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Ma Mort, Leur Enfer : Le Réveil de l'Héritière

Ma Mort, Leur Enfer : Le Réveil de l'Héritière

Je me souviens de ma mort. L'odeur âcre de l'usine, le bruit assourdissant des machines que mon corps épuisé n'arrivait plus à supporter. J'étais seule, mourante, sur un lit d'hôpital minable, tandis qu'à la télévision, mon petit ami Léo, pour qui j'avais tout sacrifié, célébrait son succès d'œnologue aux côtés de Camille, la riche héritière des vignobles Dubois. Ma place. La place que j'avais stupidement abandonnée pour lui, cédant à ses paroles empoisonnées sur l'amour et la différence de classe. Pourtant, au seuil de la mort, une vérité glaçante m'avait frappée : j'étais Amélie Dubois, la vraie héritière, retrouvée par ma famille, mais cachée par les manipulations de Léo et les complots de Camille. J'avais littéralement donné ma vie pour un traître qui utilisait mon argent pour séduire ma cousine, celle-là même qui avait sûrement ourdi le plan pour que je ne regagne jamais ma juste place. Mon dernier souffle fut un mélange de rage et d'un regret cuisant. Mais la mort n'était pas la fin. J'ai rouvert les yeux, vingt ans en arrière. La même chambre miteuse, le même ultimatum, et Léo, ce serpent, qui tentait de nouveau de me retenir par la fausse peur de la différence de classe. Cette fois, mon regard n'y voyait qu'un manipulateur, les années de mensonges et ma fin solitaire défilant en un éclair. Non. Je ne serai plus l'idiote sacrifiée. J'ai retiré mon bras de sa prise. Je me suis détournée de la misère de la banlieue et des fantômes de ma vie passée. Je suis montée dans cette voiture de luxe, sans un regard en arrière. Cette fois, je ne renoncerai à rien. Je vais tout reprendre, et que Léo, Camille, et Julien tremblent, car ma renaissance sera leur cauchemar.
Trop Tard, Monsieur le PDG : Mon Deuil, Votre Ruine

Trop Tard, Monsieur le PDG : Mon Deuil, Votre Ruine

Le soir du 31 décembre, à sept mois de grossesse, j'attendais Luc, pleine d'espoir malgré son éloignement. Il était parti "travailler" à Paris pour un dîner de levée de fonds crucial. Un message de lui, une adresse, l'annonce d'une "surprise" m'a poussée à prendre le dernier TGV, le cœur battant d'une fragile espérance. Mais arrivée à cette adresse, il n'y avait aucun dîner d'affaires. C'était une fête décadente, et Luc, mon Luc, embrassait passionnément sa jeune stagiaire, Manon, assise sur ses genoux. Elle portait LA robe que Luc m'avait offerte pour notre PACS, que je n'avais jamais eu l'occasion de mettre. Les rires de ses amis cyniques ont fusé. « Ta nouvelle "collaboratrice" est bien plus audacieuse que la provinciale ! » J'ai entendu ma propre condamnation de la bouche de mon mari : « Chloé, depuis sa grossesse, elle a perdu toute sa saveur. Manon, elle, sait comment célébrer le succès. » Le monde a basculé. Sous l'humiliation, j'ai senti une douleur fulgurante : mes eaux s'étaient rompues. Paniquée, j'ai murmuré son nom, suppliant de l'aide. Mais Manon, avec un rictus méprisant, l'a convaincu que ce n'était qu'une simple « fuite urinaire », un stratagème pour ruiner sa soirée. « Hystérique ! » a-t-il sifflé, sa colère remplaçant un bref instant d'hésitation. Il m'a traînée, sous les regards moqueurs de ses amis, jusqu'à une salle de bain glaciale et m'y a enfermée à clé, le claquement de la porte scellant mon destin. Les contractions ont commencé, violentes, tandis que la musique assourdissante de la fête masquait mes cris. Couchée sur les carreaux froids, sentant le sang couler, j'ai perdu ma fille, Étoile, et j'ai failli y laisser ma propre vie. Il n'a jamais su. Dans ce lit d'hôpital, alors que la mort me frôlait encore, la pitié s'est éteinte, remplacée par une détermination glaciale. Ils allaient payer. Tous.
La Vigne de la Vengeance : Le Retour de Solange

La Vigne de la Vengeance : Le Retour de Solange

La douleur aiguë a déchiré mon bas-ventre, me réveillant brutalement. Le plafond blanc et stérile de l'hôpital de Marseille m'était une vision sinistre, trop familière. L'infirmière, son visage flou, a murmuré : « Vous avez failli faire une fausse couche. » Ces mots ont figé l'horreur en moi : ce n'était pas un cauchemar, mais un souvenir. Le souvenir de ma vie antérieure, celle où, à cette même date, j'avais perdu ma fille et ma propre vie sur cette table d'opération. Mon « cher » mari, Vincent, et sa famille, les Vasseur, avaient refusé de payer la césarienne d'urgence. « Une fille, à quoi bon dépenser autant ? Cet argent DOIT servir à rembourser les dettes de Lucas ! » La voix cruelle de ma belle-mère résonnait encore. Vincent était resté silencieux, son silence, leur glaçant consentement. Ils attendaient ma mort pour hériter de mon domaine viticole. J'étais morte, abandonnée, me demandant pourquoi tant de cruauté, pourquoi cette trahison de la part de ceux que j'aimais. Mais en ouvrant les yeux, face au calendrier affichant le 21 décembre, j'ai compris. J'étais de retour, juste à temps. Cette fois, je ne les laisserai pas gagner. Cette fois, je protégerai ma fille et l'héritage de mes parents. Leurs dettes ? Leur argent ? Ils allaient découvrir la vraie signification de la faillite. Et je n'avais pas l'intention d'attendre qu'ils me détruisent encore.
L'Épouse du Parfumeur : Un Amour Inattendu

L'Épouse du Parfumeur : Un Amour Inattendu

Dans ma vie antérieure, mon obsession pour Julien Dubois a détruit ma famille et mon monde. Je me suis retrouvée seule, ruinée, le cœur brisé par celui qui a pillé mon héritage et conduit mes parents à leur perte. Puis, la mort. Mais la vie m'a offert une seconde chance. Je me suis réveillée le jour de mes 25 ans, mes parents bien vivants, les dossiers de potentiels fiancés étalés devant moi, dont celui de Julien. Le Julien responsable de mon passé tragique. Aujourd'hui, mon cœur ne bat plus pour lui, seulement une froide détermination à changer mon destin. Mes parents s'inquiètent de ma fascination passée, mais ma décision est prise. Je ne choisirai aucun de ces héritiers des plus grandes familles de France. Ma promesse, mon avenir, dépendront d'une dégustation à l'aveugle, un choix peu orthodoxe aux yeux de tous. C'est là que j'ai choisi Matthieu Lemaire, l'héritier discret des parfumeurs, pour préserver mon héritage et bâtir ma revanche. Mais Julien Dubois, aveuglé par son orgueil et son désir de possession, n'allait pas me laisser partir si facilement. Il a multiplié les humiliations publiques, m'offrant le spectacle de sa nouvelle conquête, Camille. Puis, il m'a fait enlever, forçant ma main pour signer un contrat de fiançailles dément. À genoux, humiliée, battue, j'ai signé, mais le sourire cruel de sa mère et le regard triomphant de Julien masquaient la vérité. Ils croyaient avoir gagné. J'avais déjà planifié ma vengeance, une riposte qui allait faire tomber tout l'empire des Dubois. Comment Élodie de Valois, autrefois si naïve, allait-elle transformer cette humiliation en l'arme la plus redoutable pour anéantir ceux qui l'avaient brisée ? Et quel rôle Matthieu Lemaire, l'homme discret choisi par le destin, jouerait-il dans cette renaissance ? Le jour de mes fiançailles, la vérité éclaterait, et les Dubois, loin d'être les triomphateurs, allaient découvrir l'étendue de mon nouveau pouvoir.
Mes Secondes Noces : Le Vrai Marié

Mes Secondes Noces : Le Vrai Marié

Mes noces d'or. Cinquante ans de mariage. Puis, au moment de tirer son dernier souffle, Étienne m' a demandé d' être enterré aux côtés de Chloé. Ma demi-sœur. Le grand amour de sa vie. Cinquante ans de solitude, de fausses-semblances. C' était le jour de l' accouchement de notre premier fils : il m' a laissée seule à l' hôpital pour pleurer Chloé. Lors de l' incendie : il s' est enfui avec un portrait d' elle, nous laissant, nos enfants et moi, piégés dans les flammes. Une vie entière à me sacrifier pour un homme qui n' avait d' yeux que pour un fantôme, une sœur qui m' a tout pris. Un vide immense. Une rage sourde. Si seulement je pouvais tout recommencer. Je ne referais jamais, jamais le même choix. Quand j' ai rouvert les yeux, j' étais de nouveau dans ma robe de mariée. Le jour de mes premières noces. Chloé, en larmes, menaçait de se jeter dans la Loire si Étienne m'épousait. Mon père hurlait, les parents d'Étienne pleuraient, mais moi, je n'ai ressenti qu'un immense soulagement face à cette farce. Cette fois, je n' allais pas l' attendre. Mon regard a balayé la salle et s' est posé sur Lucian, le playboy haï. Celui qui était mort en me sauvant dans ma vie précédente. J'ai traversé la salle, mon cœur battant à tout rompre. « Lucian », ai-je dit, d' une voix calme et ferme. « J' ai besoin d' un marié. Es-tu d' accord pour prendre sa place ? »
Renaissance au Bord du Rhin

Renaissance au Bord du Rhin

J'étais juste une vigneronne en Alsace, ma vie simple, dédiée à mon fils Léo et à son père, Jean-Luc, gendarme mobile en région parisienne. Notre union était scellée par un PACS, notre famille semblait complète. Mais une formalité, une simple inscription scolaire pour Léo, a fait exploser mon monde. Au téléphone, la secrétaire de mairie a révélé l'impensable : Jean-Luc avait déjà déclaré un enfant pour les allocations, un certain Hugo, avec une femme nommée Camille. Sa femme. Mon cœur s'est glacé. Mon compagnon, le père de mon fils, était marié en secret. Léo, notre Léo, devenait l'enfant illégitime, la honte du village. Et la trahison ne s'est pas arrêtée là. Jean-Luc m'a proposé l'inimaginable : que Léo parte avec lui à Paris en se faisant passer pour son neveu. Le souvenir de ce corps à corps sur la place publique, la gifle retentissante de Jean-Luc sur le visage de Léo, traitant son propre fils de « bâtard » et de « paysan mal élevé », me hante. Comment un père peut-il renier ainsi sa chair, son sang, pour le bien de sa carrière et d'une image ? Alors que l'odeur du Rhin et le poids de mon échec me submergeaient, une lumière s'est allumée. J'étais de retour, vivante. Léo était à mes côtés. Je n'étais plus la victime désespérée. Cette fois, j'allais me battre. J'allais transformer la douleur en une force inarrêtable.
L'Amour Qu'on n'Attendait Plus

L'Amour Qu'on n'Attendait Plus

La veille du festival des vendanges, mon grand-père, l'air grave, m'a confronté à un choix crucial. Trois dossiers s'étalaient devant moi, dont celui de Chloé Dubois, l'amie d'enfance que tout le monde s'attendait à me voir épouser. Le poids écrasant de la tradition et des attentes familiales pesait sur mes épaules. Mais je ne pouvais pas me résoudre à ce choix. Car je me souvenais de tout, de chaque détail de ma vie passée. De l'enfer indicible d'une existence où Chloé, celle que j'avais aveuglément aimée, m'avait trahi sans pitié. Elle m'avait dépouillé de mon nom, de ma fortune, et avait brisé mon cœur en se livrant à Lucas Moreau, le maître de chai, dans mon propre lit. Notre mariage fut un supplice quotidien. L'incendie "accidentel" des chais, la mort de Lucas, et l'aveu glaçant de Chloé : l'enfant n'était pas le mien. Puis le couteau, ses yeux froids et son sourire haineux alors que je succombais. Et la douleur ultime : apprendre qu'Éléonore, la seule qui m'ait aimé sincèrement, s'était ôtée la vie en apprenant ma mort. J'avais été d'une aveuglante stupidité. J'avais piétiné un amour pur et désintéressé pour me jeter dans les bras d'un serpent. La rage et le regret se mêlaient à une détermination nouvelle et implacable. Mais cette fois, le destin m'offrait une seconde chance. J'étais revenu à cet instant précis, avant que la catastrophe ne se reproduise. L'ère de ma vengeance était arrivée. Et Chloé, celle qui pensait pouvoir me manipuler encore, allait le découvrir à ses dépens. Ma première phrase fut : « Ce ne sera aucune d'elles. Je veux épouser Éléonore Vasseur. »
L'Épouse du Monstre : Quand la Rage Devient Force

L'Épouse du Monstre : Quand la Rage Devient Force

Mon mariage était censé être mon conte de fées, mais il s'est transformé en un cauchemar. J'étais Amélie, épouse dévouée du puissant Louis de Valois, portant son enfant, convaincue que notre amour pourrait vaincre tous les obstacles. J'ai commis l'irréparable, une folie d'amour désespéré : j'ai réussi à éloigner Chloé, la maîtresse de mon mari, pensant ainsi ramener Louis à la raison, à notre famille. Je croyais sauver ce qui nous restait. La riposte a été d'une brutalité inimaginable. En quelques jours, le restaurant de mon père à Lyon, l'œuvre de sa vie, a été anéanti. Ses fournisseurs, ses critiques, tout a été manipulé pour le détruire. Mon père est tombé gravement malade, physiquement et moralement. Et moi, enceinte, j'ai été forcée de me tenir devant Louis, juge implacable, alors qu'il achevait méthodiquement la ruine de mes parents, leur volant tout, leur dignité, leur avenir. Comment un homme qui m'avait aimée, ou du moins l'avait prétendu, pouvait-il infliger une telle souffrance, pas seulement à moi, mais à ma famille innocente ? Quel était ce jeu de pouvoir pathologique qui le poussait à tout détruire, simplement parce que j'avais osé toucher à "ce qui était à lui" ? Blessée, humiliée, mais avec une flamme nouvelle de rage et de détermination, j'ai décidé que cet enfer devait cesser. Ce jour-là, devant lui et sa maîtresse, je lui ai menti sur l'enfant que je portais, brisant sciemment le dernier lien entre nous. J'ai fui, non pas pour me cacher, mais pour renaître, et le faire souffrir à mon tour, d'une manière qu'il n'aurait jamais anticipée.