Le Refus qui Détruit Tout
est tombé comme un coup
nce rénale
c et stérile de l'hôpital, une sentence g
dans son lit, le visage pâle, trop petit pour un si gra
ots incontrôlables. Je la tenais contre moi, mais mes bras se
oute la famille. L'attente fut une torture, chaq
Une seule personn
re, Séb
chaude qui a chassé un instant le fro
ement a été de
de moi dans la cafétéria de l'hôpital, le visag
, celui que tu loues. Et cent mille eur
des conversations autour de nous s'est estompé
je articulé, l
in, je sacrifie ma santé, mon avenir. Il
qui j'avais grandi. Mais je ne voyais qu'un étranger,
che avant même que j'aie pu y r
No
ma fermeté. « Non ? C'est ton fils, Alex. T
er la vie de mon frère p
me si je récitais une vérité universelle. C'était l'
décision à ma famill
age et le chagrin. « C'est notre fils, notre Léo ! Comment peux-
acial. « Je n'aurais jamais cru que mon propre
é, posant une main sur le bras de son fils. « Mon pauvre Sébastien,
nfant. Leurs accusations pleuvaient sur moi, mais je restais de marbre, encais
à des machines qui le maintenaient en vie
ré dans la chambre. Il ne m'a pas regardé. Il s'est approché du l
oux, le front pres
i, Alex... pa
nge de peur et de supplication. Il se frappai
repentance soudaine était aussi fausse que son inquiétud
ent-là, a vu la scène e
rêt à le faire ! C'est toi, le problème,
s imaginer la vérité que je portais seul, un f
n, la chaleur de sa petite main dans la mienne, ses histoires du soir.
rce que je l'aimais que
vie ou de mort. C'était une question de justice. Et