The world of stories
Les livres d'The world of stories(12)
La fille de mon patron
Milliardaire Aaron, agent de la FBI, se faisait passer pour chauffeur afin d'obtenir des preuves contre Hilaire Clinton, accusé de blanchissement d'argent. Il avait tout prévu à part une seule chose: tomber sous le charme de sa fille qui deviendra pour lui une obsession.
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-Baise moi.
-Non.
-Pourquoi?
-T'es la fille de mon patron.
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Chacun à ses petits secrets bien cachés, ses regrets, ses moments de paniques, ses envies, ses coeurs blessés et ses âmes brisées...
Beaucoup de personnes entrent et sortent de nos vies, certaines nous laissent des cicatrices, des regrets et d'autres nous laissent de bons souvenirs.
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Nous vivons dans un monde où le sexe règne, l'amour disparaît presque, un monde où il est mieux de s'imaginer ou s'inventer une vie, un monde où les mensonges ont pris le dessus mais quoi qu'on fasse la vérité sera toujours là et éclatera à un moment inattendu.
Hilary Clinton venait de souffler ses dix-huit bougies quand l'idée de découvrir les effets du sexe lui traversa l'esprit, elle fantasma sur le nouveau chauffeur, ce dernier quant à lui, étant agent secret, s'était intégré dans la maison des Clinton dans le but d'obtenir des preuves contre le père de la fille qui deviendra pour lui une obsession.
Perdu entre le boulot et l'envie, Aaron ne pouvait plus faire marche arrière malheureusement.
-Baise moi. Lui dit-elle dans un souffle.
-Non.
-Pourquoi?
-T'es la fille de mon patron.
Résistera t-il longtemps? Confidence
Jeunesse Je m'appelle Charbelle !
J'ai perdu mes deux parents dans un accident de voiture alors que je n'avais que 12ans.
À leur décès, une amie à maman m'a hébergé chez elle en attendant que mon oncle qui était au Nigéria ne vienne me chercher.
Les jours passaient mais ils ne revenait pas.
Le mari de ma tutrice n'était pas d'accord de ma présence mais sa femme ne voulait pas me laisser souffrir. Au fil du temps, il finit par accepter que je vive avec eux.
Tout allait bien et ils prenaient bien soin de moi. Au fait, ils n'ont pas d'enfant. J'étais comme leur fille et ils ont même voulu faire de moi leur enfant légitime par adoption mais ça n'a pas abouti car la famille de mon père était contre.
Le nouvel épisode de mon aventure a commencé le lendemain de mon anniversaire ; je venais de fêter mes 18ans.
Mon tuteur ne cessait de me rendre visite dans ma chambre surtout quand il constate que je viens juste de quitter la douche.
Souvent, il dit que c'est pour passer mon chargeur.
"Ton chargeur charge vite mon téléphone " dit-il.
Un jour, il a essayé de m'embrasser mais je l'ai repoussé.
Quelques jours plus tard, il me proposa de coucher avec lui en échange d'une moto neuve mais j'ai refusé systématiquement.
Avec le temps, son comportement devenait insupportable et je ne savais comment prévenir sa femme.
J'ai ensuite raconté ce qui s'est passé à ma meilleure amie puis elle m'a recommandé d'en parler à sa femme.
C'était compliqué et je ne savais par où commencer.
Aussi, je me demandais si elle va me croire.
Avec beaucoup de courage, j'ai fini par informer ma tutrice.
Elle ne m'avait pas cru et elle me menaçait sous prétexte que je veux détruire son foyer. C'était le début des hostilités entre elle et moi ; heureusement qu'elle n'a rien dit à son mari.
Un jour, elle m'a rappelée pour me demander de lui prouver que son mari essaye vraiment de coucher avec moi.
Durant nos échanges, elle m'a proposé de la biper si je remarque qu'il veut recommencer et surtout de le laisser m'embrasser pour qu'elle soit convaincue.
Le week-end suivant, alors qu'elle avait demandé la permission à son mari pour aller au salon de coiffure, je me retrouvais seul avec lui au salon.
Nous regardions la Tv mais il ne cessait de sourire chaque fois que nos regards se croisèrent.
Gênée, je suis partie me coucher dans ma chambre.
Quelques minutes plus tard, il vint frapper à ma porte. Sans plus tarder, j'ai bipé ma tutrice avant de l'ouvrir.
Je n'avais pas encore embrassée un homme dans ma vie.
Assis près de moi sur mon lit, il me tenait pas la hanche en me parlant d'amour jusqu'à me faire coucher sur le dos.
J'avais très peur et je regardais l'heure. Tout ce que je voulais, c'est que ça femme vienne vite découvrir vraiment de quoi je parlais.
Il commençait par m'embrasser et me caressait avec tendresse puis je me suis laissée emporter....
Il était toujours couché sur moi.
Après qu'il eut soulevé ma robe, j'ai senti un corps étranger me pénétrer. J'étais complètement emportée par ses va et viens...
Tout à coup, sa femme ouvrit la porte sur nous : "Charbelle ?". Choix difficile
Romance Quand vous êtes pauvre, il est souvent difficile de vous faire ami à de gens riches. Mais Harold avait un truc de particulier, ce truc de ouff, qui certainement frappait aux yeux de jeunes demoiselles qui étaient prêtes à le porter un coup de main.
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Issu d'une famille pauvre, il fut confronté à plusieurs difficultés, surtout financières vers la fin de son cursus scolaire. C'est ainsi que Sonia, une de ses camarades de classe, décida de l'aider. Par la suite, une relation amoureuse naîtra entre les deux. Mais les parents de Sonia, opposés à cette relation éloigne leur fille du protagoniste.
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Des années plus tard, Harold fera la rencontre de Hélène, fille issue de famille très riche, qui l'aidera à quitter sa vie de misère. La complicité et l'affection de l'un pour l'autre les amèneront à vouloir s'unir. C'était sans compter à ce moment là sur le retour de Sonia, qui n'avait pas oublié son amour, retour qui plongera Harold dans un grand dilemme. Sonia et Hélène s'engagèrent alors dans une longue lutte.
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Que feriez-vous si c'était vous ? Celle qui vous a soutenu dans la pauvreté ou celle qui vous a rendu riche ? Le dilemme
Aventure Prologue
Depuis ce fameux jour où ma vie prit un sale coup, je suis devenu un autre homme. D'habitude plein d'énergie, heureux, croquant la vie en pleine dent je ne suis plus qu'une banque de remords, de lamentations. Je passe mon temps à m'appitoyer sur mon sort. Pourquoi il a fallu que mon propre frère me fasse cela. Et ma mère qui prend sa défense parce que tout simplement je suis rentré d'Europe les mains vides. Ce jour devint le plus grand cauchemar de ma vie, ce cauchemar qui passe et repasse dans ma tête à chaque fois que je suis seul: Je descendais à l'aéroport Léopold Sedar Senghor de Dakar avec l'espoir d'une vie meilleure. Celle ci était devenue un véritable enfer en France où j' ai été pendant dix longues années. Un jour, j'eus un problème avec un français, malheureusement on s'en était venu aux mains. Je l'avais défiguré et suite à sa plainte, le patron de la boutique dans le quel je travaillais me renvoya. Au début je me debrouillais pour manger et payer mon logement. Mais plus le temps passait plus les choses devenaient compliquer. Je finis par être mis dehors, je n'avais plus d'argent, ni de boulot. Je décidais d'aller à l'ambassade pour un rapatriement. Chose qui fut faite. Je m'en rejouissais tout en espérant que ça se passerait mieux chez moi. Hélas!
Deux semaines après mon retour, ma maison est devenue l'enfer sur terre, les membres de ma famille les démons. Même pour manger, ils ne m'appellent pas. Parfois je sors pour aller remédier à ma faim chez un ami. Ma mère ne manque jamais l'occasion de me jeter à la figure mon incapacité à réussir. Je t'ai donné toutes mes économies pour que tu partes et voilà tu rentres les mains vides. Tu n'es qu'un vaurien. Ajoute t-ell
Je rappelle que j'avais fait dix années en France et durant ce séjour j'envoyais la majeure partie de mes économies à ma famille, ma femme et ma mère mais cette dernière me reproche quand même d'être un incapable. Ses insultes ne me font rien à vrai dire. C'est ma mère après tout. Elle peut m'insulter si elle n'est pas contente de moi
Mais ce qui me choque réellement c'est ma femme et le comportement de Lamine mon petit frère.
J'ai reçu la pire des trahisons, j'ai été a deux doigts de mettre fin aux vies de ceux que je considérai jadis comme ma famille. Je croyais être mort moi même , que plus jamais je ne retrouverais une vie normale. Côté bien-être , je suis presque impuissant sexuellement et souffre de micro pénis même si ça n'avait jamais causé de problèmes dans mon ménage avant mon retour définitif au Sénégal bien sûr . J'ai mal dans ma peau, mon égo a pris un sacré coup. Si on enlève à un homme sa virilité, que lui reste t-il? Rien pratiquement.
Je suis au fond d'un gouffre jusqu'au jour où je rencontre Riama, la femme qui allait redonner sens à ma vie, celle qui va me hisser des abysses au sommet. Je suis tombé fou amoureux d'elle. Elle est tout bonnement ma vie. Dans mon cœur elle est seule au monde. Malheureusement l'espoir des lendemains meilleurs à ses côtés prend fin à la découverte de qui elle est réellement .
Vais-je fermer les yeux sur tout et continuer cette vie tant rêvée avec elle? Ou tout simplement retourner dans ma tombe, sous les décombres de ma vie solitaire? : dilemme AIMER : EST-CE UN MAL ?
Romance Clamer haut et fort qu'on est libre. Oui. C'est bien beau. C'est louable. Parfois c'est exceptionnel. Le dire reste différent du fait de le vivre...
Je suis libre: qui ne l'a jamais sorti de sa bouche ?
Être libre et s'habiller selon un code. Un code établi par une société.
Être libre et manger comme les autres. Avec des couverts alors qu'au fond, on veut juste s'asseoir par terre et se servir de ses doigts. Peu importe le nombre de comptes bancaires à notre nom.
Être libre et être obligé de côtoyer des gens insipides, à la limite crétins, pour ne pas déroger à une règle de bienséance.
Être libre et acheter son pain à la boulangerie, cirer ses chaussures chez le petit du coin. Faire la queue dans les banques, patienter lors d'un embouteillage.
Être libre et ne pas pouvoir rire lors des funérailles en constatant l'hypocrisie de certains.
Être libre et tomber amoureux d'un tiers sans être certain d'avoir un avenir avec... Parce que ? Vous n'êtes pas de la même ethnie, de la même religion, de la même "classe sociale " de la même ville où de la même "race".
Classe sociale et race. Attardons nous un peu sur ces points.
Si parmi vous, quelqu'un a une définition précise de ces termes, qu'il m'en fasse cadeau.
Si ma mémoire est bonne. L'Égypte antique avait établi une classe sociale pour son peuple. Les nobles, les scriptes, les prêtres, les artisans, les paysans, les serviteurs et les esclaves. Merci de corriger s'il y a erreur.
Antique, lisez bien. Le contraire de antique c'est... Contemporain. En d'autres termes, l'époque à laquelle nous vivons. Les trains de vie ont changé, mais pas les mentalités rustiques qui bousillent des générations. Inutile de rappeler qu'on naît sans rien amener et qu'on meurt sans rien ramener. Ce type de discours n'a rien changé. Comme le fait que quand on a besoin de sang ce n'est pas celui de ton "pair" qui va te sauver. La seule manière de faire comprendre à ces suffisants, c'est de suivre ces inepties et laisser la vie les éduquer.
D'un autre côté, le terme race paraît tellement péjoratif. En réalité, elle n'a même pas de définition. Comprenez par là, une signification scientifique. Par déduction tout son champ lexical est insensé.
Pour revenir à la liberté, d'aucuns diront que la liberté n'est pas égal à l'indépendance. Oui.
Qu'il n'y a pas de liberté absolue. Oui
Qu'il faut des règles, des devoirs dans une société pour éviter la barbarie, l'anarchie. Oui.
Les plus pernicieux comprendront qu'il s'agit de libre-arbitre. Dans sa globalité.
Refuser, c'est dire non. Pas de place pour des "c'est que... C'est à dire. "
C'est sur ces notes qui seront probablement jugées philosophiques que débute ce qui va suivre.
Parfois on choisit, ou on est choisi.
Parfois on agit ou on subit
Parfois on consomme ou on est assommé
Parfois on aime quelqu'un qui aime quelqu'un qui aime quelqu'un qui nous aime
Parfois on vit ou on survit
Parfois on prie ou on rit
Parfois on crie ou on nie
Parfois on se bat ou on est battu
Parfois on assume ou on est abattu.
Parfois on accepte notre sort ou on est rejeté
Parfois on tente autre chose ou on laisse tomber.
Un célèbre écrivain a dit : "La vie est un subtile mélange entre lâcher prise et tenir bon.
Comment allier les deux ? La grande question. Quand faut-il lâcher prise, quand faut-il tenir bon ? Où doit-on lâcher prise et où doit-on tenir bon ?
Comment ?
Quand ?
Où ?
Il manque quoi et pourquoi.
Qu'est-ce qu'il faut lâcher et qu'est-ce qu'il faut tenir ? Pourquoi délaisser ceci et s'appuyer sur cela ?
Cette citation résumera, à dire vrai, ce roman. Cette histoire idyllique entre Amadou Bashir Niane et Yolande Erika Dupuy.