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Ma poupée
5.0
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Chapitres

MONSIEUR et madame Belmont avoient une petite fille de cinq ans, appelée Mimi ; elle étoit blanche comme du lait, et douce comme un petit agneau. Mimi ne désobéissoit jamais à sa maman. Pour ne point faire de bruit, elle prenoit sa poupée, s'asseyoit dans un coin de la chambre, et causoit avec elle. Mimi faisoit la maman. Zozo, c'est ainsi qu'elle nommoit sa poupée, était sa fille. La petite maman répondoit pour Zozo, comme on peut le croire. Si la poupée répondoit bien, elle étoit récompensé ; si elle répondoit mal, elle étoit punie. Dans ces conversations, Mimi répétoit exactement tout ce que lui disoit sa mÚre, qui s'en amusoit, et prenoit quelquefois part à ce léger badinage, sans que Mimi en fût plus déconcertée. Mimi prenoit aussi un grand plaisir à faire la petite maßtresse : Zozo étoit examinée le matin, aprÚs dßner,quand madame Belmont rentroit, en revenant de la promenade, et le soir avant de se coucher.

Chapitre 1 1

MONSIEUR et madame Belmont avoient une petite fille de cinq ans, appelée Mimi ; elle étoit blanche comme du lait, et douce comme un petit agneau. Mimi ne désobéissoit jamais à sa maman. Pour ne point faire de bruit, elle prenoit sa poupée, s'asseyoit dans un coin de la chambre, et causoit avec elle. Mimi faisoit la maman. Zozo, c'est ainsi qu'elle nommoit sa poupée, était sa fille.

La petite maman répondoit pour Zozo, comme on peut le croire. Si la poupée répondoit bien, elle étoit récompensé ; si elle répondoit mal, elle étoit punie.

Dans ces conversations, Mimi répétoit exactement tout ce que lui disoit sa mÚre, qui s'en amusoit, et prenoit quelquefois part à ce léger badinage, sans que Mimi en fût plus déconcertée. Mimi prenoit aussi un grand plaisir à faire la petite maßtresse : Zozo étoit examinée le matin, aprÚs dßner,quand madame Belmont rentroit, en revenant de la promenade, et le soir avant de se coucher.

Partie 1

PREMIÈRE CONVERSATION.

MIMI est habillée ; elle a déjeuné, et seprépare à faire la toilette de sa fille, Mimi questionne ainsi sapoupée :

Zozo, avez-vous pleurĂ© quand on vous adĂ©barbouillĂ©e ? – Non, maman. – Avez-vous lavĂ© vosmains ? – Oui, maman. – Avez-vous fait votre priĂšre ? –Oui, maman. – C'est le bon Dieu, ma fille, qui vous a donnĂ© votrepapa et votre maman ; c'est lui qui tous les jours vous donnede quoi vous nourrir et vous habiller : il faut bienl'aimer ! Avez-vous souhaitĂ© le bonjour Ă  papa et Ă maman ? – Oui, maman. – Bien, ma fille ; je suis contentede vous. Jeannette, apportez la belle robe de crĂȘpe rose de Zozo,celle qui est garnie de fleurs ; mais comme elle estdĂ©chirĂ©e !... C'est vous, Zozo, qui avez fait cela ? –Maman, je ne le ferai plus ! – Mademoiselle, pour votrepĂ©nitence, vous mangerez votre pain sec... Il est bien temps depleurer ! – Ma petite maman, je ne dĂ©chirerai plus marobe ; jamais, jamais !... c'est un arbre du Luxembourg quim'a accrochĂ©e. – Comment, Zozo, je ne voyais pas, vraiment !cette robe est toute tachĂ©e !... Fi ! que c'est laid d'ĂȘtremalpropre !... Mademoiselle, vous mettrez aujourd'hui votre robesale. Allez, je ne veux plus vous voir ! (elle la conduit dansun coin.) Tournez-vous du cĂŽtĂ© du mur, et restez lĂ . Oh ! lalaide ! oui, pleurez Ă  prĂ©sent. – Ce sont les confitures quiont tachĂ© ma robe. – Vous raisonnez, je crois ! Si ce sont lesconfitures, vous n'en aurez plus. Vous pleurez, encore plusfort ! ah ! mademoiselle, vous ĂȘtes gourmande ! jesuis bien aise de le savoir ! du pain sec, c'est ce qu'il fautaux gourmands. Allons, venez lire. Si vous dites bien votre leçon,je vous pardonnerai. Voyons, dites vos lettres.

ZOZO.

a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, 1, m, n, o,p, q, r, s, t, u, v, x, y, z, etc.

MIMI.

Bien. Épelez Ă  prĂ©sent.

ZOZO.

ba, be, bi, bo, bu.

MIMI.

On ne dit pas bé, maisbe.

ZOZO.

ca, ce, ci, co, cu.

MIMI.

C'est, trÚs mal, ça. On dit ka, ce, ci, ko,ku ; entendez-vous, mademoiselle, et souvenez-vous-en.

ZOZO.

da, de, di, do, du.

MIMI.

Toujours la mĂȘme faute ! On ne dit pasdĂ© mais de.Faites-y donc attention !

ZOZO.

fa, fe, fi, fo, fu.

MIMI.

Vous ĂȘtes incorrigible, Zozo. Ditesfe et non pas fĂ©.

Mais en voilĂ  assez. Comptez jusqu'Ă vingt.

ZOZO.

Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept,huit, neuf, dix, onze, douze, treize, quatorze, quinze, seize,dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt.

MIMI.

Combien y a-t-il de voyelles ?

ZOZO.

Cinq : a, e, i, o, u.

MIMI.

Et de consonnes ?

ZOZO.

Dix-neuf : b, c, d, f, g, h, j, k, l, m,n, p, q, r, s, t, v, x, z.

MIMI.

Bien, ma fille, je suis contente de toi ;viens embrasser ta maman !

Si tu savois, Zozo, comme tu es gentille quandtu es sage, tu ne te ferois jamais gronder ! et puis tumangerois toujours de bonnes choses ; je te donnerois de beauxchiffons pour rĂ©compenses, tu serois caressĂ©e de tout lemonde ! Est-ce que tu n'aimes pas les bonbons et lesjoujoux ? – Pardonnez-moi, maman. – Eh bien ! Zozo, ilfaut ĂȘtre bien sage, et tu en auras.

Mimi et Zozo Ă©taient fort bien ensemble,lorsque madame Belmont appela sa fille pour l'envoyer promener avecsa bonne, Mimi courut Ă  sa maman, et par sa prĂ©cipitation,renversa sa poupĂ©e, qui entraĂźna avec elle la boĂźte aux joujoux.Jeannette n'Ă©tant pas encore prĂȘte, Mimi revint auprĂšs de Zozo,qu'elle trouva Ă©tendue par terre, le nez sur le parquet, et leschiffons Ă©parpillĂ©s autour d'elle. Elle releva sa poupĂ©e, et luidemanda, en colĂšre, qui avoit renversĂ© ses chiffons ? – Cen'est pas moi, maman. – Vous mentez, Zozo ! personne n'estentrĂ© ici. Vous aurez voulu voir les fleurs d'or qui sont dans maboĂźte. Il ne faut jamais mentir, mademoiselle ; c'est fortmal ! vous allez avoir le fouet ! Jeannette, apportez-moiles verges. – Je ne le ferai plus, maman (elle pleure). Mimi, aprĂšsl'avoir fouettĂ©e : Ah ! ah ! je vous apprendrai Ă mentir ! fi ! rien n'est si vilain que cela ! Mimien Ă©toit lĂ  de sa rĂ©primande, quand madame Belmont l'appela denouveau. AprĂšs avoir rangĂ© ses chiffons, la petite s'en alla avecJeannette. Elle voulut bien pardonner Ă  Zozo, et l'emmena avecelle.

Quand elles furent au Luxembourg, Mimi racontaà sa bonne les grands sujets de mécontentement que Zozolui avoit donnés. Jeannette, qui avoit horreur du mensonge, lui raconta l'histoire suivante :

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Et toi Salma tu n'es toujours pas prĂȘte ? Mina tu.. Mina : đ—ČÌđ˜€đ˜€đ—Œđ˜‚đ—łđ—łđ—čđ—Č𝗿 j'ai tout fait ma tante elle refuse je le jure NĂ©nĂ© : Allah guidho djoman qu'est-ce que je vais faire de cette fille elle a dĂ©cidĂ© de m'humiler Je suis assise je reste de marbre comme si c'est Ă  moi qu'elle parle est-ce qu'elle me connaĂźt ohh non NĂ©nĂ© : tu sais quoi si tu veux rester ainsi kono hakouden ĂȘ Allah tu vas rejoindre ton mari mĂȘme s'il faut t'attacher j'ai fini de parler Pffff c'est tout ce qu'elle a dans la bouche tu vas rejoindre ton mari n'importe quoi qu'on vient me prendre alors Mina : va te laver stp.. honnĂȘtement suis contente de ce mariage pour toi.. quoi me regarde pas ainsi tu subies trop alors que tu es chez tes parents peut-ĂȘtre que tu auras la paix et joie de vivre lĂ -bas Moi : joie de vivre ? C'est un handicapĂ© je vais plutĂŽt ĂȘtre une nanny Mina : tu verras que c'est mieux ici va y je t'attend ici J'ai grave envie de pleurer Ă  quel moment tout ceci est arrivĂ© je ne comprends pas pourquoi ma mĂšre tient t-elle Ă  me faire subir cela NĂ©nĂ© : SALMA SALMA oĂč est-elle ? 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