. A tout à l'heure. >>

<< Ok à tout à l'heure. >>

J'ai raccroché pour me reposer en pensant à ce qu'avait dit tout à l'heure Kris. Il s'inquiète pour moi et se demande quand est-ce que je laisserai mon coeur à une femme, une vraie femme qui pourra être mon épouse ? Pourtant je sent que cela ne saurait tarder. Si j'ai pas de petite amie ce n'est pas parce qu'une femme m'a brisé le coeur ou que je n'aime pas les femmes. Rien de tel, j'aime et j'apprécie les femmes.

D'ailleurs elles sont la vie donc je ne peux que les respecter c'est pour cela j'ai une très grande respect pour ma mère et pour la gente féminine. Si j'ai pas de petite amie c'est juste parce que je n'ai jamais le temps. Je suis tout le temps dans mon bureau, la tête dans le travail à la maison comme au bureau. J'ai eu deux à trois relations et je vous dis que je n'ai jamais le temps pour elles, j'oublie même des fois les rendez-vous qu'on programme ensemble pour se voir. Et au finale elle se fâche car pour elle je ne les aimes pas et je ne m'inclus pas dans la relation donc j'ai finalement opté pour cette solution. Me concentré sur le travail et avoir juste des filles pour le plaisir c'est tout. Mais je sent que le temps vient et je vais me trouver une femme. C'est sur ces mots que je me suis endormis.

Le soir....

<< Ko ko ko (coups donné à la porte) >>

Ce sont ces coups donner à ma porte qui m'ont réveillé ce soir. J'étais très fatigué apparemment. Et cela ne peut être que l'une des fille de maison:

<< Entrez >>

<< Merci mon prince. Désolé de vous déranger mais il y a une jeune fille qui vous demande. Je pense qu'elle est déjà venue ici deux fois. >> Dit la servante

<< Ah oui. Ok fait la entrer dans le grand salon et donne lui des amuse-gueules le temps que je descends >> je lui répondis.

<< Compris mon prince. Au fait elle est déjà dans le grand salon mais je ne lui avais pas donné les amuse-gueules. Maintenant j'irai le fais >>

<< Ok et dit la que je viens dans quelques minutes. >>

<< Ok mon prince. >>

Et elle sortit de ma chambre. Cela ne peut être que l'une des filles avec lesquelles je me fais du bien. Sûrement celle que j'ai appelé cet après-midi donc je me lève, entre dans la douche, prend une bonne douche et m'habille. Je porte un T-shirt simple et une short en bas et je descends la vois.

<< Enfin tu décides de descendre. >> Me lança t-elle en levant les yeux au ciel.

<< Bonsoir à toi aussi je me porte bien >> lui donnai-je comme réponse.

<< Pouffff.... épargne moi tes civilités. En passant tes amuse-gueules étaient bien j'aimerais les avoir. >>

<< La route est ouverte pour le supermarché ma chère >>

<< Toujours avec des réponses déplaisantes. Allez tu vas me prendre ça ? Dit oui s'il-te-plaît >>

<< Ok ok je vais te le prendre. Mais il y a assez d'amuse-gueules là donc dit moi ce qu'elle t'a servit. >>

Elle se leva et me montra ce qu'elle avait prit et après cela je lui dis:

<< Ok. Et si maintenant on allait au but pour lequel tu es là ? >>

<< Dans ta chambre ? >> Me demanda t-elle avec un regard malicieux

<< Ai-je déjà fait le sexe avec toi une fois dans ma chambre ? >> Lui demandai-je à mon tour très ferme.

<< Donc je n'aurai jamais le plaisir d'entrer dans ta chambre ? >> Dit-elle avec une voix de tristesse

<< NON >> dis-je fermement

<< Ok c'est comprit >> répondit-elle déçue

<< Allons donc dans une des chambres d'amis qui se situent à l'étage. >>

Elle me suivit sans plus pipé un seul mot. Certes je connais la valeur de la femme mais elle ce n'est pas ma femme pour qu'elle ait accès à ma chambre. Depuis qu'elle vient ici elle ne peut même pas vous dit la couleur de la peinture de ma chambre car elle n'y a jamais eu accès et elle n'y aura jamais accès.

Une fois dans la chambre d'amis je lui dis:

<< Et si tu te débarassais de tes vêtements pour te mettre en serviette ou juste dans tes lingeries de dessous pour me rejoindre sur le lit? >>

Elle ne répondit pas non plus, mais elle fit ce que j'ai dis. Une fois qu'elle mit pieds sur le lit, sans trop de préliminaire je m'introduis en elle. Après quelques minutes, je me retire d'elle satisfait :

<< Ahhhhhhhh parfait >> en me couchant sur le lit près d'elle.

<< C'est toujours ainsi avec toi, pas vraiment de préliminaire et tu ne penses pas trop à mon plaisir >>

<< Désolé ma chère mais ça a toujours été ainsi et tu sais que cela ne changera pas. Je n'y peux rien, c'est seulement le plaisir qui nous lie et non l'amour. >> Lui dis-je en lui caressant les cheveux de manière douce.

<< Tu es sur ? Moi je veux bien plus avec toi Prince >> dit-elle les yeux larmoyants

<< S'il en est ainsi donc ne vient plus ici. Et je ne vais plus t'appeler. Je déteste faire souffrir une femme. Toi et moi c'est le sexe et rien d'autres, je ne ressens rien pour toi. >> Fut ma réponse en la regardant droit dans les yeux.

<< Moi non plus au début mais maintenant si >>

<< Alors c'est la dernière fois que tu viens ici. Je vais t'envoyer les amuse-gueules par l'un de mes gardes. Bonne suite de soirée à toi. >>

Je me suis levé, avant de sortir j'ai déposé un chèque sur la petite table de chevet par loin du lit.

<< Prince !! >>

Je n'ai pas répondu mais je suis sortie tranquillement. J'aimais bien passer du temps avec elle. Elle est bonne au lit et s'entretient très bien, quelque chose auquel je veille d'ailleurs. On se fait du bien et je l'entretiens, tout ses besoins je suis là mais si cela dépasse cette limite, je ne peux continuer avec elle. Il y a certaines choses je ne peux le permettre qu'à celle que choisira mon coeur.

C'est ce que je me disais en ouvrant la porte de ma chambre pour y entrain. J'ai déjà déposé son argent là bas donc elle n'a pas besoin de me voir avant de rentrer chez elle. Mon chauffeur va la déposer, je prévoyais même lui offrir une voiture pour son anniversaire qui est même proche, elle vient de tout gâter. J'ai pris mon ordinateur de travail pour travailler et en même temps mon portable se mets à sonner.

Je le cherches et décroches:

<< Allô papa >>

<< Bonsoir mon fils >> me répondit Mr. RIFEL

<< Bonsoir père, mère et toi vous vous portez bien j'espère ? >>

<< Oui tout va bien mais tu dois prendre l'avion et revenir dans le royaume d'ONOULOU demain >>

<< Mais père je gère l'entreprise ici et demain c'est trop proche >> lui dis-je très surpris par ses dits.

<< Je t'informes , ce n'est pas une proposition. Le temps est venu pour toi de prendre le trône donc il faut que tu reviennes à ONOULOU. >>

<< Et l'entreprise ? >> Lui demandai-je

<< Une autre personne va en prendre soin. Ton ami Kris va en prendre soin et toi aussi tu iras là bas de temps en temps voir l'évolution avec lui. En plus d'ici tu peux travailler comme je le fais souvent pour surveiller tout ce que vous faites. >>

<< Ok compris père. Demain je descends. >>

<< Parfait. Et n'oublie pas, tu amènes presque tout tes affaires. Tu seras dorénavant plus à ONOULOU qu'à Bogota >>

<< Compris père ! >>

<< A demain fils >> dit-elle avant de raccrocher en me laissant perplexe !

Que se passera t-il une fois que le prince mettra ses pieds dans le Royaume d'ONOULOU ??

Continuer

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Cœur de Glace: Fragile Espérance

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5.0

Kalinda Mon cœur est comme du verre cristallin très fragile. Il se briserait à rien. Non. Je corrige! Il a déjà été brisé. Piétiné encore et encore par mes parents adoptifs et ma sœur cadette. Aussitôt que cette naissance miraculeuse est survenue dans la famille, de ma petite sœur adorée... Je n'étais plus la saveur du jour. Je n'avais plus le moindre intérêt. Papa! Maman! Pourquoi m'avoir adoptée, si c'était pour m'abandonner, de même que l'avaient fait mes parents biologiques avant vous? Je ne comprends pas! Je ne peux me battre. Je ne peux me défendre. Je ne dois même jamais m'agiter... plus que de raison! C'est ce que me disent mes parents adoptifs depuis toute petite! Parce que mon cœur est fragile. Eh oui, vous l'avez bien compris! En plus d'être si durement traitée depuis l'enfance... Je suis aussi atteinte d'une maladie chronique. Je ne peux en aucun cas m'agiter... ce qui risquerait d'aggraver ma situation. Je me suis donc enfermé dans le silence. Dans un parfait anonymat, acceptant la défaite contre ma sœur cadette encore et encore... Acceptant l'éloignement constant de mes parents, petit à petit... jusqu'à être reniée et chassée de ma propre maison! Acceptant l'abandon et le rejet si cruel de tous les gens qui m'étaient si proches! Acceptant aussi tous mes rêves brisés. Mais c'était avant qu'il entre dans ma vie... lui... cet homme qu'on dit pourtant si dur et si cruel avec le sexe faible! Lui dont les femmes disent à Orlando qu'il a un cœur de glace! Il est devenu ma rédemption. Mon jardin secret. Ma fragile espérance. Ma vie peut-elle vraiment changer? Le soleil peut-il entrer dans ma demeure? C'est le rêve très vivide que William Fairsight tente de me vendre quand je le trouve à mon chevet à mon réveil, dans cette chambre d'hôpital si froide et impersonnelle, et qu'il affirme que ma maladie n'est pas du tout incurable tel qu'on me l'avait laissé croire jusqu'ici. William Fairsight m'a redonné vie. Comment pourrais-je lui témoigner mon éternelle reconnaissance? «Épousez-moi!» ordonne-t-il d'une voix qui est sans appel. «Ma vie vous appartient.» lui dis-je alors, d'un seul souffle. Il est mon sauveur, mon libérateur. Même s'il désirait m'infliger les pires tortures imaginables, tout cela pour son plaisir personnel, je l'accepterais sans hésiter! Mais William Fairsight est-il vraiment ce sadique empli de cruauté que toutes ces femmes décrivent? Petit à petit j'apprends à découvrir que derrière cette façade très cruelle, se cache en fait un homme très tendre!

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