Le diagnostic est tombé, brutal : mon fils Léo, six ans, souffrait d'une insuffisance rénale terminale. Le seul compatible ? Mon frère Sébastien. Mais il a exigé l'appartement, cent mille euros et 10% de mes parts. J'ai répondu : « Non. » Ce refus, c'était ma carapace. Ma femme, Chloé, a hurlé : « Tu es un monstre ! » Mon père, Louis, m'a traité d'« avare ». Aux yeux de tous, j'étais celui qui préférait l'argent à la vie de son enfant. « La vie et la mort sont une question de destin, » ai-je dit, un poignard dans chaque mot. Face à ma froideur, Chloé a menacé de divorcer. Mon père m'a rappelé mes sacrifices passés : « Ce gamin a bâti un empire. » Il ne savait pas à quel point il avait raison. J'étais un salaud, un homme sans cœur qui laissait son fils mourir. Puis, devant l'infirmière qui réclamait le paiement des soins, j'ai repoussé le formulaire, le laissant tomber au sol. Mon père m'a giflé, me traitant de « renégat ». Chloé s'est effondrée, hurlant : « C'est fini ! Je veux divorcer ! » « Votre carte a été bloquée, » a dit l'employée à Chloé, sur mon ordre. J'ai arraché sa dernière carte, celle de son compte épargne, son ultime espoir. Sébastien a insinué que Léo n'était peut-être pas mon fils, une calomnie glaciale. Chloé, brisée, m'a supplié à genoux : « Si tu m'as aimée un jour, fais-le ! » Un homme de la foule a crié : « C'est un monstre ! » Un autre a voulu me frapper, menaçant : « Vous allez lui rendre cette carte ou je vous jure que je vous fais regretter d'être né. » Dans la bousculade, Chloé a arraché la carte et couru payer. « Transaction approuvée. » Un soupir de soulagement a parcouru la foule. Mais j'ai dit, d'une voix basse et vide : « Ce n'est pas la peine. » « Tout cet argent, tout ce drame... pour rien. » J'ai regardé Chloé droit dans les yeux, et j'ai craché la vérité qui détruirait tout : « Léo n'est pas mon fils. »
Le diagnostic est tombé, brutal : mon fils Léo, six ans, souffrait d'une insuffisance rénale terminale.
Le seul compatible ? Mon frère Sébastien.
Mais il a exigé l'appartement, cent mille euros et 10% de mes parts.
J'ai répondu : « Non. »
Ce refus, c'était ma carapace.
Ma femme, Chloé, a hurlé : « Tu es un monstre ! »
Mon père, Louis, m'a traité d'« avare ».
Aux yeux de tous, j'étais celui qui préférait l'argent à la vie de son enfant.
« La vie et la mort sont une question de destin, » ai-je dit, un poignard dans chaque mot.
Face à ma froideur, Chloé a menacé de divorcer.
Mon père m'a rappelé mes sacrifices passés : « Ce gamin a bâti un empire. »
Il ne savait pas à quel point il avait raison.
J'étais un salaud, un homme sans cœur qui laissait son fils mourir.
Puis, devant l'infirmière qui réclamait le paiement des soins, j'ai repoussé le formulaire, le laissant tomber au sol.
Mon père m'a giflé, me traitant de « renégat ».
Chloé s'est effondrée, hurlant : « C'est fini ! Je veux divorcer ! »
« Votre carte a été bloquée, » a dit l'employée à Chloé, sur mon ordre.
J'ai arraché sa dernière carte, celle de son compte épargne, son ultime espoir.
Sébastien a insinué que Léo n'était peut-être pas mon fils, une calomnie glaciale.
Chloé, brisée, m'a supplié à genoux : « Si tu m'as aimée un jour, fais-le ! »
Un homme de la foule a crié : « C'est un monstre ! »
Un autre a voulu me frapper, menaçant : « Vous allez lui rendre cette carte ou je vous jure que je vous fais regretter d'être né. »
Dans la bousculade, Chloé a arraché la carte et couru payer.
« Transaction approuvée. »
Un soupir de soulagement a parcouru la foule.
Mais j'ai dit, d'une voix basse et vide : « Ce n'est pas la peine. »
« Tout cet argent, tout ce drame... pour rien. »
J'ai regardé Chloé droit dans les yeux, et j'ai craché la vérité qui détruirait tout : « Léo n'est pas mon fils. »
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