Ma poupée

ME CONV

jour Mimi avec elle pou

z bien; mais sa maman re

court. Rentrée à la ma

un peu, puis enfin elle s

poupée, pour répéter avec

ites, et la gronder pour

t ma

en des choses à vous dir

en quoi?-Non maman.

sommes entrées chez mada

Vous avez répondu comme

té le bonjour; vous avez

sage tout le temps qu

emercié poliment quand

est bien; mais avez-vou

demandé à boire?-J'avoi

man bien bas, bien bas; e

confitures, vous avez di

'est-ce pas? Vous n'osez

endant maman vous a frap

éternue, on met toujours son mouchoir ou ses mains

n air fâché; vous avez bâ

e, et c'est fort mal; c'e

le pas; on ne demande pas

ez d'être en pénitence p

savez que je vous ai dé

le, vous répondez oui, n

urs dire: Oui, mon

illant, vous conter une

t dangereux de désobéir

ez-mo

tite

etite fille, appelée Fann

pendant son papa et sa m

elles dames bien polis.

oir une petite fille si gr

ne dites pas bonjour, s

répondez pas polimen

ai Croque

ant pas attention à ce

-Mitaine, qui descendit

rta la petite Fanny pour l

vera, Zozo, si vous êt

outé avec attention les

fiter des bonnes dispositi

oire, qui lui servît en

ire?-Oh! oui, maman.-Va chercher ta bourse; mets-t

faire, garde-les pour la

e que ce n'est pas poli

e voilà avertie,

e Fille

ecin, avoit une petit

lle étoit grossière et dé

c tout le monde, chercho

saient haïr; mais ils n'y

ne faisoit jamais la révér

ux à qui elle parloit. Qu

pis! Pontie les examinoit

it à toutes jambes, san

ille venoit obligeammen

elle, Pontie jetoit aussi

vite quand elle voyoit

i avoient pourtant dit

te; qu'une petite fille ma

ante, bien savante! Mai

ut à fait à son aise, qu

it pas

es mortifications. Quand

le: Cette jolie petite fil

le voit bien, malgré sa

eau; car elle est trop ma

e: on lui aura prêté les

ie devenoit rouge comme

e n'avoit garde de lui dir

ille étant au Luxembour

rtie qui lui plut

re s'étant mise à joue

erbe, s'amusa à regarder

Pontie, debout, à deux pa

re reçue parmi cette belle

ez, mon petit coeur, lui

là toute seule à vous ennu

e par une belle révérence

une grande demoiselle qu

répondre et sans regar

son égard. Cette petite fi

pensionnaires; c'est domma

emi-heure, les enfans v

pela Pontie, et lui adr

ous?-Six ans.-Votre ma

Luxembourg?-Oui.-Dem

e bien savante?-Je lis l

hose de mémoire?-Des

able, et les rois de Fran

aucoup! Apprenez-vous

nds la

leur conversation, quan

emmener sa fille. Cette

et après l'avoir saluée

nt en s'arrêtant, comm

duite dans cette circons

rt; jamais madame! Celà n'est pas bien du tout!.

hist

ée, la maîtresse de pensi

le à ses élèves, que la p

dame qu'elle appelle sa

qué à quel point cette pe

le nomme sa mère, est

ement une pauvre enfan

que chacun jugeoit Ponti

ût été laide et mal mis

'est si choquant qu'une

manières

mps en temps de forte

s d'une fois de mauvais c

ait avec d'autres enfan

balancer, on leur donnoit

onneur à leurs parens, et

te pour vos habits.... On

dant Pontie ne c

eulement grossière, mais

ine! Mademoiselle s'imag

on père et sa mère avoien

des habits selon la saison

son père et sa mère; el

'elle prenoit po

pa et sa maman la menère

irent des chaises, et l

arrêtée par une dame qu