Roman sur fond de politique nationale, mais aussi internationale, 7798 prend comme point de départ le soir du deuxième tour de l'élection présidentielle française de 2022. Il s'agit comme pour tout roman de mettre en lumière des personnages divers, fictifs, comme le héros Vladimir Luknikoff, en se référant aussi à des personnages existants pour mettre des situations concrètes en perspective. L'auteur est persuadé de deux obligations majeures : la nécessité de réformer en profondeur la France, découlant aussi sur des modifications importantes au niveau européen d'une part. Et l'impossibilité de le faire en s'appuyant sur la solution du « en même temps par un seul individu et son mouvement politique », comme avec Emmanuel Macron et « La république en marche », mais en s'appuyant sur l'art du compromis d'autre part. À PROPOS DE L'AUTEUR Patrick Guillot, passionné par la politique au sens noble et même persuadé qu'elle est indispensable pour l'épanouissement du plus grand nombre, a été marqué par la tournure qu'a pris cette dernière dans le monde. Il décide alors de transposer ses réflexions, propositions et même certains cheminements dans ce roman.
Comment un masseur-kinésithérapeute s'improvise-t-il subitement écrivain, essayiste ou romancier ? Est-ce seulement un professionnel de santé ou un citoyen à part entière ?
Passionné par la politique au sens noble et même persuadé qu'elle est indispensable pour l'épanouissement du plus grand nombre, et ce depuis mon adolescence, soit avant 1980, j'ai été cueilli à froid en très peu de temps au printemps 2017. D'abord par l'arrivée surprise de l'amateur Emmanuel Macron et la remise en cause trop facile et surtout si injuste de tout un système pour mieux conquérir un pouvoir qui était alors à portée de mains. Par ailleurs, je m'étais investi depuis la fin du siècle dernier dans la défense et la promotion de ma profession, ce qui m'a conduit tout naturellement à exercer des responsabilités au sein de l'ordre professionnel des masseurs-kinésithérapeutes, sans vraiment compter mes heures, avec l'impression d'un travail plutôt bien fait, ce qui me laissait envisager de passer à l'étape suivante qu'aurait été la présidence d'un conseil ordinal départemental. Or, les élections de juin 2017 ont amené, comme pour les députés, un vent de dégagisme aveugle, qui fait fi de la valeur des gens et du bilan de chacun. Je n'ai pu alors m'empêcher de faire ce rapprochement entre les deux situations, tout en restant désœuvré assez brutalement. Une fois la passation de fonction ordinale réalisée, ayant été secrétaire général, j'ai eu l'idée de me pencher sur des problématiques essentielles de notre pays, auxquelles je suis très attaché depuis longtemps, allant des institutions à la réforme de la santé, en passant par la réforme de la formation, l'importance de la laïcité ou encore la nécessité d'une Europe fédérale !
Cela m'a amené à faire des recherches pour m'appuyer sur des bases solides et mieux organiser ma pensée, le risque essentiel étant de construire un mode de pensée et poser des solutions sur le papier qui seraient hors sol, alors que c'est ce que je reproche le plus à certains politiques, à l'instar de nos gouvernants actuels. Il s'en est suivi un travail de fond, qui pouvait s'apparenter à un essai, qui avait aussi des allures de programme politique, complet, avec échéancier, plutôt très étayé, mais avec quelle légitimité ? La légitimité existe finalement, puisque je suis un citoyen, doté de mes facultés intellectuelles, du moins jusqu'à présent, impliqué d'une autre manière que par la politique dans la défense de l'intérêt général et plus qu'intéressé par la politique depuis plus de quarante ans alors que j'en ai plus de cinquante ! Le réel souci m'est apparu avec un écrit, certes riche de réflexions, d'informations, de développements et de propositions, mais sûrement très imbuvable, donc ne pouvant toucher le plus grand nombre, alors que j'étais en train de me rendre compte que c'était plus que certainement l'effet recherché, et pas seulement m'occuper alors que je n'étais plus en responsabilité au sein de mon conseil départemental ordinal !
Nous étions alors au début de l'automne 2019, alors même que je venais de finir le montage vidéo d'un road-trip de 3 semaines aux USA et j'ai vaguement entendu parler d'un roman sur fond politique, ce qui a fait tilt immédiatement. Je me suis alors convaincu tout naturellement qu'il me fallait transposer mes réflexions, propositions et même certaines réflexions ou des cheminements dans un autre support qu'est le roman.
C'est ainsi qu'est né ce roman, qui commence le jour de l'élection présidentielle de 2022 et qui se finit en 2045. Il ne pouvait pas commencer avant, puisque ce serait illusoire de penser qu'il puisse y avoir un quelconque changement de cap avant, tant le président actuel s'est fait lui-même prisonnier de ses réformes et se trouve surtout dans une vraie incapacité à se remettre en cause, alors même qu'il a joué au pyromane ! Mais quand on est persuadé d'être le nouveau Napoléon !
Il se termine plus de vingt ans plus tard, du fait de l'importance du temps long, ce qui a souvent été oublié par nos politiques depuis des décennies, les actuels ne faisant pas exception, mais leurs aînés les y ont amenés, ne serait-ce qu'en raccourcissant le mandat présidentiel et plaçant l'élection présidentielle avant les législatives, faisant tout peser sur les épaules d'un seul homme. Mis à part peut-être 2007 avec l'élection de Nicolas Sarkozy, la dernière élection où le président a été élu pour ce qu'il proposait est celle de Jacques Chirac en 1995. Et en plus, il n'a pas fait ce qu'il avait programmé ! Et après : 2002, vote contre Jean-Marie Le Pen plutôt que pour Jacques Chirac ; 2007, possible défiance vis-à -vis de Ségolène Royal ; 2012 et un vote contre Nicolas Sarkozy plutôt que pour François Hollande et enfin 2017, encore un vote contre Marine Le Pen plutôt que pour Emmanuel Macron, ce dernier n'ayant visé que cette situation, d'où l'intérêt de la situation spéciale avec le dossier « Fillon ». Alors, il est facile d'imaginer ce que je pense des affirmations selon lesquelles les Français ont validé un programme et une politique du président élu quand on s'interroge sur les modalités d'une élection ! Qui peut encore croire qu'un seul Français vote pour l'intégralité d'un programme ! En 1981, si j'avais pu voter, je l'aurais fait en faveur de François Mitterrand pour l'abolition de la peine de mort et non pour la retraite à 60 ans.
La suite dans ce roman, afin de mieux comprendre mes réflexions, mes sentiments et ce que j'espère pour mon pays, le monde, les humains mais aussi ma fille et ses futurs enfants.
Chapitre 1 No.1
19/05/2022
Chapitre 2 No.2
19/05/2022
Chapitre 3 No.3
19/05/2022
Chapitre 4 No.4
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Chapitre 5 No.5
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Chapitre 6 No.6
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Chapitre 7 No.7
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Chapitre 8 No.8
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Chapitre 9 No.9
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Chapitre 10 No.10
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Chapitre 11 No.11
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Chapitre 12 No.12
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Chapitre 13 No.13
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Chapitre 14 No.14
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Chapitre 15 No.15
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Chapitre 16 No.16
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Chapitre 17 No.17
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Chapitre 18 No.18
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Chapitre 19 No.19
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Chapitre 20 No.20
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Chapitre 21 No.21
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Chapitre 22 No.22
19/05/2022
Chapitre 23 No.23
19/05/2022
Chapitre 24 No.24
19/05/2022
Chapitre 25 No.25
19/05/2022
Chapitre 26 No.26
19/05/2022
Chapitre 27 No.27
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Chapitre 28 No.28
19/05/2022
Chapitre 29 No.29
19/05/2022
Chapitre 30 No.30
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Chapitre 31 No.31
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Chapitre 32 No.32
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Chapitre 33 No.33
19/05/2022
Chapitre 34 No.34
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Chapitre 35 No.35
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Chapitre 36 No.36
19/05/2022
Chapitre 37 No.37
19/05/2022
Chapitre 38 No.38
19/05/2022
Chapitre 39 No.39
19/05/2022
Chapitre 40 No.40
19/05/2022
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