Ma poupée

un petit agneau. Mimi ne désobéissoit jamais à sa maman. Pour ne point faire de bruit, elle prenoit sa poupée, s'asseyoit dans

le croire. Si la poupée répondoit bien, elle étoit

ce léger badinage, sans que Mimi en fût plus déconcertée. Mimi prenoit aussi un grand plaisir à faire la petite maîtresse : Zoz

rt

E CONVE

seprépare à faire la toilette de sa f

e de fleurs ; mais comme elle estdéchirée !... C'est vous, Zozo, qui avez fait cela ? –Maman, je ne le ferai plus ! – Mademoiselle, pour votrepénitence, vous mangerez votre pain sec... Il est bien temps depleurer ! – Ma petite maman, je ne déchirerai plus marobe ; jamais, jamais !... c'est un arbre du Luxembourg quim'a accrochée. – Comment, Zozo, je ne voyais pas, vraiment !cette robe est toute tachée !... Fi ! que c'est laid d'êtremalpropre !... Mademoiselle, vous mettrez aujourd'hui votre robesale. Allez,

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j, k, 1, m, n, o,p, q, r,

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pelez à

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t pas bé

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ce, ci, ko,ku ; entendez-vous, m

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On ne dit pasdé mais de

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gible, Zozo. Dite

assez. Comptez

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neuf, dix, onze, douze, treize, quatorze, qui

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a-t-il de

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a, e, i

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g, h, j, k, l, m,n, p

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s contente de toi ;vie

de bonnes choses ; je te donnerois de beauxchiffons pour récompenses, tu serois caressée de tout lemonde ! Est-ce que tu

ffons éparpillés autour d'elle. Elle releva sa poupée, et luidemanda, en colère, qui avoit renversé ses chiffons ? – Cen'est pas moi, maman. – Vous mentez, Zozo ! personne n'estentré ici. Vous aurez voulu voir les fleurs d'or qui sont dans maboîte. Il ne faut jamais mentir, mademoiselle ; c'est fortmal ! vous allez avoir le fouet ! Jeannette, apportez-moil

nds sujets de mécontentement que Zozolui avoit donnés. Jeannette