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ExtrĂȘme mĂ©chancetĂ©

ExtrĂȘme mĂ©chancetĂ©

Jessy Jessy

5.0
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12
Chapitres

<â€č Je suis nĂ©e ainsi, avec un coeur dur et je n'aime personne. Je n'ai jamais eu d'affection pour quiconque mĂȘme pas pour ma propre progĂ©niture. Je hais le monde dans lequel je vis, je n'aurai pas dĂ» naĂźtre. Le mieux pour cette folle Ă©tait qu'elle m'avorte. Je dĂ©teste tout le monde. Je ne sais pas s'il existe des personnes comme moi, d'ailleurs, je m'en fiche. Je me nomme Laura Bisseck, je vais vous conter ma toute petite histoire. â€șâ€ș

Chapitre 1 Chapitre 1

- Laura maman t'appelle !

- Moi: ( intérieurement ) : fiche moi le camp, cette femme n'est pas ma mÚre.

- Ti n'entends pas ce que je te dis ? Laura ! Lauraaaa !!!

-Moi: OUIII !!! C'EST QUOI ??? J'AI TRÈS BIEN ENTENDU ET J'ARRIVE !

- D'accord! age. Mais pourquoi tu cries sur moi comme ça ?

-Moi: ( hypocritement ) Non je ne crie pas sur toi hahahaha !!! C'est le seau d'eau ci qui me fatigue. Aide-moi s'il te plaĂźt.

Cette fille qui est ma cousine directe m'Ă©nervait tellement que j'avais envie de la tuer et jeter son corps dans un puits. Sa mĂšre qui est ma tante me traitait comme une esclave et me faisait travailler jour et nuit pendant que ses filles montent et descendent.

En fait, c'est faux! Ma tante m'aimaient beaucoup ainsi que son mari et ses enfants mais, moi je les dĂ©testais extrĂȘmement.

ArrivĂ©e Ă  la maison, je suis allĂ©e verser de l'eau dans les rĂ©cipients de la cuisine et je suis venue m'asseoir auprĂšs de ma tante en affichant mon plus beau sourire et faisant comme un petit chiot abandonnĂ©, pourtant dans mon cƓur c'Ă©tait autre chose.Si seulement elle pouvait lire dans mes pensĂ©es.

- Laura pourquoi tu as durĂ© lĂ -bas comme ça ? Je t'ai toujours dit d'arrĂȘter de trop travailler ma fille mais, tu ne comprends pas bref... Jevoulais juste te dire que tonton Marcel m'a dit qu'il souhaite que tu ailles vivre avec lui. Qu'est-ce que tu en penses ?

- Moi: ah je n'y vois aucun problĂšme !

- Marcel a beaucoup d'argent mais n'a pas fait d'enfants fille juste des garçons et il aimerait t'encadrer comme sa propre fille !

-Moi: D'accord mais vous allez beaucoup me manquer sniff... snifff... ( Ce n'Ă©tait que des larmes de crocodiles, elles n'allaient jamais me manquer ).

Ma tante m'avait expliqué que ma maman était folle, qu'elle avait été violée puis était tombée enceinte et m'avait conçu avant de mourir. Moi j'aurais aimé qu'elle meurt pendant l'accouchement et que je ne vienne jamais au monde mais hélas Dieu avait décidé autrement. Me faire naßtre dans ce monde dans lequel je n'aime personne. Je suis de nature trÚs calme, posée, observatrice et je suis trÚs aimée par mon entourage. Ils m'ont toujours traité avec tendresse et amour mais chez moi, c'est le contraire.

Je déteste ma tante, son mari et ses misérables enfants.Je me souviens quand j'étais petite, je faisais tout mon possible pour leur pourrir la vie et ça ne marchait jamais.Par exemple, sa premiÚre fille, le jour de son examen ( le probatoire ), j'ai caché son récépissé pour qu'elle rate son examen mais, malheureusement mon plan avait échoué.Son fils pour lui j'avais versé les remÚdes des souris dans sa nourriture mais, il n'avait pas mangé ça.

Pour ma tante et son mari, j'ai essayé de gùter leur mariage en vain, décidément ils étaient plus forts que moi.J'étais enfin contente de partir de cette maison mais avant, j'allais faire quelque chose dont, ils allaient se souvenir toute leur vie.

Dans la soirée, pendant qu'ils étaient tous concentrés à regarder la télé, je suis allée éteindre le conteur, ensuite je suis allée dans la cuisine verser le remÚde des souris dans la marmite de la sauce puis je suis allée m'asseoir comme si de rien n'était.

- Pourquoi chez les voisins il y'a l'électricité et pas ici ?

- Je suis trÚs étonnée comme toi également !

- Alex va vérifier si le conteur n'a pas sauté.

- Alex : D'accord papa.

Il est allée vérifier et remettre la lumiÚre. Pendant qu'ils étaient concentrés à bavarder, moi j'étais dans la chambre à faire mes sacs avec un énorme sourire sur les lÚvres.

AprÚs avoir fini, je me suis allongée directement et j'ai dormi comme un bébé. J'étais sûr qu'à mon réveil, j'allais voir le résultat mais non, plutÎt j'ai été trÚs surprise que ma cousine Josiane vienne me réveiller.

J'avais envie de piquer une crise ou de tordre son cou.

-Josiane : bonjour !

- Moi : ( regard furieux et ton sec ) bonjour !

- Josiane : pourquoi tu me regardes ainsi ?

-Moi : Non pour rien !

- Josiane : ok ! Maman t'appelle ! Pourquoi tu as dormi hier sans manger ?

- Moi: Je n'avais pas faim. Mais vous, vous avez mangé ?

- Josiane : Oui mais pas la sauce d'arachide lĂ  !

- Moi: Pourquoi vous n'avez pas mangé ça ?

- Josiane : Le chat de tantine Mouna a renversé la marmite.

- Moi: Hum ! Et qu'est-ce que vous avez donc mangé ?

- Josiane : Le poisson braisé, maman a gardé pour toi au frigo !

- Moi: ok ! J'arrive alors.

Elle est sorti et j'ai déversé toute ma rage et ma fustraction sur l'oreiller. Je me suis brossée les dents, puis je suis allée écouter ce que cette femme avait de si important à me dire.

J'Ă©tais enfin allĂ©e vivre chez mon oncle Ă  Édea. Lui Ă©galement je ne l'aimais pas, encore moins sa femme qui n'arrĂȘtait pas de sourire bĂȘtement comme une folle mais, je jouais Ă  la comĂ©die comme toujours.Chez mon oncle, j'avais ma chambre Ă  moi toute seule avec une douche Ă  l'intĂ©rieur. Il y'avait les employĂ©s Ă  la maison pour travailler et j'Ă©tais trĂšs contente.

Six mois aprĂšs, j'ai ratĂ© mon Probatoire encore pour une troisiĂšme fois et j'avais pleurĂ© ce jour jusqu'Ă .Josiane avait rĂ©ussi le BaccalaurĂ©at et devrait aller Ă  l'UniversitĂ©.J'Ă©tais sĂ»r que sa mĂšre y Ă©tait pour quelque chose, elle avait fait les remĂšdes sur moi pour que je sois bĂȘte Ă  l'Ă©cole et que ses enfants soient plus intelligents mais, je n'avais pas encore dit mon dernier mot sur cette affaire.

J'étais trÚs belle, un joli visage, bien brune, grande de taille avec les formes généreuses et une belle poitrine.

J'avais tout lĂ  oĂč il faut mais aucun garçon ne s'approchait de moi. J'avais toujours des envies de sexe mais, avec qui les assouvir ?

J'étais encore vierge et ça m'énervait trop.

J'ai donc commencĂ© Ă  faire tout mon possible pour sĂ©duire notre gardien, un vieux pĂšre qui travaillait uniquement en journĂ©e, la nuit c'Ă©tait une autre personne.Parfois, j'allais souvent dans son dortoir avec une robe transparente sans aucun sous-vĂȘtement pour lui demander de faire une fausse commission.Je voyais qu'il Ă©tait toujours en Ă©rection lorsqu'il me voyait dans cette tenue mais, il avait peur.

L'annĂ©e d'aprĂšs, je suis enfin allĂ©e en Terminale et j'avais dĂ©cidĂ© que si je rĂ©ussis Ă  mon examen, j'allais arrĂȘter l'Ă©cole et devenir enseignante car, j'avais toujours aimĂ© ce mĂ©tier. Mon oncle et ma tante me traitaient comme leur propres fille et finalement, j'avais desserrĂ© mon cƓur pour eux et aussi, je manipulais ma tante comme je voulais.

Des mois aprĂšs, un jour, il Ă©tait midi et je n'Ă©tais pas allĂ©e Ă  l'Ă©cole parce que j'Ă©tais fiĂ©vreuse. Je venais de regarder un bon film porno et j'Ă©tais hyper excitĂ©e. Je me suis masturbĂ©e avec mon oreiller et mĂȘme comme ça le problĂšme n'Ă©tait pas rĂ©solu. J'ai portĂ© une longue robe et je suis allĂ©e dans la chambre du gardien. Il Ă©tait allongĂ© sur le lit, dĂšs qu'il m'a vu, il s'est rapidement levĂ©.

- Madame a t'elle besoin de quelque chose ?

- Moi: Oui j'ai besoin urgemment que tu me baises !

- Pa... Par... Pardon ???

-Moi: oorrr arrĂȘtes de me perdre le temps ok ? LĂ  actuellement j'ai les fesses en feu, j'ai trĂšs envie.Je ne lui ai mĂȘme pas laissĂ© le temps de dire quoique ce soit, je me suis jetĂ©e sur lui comme une folle.

Il ne savait pas comment se comporter avec moi, il s'est rapidement dĂ©shabillĂ© et nous avons couchĂ© ensemble sans mĂȘme nous protĂ©ger. Ça ne m'avait mĂȘme pas trop fait mal comme mes camarades disaient, au contraire, c'Ă©tait trop bon.À chaque fois que j'avais envie de me satisfaire, j'allais toujours le voir, il n'Ă©tait pas du tout expĂ©rimentĂ© ni endurant comme dans les films lĂ .

À peine montĂ© sur moi et avoir fait juste deux va et vient, qu'il avait dĂ©jĂ  Ă©jaculĂ©.Pendant les grandes vacances, le fils de la mĂ©nagĂšre est venu vivre Ă  la maison avec sa mĂšre.

Il Ă©tait trĂšs beau et bien baraquĂ©. Je faisais tout mon possible pour le sĂ©duire et coucher avec lui mais, il ne me gĂ©rait mĂȘme pas, Ă  dire que j'Ă©tais invisible.Le vieux gardien Ă©tait toujours mon objet sexuel, j'allais toujours dans sa chambre dans la nuit aprĂšs avoir regardĂ© un bon film porno et c'est moi qui faisais tout parce qu'il Ă©tait trĂšs vieux et fatiguĂ©.

Mon oncle et ma tante ne soupçonnaient rien et d'ailleurs mĂȘme, je m'en fichais qu'ils soient au courant ou pas. Qu'est-ce que ça pouvait bien me faire ?

Je me baladais presque nue devant le fils de la mĂ©nagĂšre pour attirer son attention mais rien. J'ai fait tout mon possible pour qu'il me regarde mĂȘme juste un peu mais mĂȘme comme ça, c'Ă©tait peine perdue. Je suis donc entrĂ©e dans une colĂšre noire, j'avais envie de faire du mal Ă  quelqu'un pour me calmer mais qui donc ?

Finalement, j'ai dĂ©cidĂ© de me dĂ©barrasser de ce vieux gardien parce qu'il fallait ça pour ĂȘtre Ă  l'aise.Une nuit donc, je suis allĂ©e dans sa chambre comme d'habitudes et il dormait trĂšs profondĂ©ment.Je me suis dĂ©shabillĂ©e puis je suis montĂ©e sur lui et il s'est rĂ©veillĂ© en sursaut.

- Moi: Shutttt... C'est moi !

- Or mademoiselle je suis fatiguée

! Je n'ai plus de force ! Je n'ai plus l'Ăąge de faire ce genre de choses.

Je ne l'ai pas Ă©coutĂ©, dĂ©jĂ  que j'Ă©tais trĂšs remontĂ©e et en colĂšre. Je l'ai d'abord trĂšs bien attachĂ© des pieds et des mains, puis sa bouche pour l'empĂȘcher d'hurler.J'ai sucĂ© son engin et hop c'Ă©tait en Ă©rection. Je suis donc montĂ©e sur lui et j'ai commencĂ© Ă  le chevaucher avec toute la rage du monde jusqu'Ă  atteindre l'orgasme.

Je me suis retirée et je l'ai étouffé avec un oreiller jusqu'à ce qu'il meurt. Je l'ai rapidement détaché et je suis sortie en vitesse de sa chambre avec un sourire aux lÚvres et j'avais trÚs bien dormi cette nuit.Je n'y pouvais rien, c'était comme ça. Lorsque j'étais stressée et en colÚre, il me fallait impérativement faire du mal pour me calmer.

C'est aux environs de 12h que le gardien de nuit dĂ©couvre le corps de son collĂšgue et alerte rapidement tante.Sa femme et son fils ainĂ© Ă©taient venus chercher le corps et l'avaient amenĂ© je ne sais oĂč bref... cela ne m'intĂ©ressait guĂšre.

Trois semaines aprÚs, mon oncle et sa femme sont allés au village pour un enterrement, j'étais donc restée seule avec les employés. Un matin, j'ai demandé à la ménagÚre d'envoyer son fils dans ma chambre pour remplacer l'ampoule de la douche et elle a exécuté mes ordres.Je me suis déshabillée et j'ai porté un t-shirt transparent. Il a toqué et j'ai ouvert la porte trÚs sereine et calme.

- Moi: iIl y a l'ampoule de ma douche qui ne donne plus depuis hier nuit. Est-ce que tu as apporté une nouvelle ? Parce que j'ai enlevé celle qui était là hier ! -

- Oui !

- Moi: C'est bien.

Il est allé changer l'ampoule et moi j'ai verrouillé la porte puis j'ai retiré la clé.

- C'est bon, je l'ai remplacé. Vous avez besoin d'autres choses ?

- Moi: Oui j'ai besoin de toi. Pourquoi est-ce que tu m'Ă©vite s? Je ne te fais pas d'effets ? Je ne suis pas ton genre de fille ?

- Pffffff.

Il m'a poussée et est allé ouvrir la porte sauf que celle-ci était trÚs bien fermée.

- Moi: Gildas je suis amoureuse de toi et je t'aime comme une folle. J'ai retiré l'ampoule expressément juste pour...

- Gildas : Écoute -moi trĂšs bien Mademoiselle ! Tu ne m'intĂ©resses pas ok ? Tu n'es pas mon genre de femme encore moins mon style. Tu ouvres trĂšs rapidement cette chambre avant que je ne me fĂąche et que j'oublie que tu es la fille des patrons !

- Moi: Alors dans ce cas, viens toi-mĂȘme chercher cette clĂ©.

J'ai envoyĂ© la clĂ© au fin fond de mon vagin. Il m'a longuement regardĂ©, puis il m'a bloquĂ© au mur et a envoyĂ© ses doigts dans mon vagin pour retirer la clĂ©.C'Ă©tait trĂšs excitant pour moi, j'ai Ă©galement envoyĂ© ma main dans sa culotte et j'ai empoignĂ© ses testicules.Waouh ce gars a d'abord retirĂ© ma main, puis m'a administrĂ© une belle paire de gifles bien appliquĂ©e et je suis tombĂ©e sur le lit, c'Ă©tait ma premiĂšre fois d'ĂȘtre battue.

- Moi: Oui vas-y frappe moi mais aprĂšs tu me baises quand-mĂȘme...

- Gildas : Tu n'es pas normale !

- Moi: Oui je ne suis pas normale et c'est toi qui me rends folle.

Il m'a encore giflé, mon cerveau a bougé et j'ai failli m'évanouir tellement c'était douloureux. J'ai armé mon peu de force que j'avais et j'ai déchiré sa culotte. C'est à dire que j'avais creusé ma propre tombe.Il m'a sauvagement bastionnée puis m'a baisée comme jamais pendant deux heures de temps sans éjaculer.

J'avais passĂ© toute cette journĂ©e clouĂ©e au lit Ă  cause de la douleur mais est-ce ça avait alors empĂȘchĂ© quelque chose ?.Gildas ne m'aimait pas mais moi si, il Ă©tait ma drogue. Il me donnait le sexe brutal et Ă  volontĂ© et j'Ă©tais heureuse. AprĂšs insistance de mon oncle et ma tante, j'ai dĂ©cidĂ© de continuer l'Ă©cole. Je suis allĂ©e Ă  l'UniversitĂ© de Douala et aprĂšs ma Licence, j'ai arrĂȘtĂ© l'Ă©cole.

Gildas était à Yaoundé et il travaillait désormais. Lorsqu'il venait voir sa mÚre, lui et moi c'était le sexe à volonté jusqu'à ce que je tombe enceinte et je lui annonce la nouvelle.

-Gildas : Je suis trÚs heureux et je souhaiterai sque tu gardes ce bébé parce que je vais prendre mes responsabilités.

- Moi: Etmoi alors ?

- Gildas : Toi quoi ?

- Moi: Donc, tu ne comptes pas m'Ă©pouser ? Donc tout ce qui t'intĂ©resse c'est seulement l'enfant hein !? À dire que je ne compte que pour du beurre c'est ça ?

- Gildas : Oh tu baisses d'un ton avec moi ok ? Tu savais dÚs le début qu'il n'y aurait jamais de relation sérieuse entre toi et moi donc, ne viens pas jouer à la naïve avec moi. Je t'ai promis de reconnaßtre cet enfant et lui donner mon nom, l'aimet le chérir parce que je suis conscient d'avoir couché avec toi plusieurs fois sans protection.

- Moi: Si tu ne m'épouse pas, tu peux dire adieu au bébé crois-moi et je ne mùche pas mes mots !

- Gildas : Si tu oses avorter mon enfant, je jure sur la tĂȘte de mon pĂšre que je te tuerai de mes propres mains Laure. Toi Ă©galement tu sais que je ne mĂąche jamais mes mots donc, rĂ©flĂ©chis y avant de commettre cette bĂȘtise.

- Moi: C'est ce qu'on verra!

Est-ce qu'il savait mĂȘme qui Ă©tait Laura Bisseck ? Si j'ai essayĂ© Ă  maintes reprises de tuer toute une famille et tuer le vieux gardien ce n'est pas lui qui va me faire trembler. DĂ©jĂ  que je n'ai jamais voulu d'enfants dans ma vie. Et mĂȘme d'abord, qu'est-ce que j'allais faire avec un enfant sur le dos ? Pfffff!

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