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Chapitres

Quand vous êtes pauvre, il est souvent difficile de vous faire ami à de gens riches. Mais Harold avait un truc de particulier, ce truc de ouff, qui certainement frappait aux yeux de jeunes demoiselles qui étaient prêtes à le porter un coup de main. . Issu d'une famille pauvre, il fut confronté à plusieurs difficultés, surtout financières vers la fin de son cursus scolaire. C'est ainsi que Sonia, une de ses camarades de classe, décida de l'aider. Par la suite, une relation amoureuse naîtra entre les deux. Mais les parents de Sonia, opposés à cette relation éloigne leur fille du protagoniste. . Des années plus tard, Harold fera la rencontre de Hélène, fille issue de famille très riche, qui l'aidera à quitter sa vie de misère. La complicité et l'affection de l'un pour l'autre les amèneront à vouloir s'unir. C'était sans compter à ce moment là sur le retour de Sonia, qui n'avait pas oublié son amour, retour qui plongera Harold dans un grand dilemme. Sonia et Hélène s'engagèrent alors dans une longue lutte. . Que feriez-vous si c'était vous ? Celle qui vous a soutenu dans la pauvreté ou celle qui vous a rendu riche ?

Chapitre 1 Chapitre 01

Après de grandes et longues vacances, le jour de la rentrée des classes était enfin là. Sur les voies, les élèves pressaient le pas pour regagner leur seconde famille qu'est l'école. Très tôt le matin, Harold s'était mis en route pour ne pas être en retard, il fallait éviter le retard cette année ci, il allait passer le baccalauréat.

.

*****

**HAROLD**

Je m'appelle Harold, j'ai dix-huit ans. Je suis né d'une famille pauvre mais je ne me plains pas. Je rends grâce à Dieu du fait qu'il veille sur nous et qu'il nous donne notre pain quotidien. Cette année, je vais faire la classe de Terminale de l'un des plus grands collèges publics de la ville. J'étais âgé de quinze ans quand mon père décéda. Aîné de la famille, j'ai une petite-sœur, Julie, qui, âgée de dix ans, venait de faire son entrée au collège. L'éducation de nous deux était donc à la charge de ma mère, revendeuse au marché. Elle donnait tout ce qu'elle pouvait pour que nous, ses enfants ne manquons de rien, mais hélas, ce n'était pas suffisant. Heureusement pour nous, j'ai fait la connaissance l'année dernière, d'une jeune fille souriante et très généreuse, qui par la suite devint mon amie : Sonia est son nom.

Notre amitié m'a été d'une énorme utilité parce qu'elle m'a beaucoup aidé l'année dernière : elle m'a même aidé à payer une partie de ma scolarité, elle me dépannait tellement que j'en ai même eu honte. Nous sommes si proches qu'elle n'a jamais hésité avant de me porter un coup de main. Je ne savais pas qu'il existait toujours ici-bas de personnes au grand cœur comme elle.

Vous me connaissez assez. Je rejoins ma salle et je m'y trouver une place au fin fond.

.

*****

**SONIA**

C'est avec joie et tristesse que j'ai quitté mon lit ce matin pour m'apprêter afin de me rendre au cours. Tristesse parce que j'aurai bien voulu prolonger mes vacances et mon sommeil ce beau matin, Joie parce que je suis tellement excitée à l'idée d'achever mon cursus scolaire cette année. Ouff ! Laissez-moi me présenter !

Je m'appelle Sonia, j'ai dix-sept ans et je suis une fille très sympa. Je suis né d'une famille ni pauvre, ni très riche. Je pense que je devrais dire que je viens d'une famille modeste. Vous me comprenez j'espère. J'ai un grand-frère, Miguel, âgé de vingt-trois ans et qui continue avec ses études à l'Université. Il vit chez mon oncle qui est proche de l'Université.

Le fait de faire partir de ce genre de famille ne m'a pas amené à être égoïste. Bien au contraire, je suis humble et très sensible à la douleur des autres. Je m'en veux pour preuve vous exposer le cas d'un de mes amis né d'une famille pauvre. Ils étaient si pauvre que j'ai dû les aider financièrement à maintes reprises. Ce n'est pas que je me glorifie. J'ai donc rejoint mon établissement et je me suis trouvé une place libre au beau milieu de la classe.

.

À la pause ...

Harold était assis sur son banc quand tout discrètement, je viens lui cacher les yeux par derrière avec mes mains. C'était ce genre de jeu qui vous amène à deviner la personne qui était derrière vous.

_Lui : Qui est-ce ?

_Moi : ... (aucune réponse)

_Lui : Ce parfum, je le reconnaîtrai parmi milles. Sonia, je sais que c'est toi.

_Moi : Waoh ! Comment t'as fait pour savoir ? Tu m'as vu ?

_Lui : Même pas. Tu oublies que nous sommes des amis très proches ?! Les vacances ne m'ont pas fait oublié l'odeur de ton parfum.

_Moi : Fantastique alors ! Et les vacances ?? Ça s'est bien passé j'espère.

_Lui : Oui. Je rends grâce à Dieu. Et chez toi ? Et la famille ??

_Moi : Ça va hein. Ça va dans l'ensemble. C'est encore parti, pour une année scolaire qui risque de nous paraître très longue.

_Lui : Ah oui. Certainement parce qu'on a un examen à passer.

_Moi : Pff ! Ça va aller ! Ça n'a pas commencé par nous, de même ça ne finira pas par nous.

_Lui : Oui. Tu as raison.

Nous restions ensemble un moment à nous conter les souvenirs de vacances jusqu'à l'arrivée d'un autre prof.

.

À la fin des cours ...

Ma maison était dans une direction contraire à celle de Harold, il fallait donc se séparer au portail de l'école. Moi, j'étais à moto. Je savais que Harold allait marcher et j'ai voulu l'aider. Sauf qu'il s'y est catégoriquement opposé.

.

_Moi : Euh... Harold, tu rentres à pieds ??

_Lui : Non non. Ne t'en fais pas.

_Moi : Tu es sérieux là ? Pourquoi tu me ments, Harold ? Ne nie surtout pas, viens je te dépose rapidement.

_Lui : Non non. Ne t'inquiètes pas pour moi, rentre chez toi. On se verra demain.

_Moi : Je ne comprends pas pourquoi tu n'aimes pas qu'on te porte un coup de main. Je pensais que tu avais changé, mais tu restes le même depuis l'année dernière.

_Lui : Sonia, je te remercie beaucoup pour tout ce que tu as eu à faire pour moi. Je t'en serai très reconnaissant mais tu n'as plus à t'en faire. Comprends moi s'il te plaît.

_Moi : OK. C'est comme tu veux. On se dit à demain alors non ??

_Lui : Oui oui. J'espère que ce que j'ai dit n'affecte pas notre amitié.

_Moi : Oh non. Je te comprends. Bonne soirée mon prince.

_Lui : Euh...Quoi ?

_Moi : (rires) Non. Rien.

Sourire aux lèvres, je démarre la moto pour rejoindre ma maison.

.

*****

**HAROLD**

J'étais debout à la regarder s'éloigner. ‹‹Mon prince, elle a dit ?››, je me demandais. Bon, je ne me ferai pas d'idées bizarres, même si je dois avouer que j'aimerais bien que ce qui nous lie soit plus qu'une simple amitié.

Vous allez peut-être me traiter de con, de bête et tout pour mon comportement de tout à l'heure ! Laissez moi vous expliquer. Il est vrai que les amis sont faits pour s'entraider mais quand les aides deviennent de trop, je me sens très gêné. J'aurai certainement besoin de son aide une autre fois sans doute, je le sais. Mais je veux bien me débrouiller d'abord.

.

*****

**SONIA**

Je rentrai chez moi et découvrit que mes parents étaient au salon. Je n'étais pas surpris par la présence de ma mère, mais de mon père si. Il devrait être au boulot si je ne me trompe pas. En effet Papa est l'Adjoint au Secrétaire Général de la mairie de notre ville. Je les saluais quand même. Ma mère s'appellait Rachelle et mon père Bill.

.

_Bill : Alors ma fille, tu as bien debuté j'espère. Tu sais que tu as un examen à passer non ?

_Moi : Oui Papa.

_Bill : Il va falloir tout donner alors. Tes études avant tout.

_Moi : Ne vous en faites pas Papa. Je sais ce qui m'attend.

_Bill : D'accord. Je suis heureuse de t'entendre le dire.

_Moi : Papa, tu n'as pas été ??

_Bill : Si. C'est l'heure de la pause et je suis venu chercher un document que j'ai oublié.

_Moi : Anh. D'accord !

.

*DEUX MOIS PLUS TARD*

Les jours se succédaient et tout allait bien. Avec le temps, Harold accepta de nouveau que je lui donne des coups de main de temps à temps. Je ne sais pas ce qu'il a de si précieux mais je commençais par être attirée par lui.

.

Un jour à la sortie des cours, j'ai voulus le déposer non loin de sa maison avant de rentrer chez moi. Sur le chemin, il m'aborda.

_Lui : Sonia, j'aimerais te demander quelque chose.

_Moi : Oui. Je t'écoute.

_Lui : Tu sais que je n'aime pas les fréquentations et c'est pour cette raison que je n'ai pas d'amis. Tu es ma seule amie en ce moment-ci et j'aimerais bien te demander de m'aider pour un petit problème.

_Moi : C'est quoi tout ce discours ?? Tu n'as pas besoin de dire tout ça avant de me demander quelque chose.

_Lui : En fait, je n'ai pas pu réunir toute la contribution. Il me manque dix-mille francs et je ne sais vraiment pas à qui demander un emprunt. Tu sais que c'est après demain le dernier délai. Je promets te rembourser si tu m'aides.

_Moi : Pourquoi tu ne m'avais pas vite dit ça ??

_Lui : Tu ne peux pas comprendre ... Je ne voulais pas mais là je suis obligé sinon je risque d'abandonner les cours pour le moment, ce que je ne veux pas.

_Moi : Je vais t'aider. Laisse moi voir ce que je peux faire demain.

_Lui : Merci beaucoup !

.

Arrivée là où je devrais le déposer, je me suis arrêtée. Il descendit puis on allait se séparer quand je remarquai de loin un visage qui m'est familier.

C'était mon père, mais qu'est-ce qu'il fait ici ??!

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Je m'appelle Charbelle ! J'ai perdu mes deux parents dans un accident de voiture alors que je n'avais que 12ans. À leur décès, une amie à maman m'a hébergé chez elle en attendant que mon oncle qui était au Nigéria ne vienne me chercher. Les jours passaient mais ils ne revenait pas. Le mari de ma tutrice n'était pas d'accord de ma présence mais sa femme ne voulait pas me laisser souffrir. Au fil du temps, il finit par accepter que je vive avec eux. Tout allait bien et ils prenaient bien soin de moi. Au fait, ils n'ont pas d'enfant. J'étais comme leur fille et ils ont même voulu faire de moi leur enfant légitime par adoption mais ça n'a pas abouti car la famille de mon père était contre. Le nouvel épisode de mon aventure a commencé le lendemain de mon anniversaire ; je venais de fêter mes 18ans. Mon tuteur ne cessait de me rendre visite dans ma chambre surtout quand il constate que je viens juste de quitter la douche. Souvent, il dit que c'est pour passer mon chargeur. "Ton chargeur charge vite mon téléphone " dit-il. Un jour, il a essayé de m'embrasser mais je l'ai repoussé. Quelques jours plus tard, il me proposa de coucher avec lui en échange d'une moto neuve mais j'ai refusé systématiquement. Avec le temps, son comportement devenait insupportable et je ne savais comment prévenir sa femme. J'ai ensuite raconté ce qui s'est passé à ma meilleure amie puis elle m'a recommandé d'en parler à sa femme. C'était compliqué et je ne savais par où commencer. Aussi, je me demandais si elle va me croire. Avec beaucoup de courage, j'ai fini par informer ma tutrice. Elle ne m'avait pas cru et elle me menaçait sous prétexte que je veux détruire son foyer. C'était le début des hostilités entre elle et moi ; heureusement qu'elle n'a rien dit à son mari. Un jour, elle m'a rappelée pour me demander de lui prouver que son mari essaye vraiment de coucher avec moi. Durant nos échanges, elle m'a proposé de la biper si je remarque qu'il veut recommencer et surtout de le laisser m'embrasser pour qu'elle soit convaincue. Le week-end suivant, alors qu'elle avait demandé la permission à son mari pour aller au salon de coiffure, je me retrouvais seul avec lui au salon. Nous regardions la Tv mais il ne cessait de sourire chaque fois que nos regards se croisèrent. Gênée, je suis partie me coucher dans ma chambre. Quelques minutes plus tard, il vint frapper à ma porte. Sans plus tarder, j'ai bipé ma tutrice avant de l'ouvrir. Je n'avais pas encore embrassée un homme dans ma vie. Assis près de moi sur mon lit, il me tenait pas la hanche en me parlant d'amour jusqu'à me faire coucher sur le dos. J'avais très peur et je regardais l'heure. Tout ce que je voulais, c'est que ça femme vienne vite découvrir vraiment de quoi je parlais. Il commençait par m'embrasser et me caressait avec tendresse puis je me suis laissée emporter.... Il était toujours couché sur moi. Après qu'il eut soulevé ma robe, j'ai senti un corps étranger me pénétrer. J'étais complètement emportée par ses va et viens... Tout à coup, sa femme ouvrit la porte sur nous : "Charbelle ?".

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