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fallait redonner aux différentes générations, notamment les plus jeunes et les plus anciens, ce qui pouvait être résumé pa
ce sur les moyens les mieux adaptés à son état, qu'il s'agisse d'entretien ou de maintien d'une autonomie la plus grande ou de compensation à la perte de celle-ci, l'accueil en structure ne devant pas être une solution de dernier recours, mais une solution optimisée, ce qui nécessite d'y mettre les moyens. Ces deux objectifs plus que louables ont en commun la nécessité d'une exigence absolue : exigence de proposer un enseignement totalement rénové, une formation adaptée de manière à permettre à tout un chacun de choisir un avenir pr
rise avait été une participation à hauteur de 85,41 %, ce qui restera un chiffre hors-norme, faisant déjà de cette élection un millésime exceptionnel, et ce à plus d'un titre. La très forte mobilisation des électeurs allait nécessairement donner plus de crédibilité aux résultats. Le frémissement des dernières semaines s'était retrouvé dans quelques évolutions de sondage, avec
t 9e, respectivement Nicolas Dupont-Aignan, Natha
moins qu'à la sortie des débats de la campagne le 15 ma
la candidate de 2017 pour les écologistes, mais surtout moins qu'aux eur
nd de plus de 5 points et en fait de presque 49% en plus, même si le chiffre ob
ortant à être battu, et ce dès le 1ertour, avec un effondrement, passant de 22% à 17,15%, certains pouvant dire que cela
uvel arrivé dans la politique, inconnu ou presque 6 mois avant et doubla
reste stable au regard des scrutins précédents, mais en recul relatif par rapport a
s de voix, mais aussi sur le taux de participation, celui-ci pouvant être à l'avantage de Marine Le Pen s'il est faible et plutôt en faveur de Vladim
. Puis son esprit ne pouvait faire autrement que s'attarder sur le cas d'Emmanuel Macron, président sortant, ayant réformé avec les bonheurs et déboires que l'on connaît, mais perdant dès le 1ertour. Cet homme, destiné à redevenir un personnage plus ou moins dans l'ombre, l'avait invité à célébrer l'armistice du 8 mai 1945 le matin même du second tour. Il avait bien évidemment accepté, touché par l'attention du président encore en exercice pour quelques jours, même si cela signifiait que son adversaire était elle aussi invitée. Le tableau n'était pas banal, puisque se trouvaient à proximité le président hôte de la cérémonie et le (la) successeur(e), le résultat n'étant connu que quelques heures plus tard. Si Marine Le Pen était très satisfaite d'être présente pour l'occasion, il en était de même pour Vladimir Luknikoff, avec le « je ne sais quoi » de retenue nécessaire liée à l'attente du scrutin, les visages de plusieurs membres de la macronie en disaient long sur les états d'âme : il y avait les fidèles des fidèles depuis les premières heures, très marqués par l'expérience malheureuse et ces derniers imaginaient sûrement qu'il n'y aurait pas d'avenir possible dans la politique, tant leur engagement auprès du président Macron semblait les condamner à retourner à leur type de