Les péripéties de la vie

Les péripéties de la vie

The world of stories

5.0
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Elle est jeune, belle et croque la vie à pleine dent. Grandir dans un milieu régit par des règles à n'en plus finir ne l'empêche pas d'avoir un penchant démesuré pour la fête. Elle surprendra malgré elle une conversation qui changera à jamais sa vie. Parviendra t elle à accepter tous ces concepts qui vont à l'encontre de ses principes? Parallèlement, nous avons Gaëtan un trentenaire marié avec 2enfants, un homme très connu dans la société à qui la vie réussit sur tous les points. Il possède par ailleurs une certaine particularité qu'on ne décèle pas chez la plupart des mortels, une particularité qui le poussera à faire certains choix qui auront des impacts néfastes sur sa vie. Ces deux personnages complètement différents seront liés par le destin à la suite d'un évènement hors du commun. Comment feront ils face aux épreuves ? Par quel issu et quel fin s'en tireront ils ? Le plus important, à quel prix ?

Chapitre 1 (*_*) PROLOGUE (*_*)

Lalla-Mariama : Je pense vraiment que tu devrais arrêter de faire une fixette sur le prof et te concentré sur ce qu'il dit, les examens sont prévus pour bientôt.

Moi (agacée) : Se rincer les yeux n'à jamais fait de mal à quelqu'un je te signale.

Pendant le cours de philosophie, je me mets toujours au fond de la classe pour mieux admirer le professeur.

C'est un régal pour les yeux. J'aurai pu continuer à rêvasser sur son corps d'Appolon mais c'est sans compter sur l'indélicatesse de lalla-mariam de me ramener à la réalité.

Lalla mariama : quand ça touche aux cours, je crois que si. D'ailleurs, que lui trouves tu à cet homme ?

Moi (tout sourire) : sa bouche, j'imagine qu'il sait bien s'en servir. Son corps, hmm ! et ses muscles. De quoi faire bander une vieille.

Lalla mariama : soubhannalah ! puisse Dieu avoir pitié de ton âme. Sais tu que tu es entrain de forniqué ?

Le regard que le professeur nous a lancé m'a évité de répondre à sa question. Je sens que si j'ouvre encore la bouche, je me retrouverai dehors en un rien de temps.

J'adore cette fille mais franchement je la trouve trop coincée pour une jeune de son âge. Elle devrait prendre le temps de s'amuser un peu et de profiter des merveilles que la vie à nous offrir.

Faire la fête n'a jamais fait de mal à quelqu'un mais J'ai l'impression que l'entourage dans lequel j'ai grandis trouve un inconvénient à cela, surtout mes parents.

Pourtant je fais de mon mieux pour apporter de bonne note mais rien y fait. Ils ne veulent toujours pas me donner un tantinet de liberté soit disant que j'ai le don d'exagéré dans toutes les choses que je fais. Est-ce vrai ? Peut être bien que oui mais je ne m'en formalise pas.

Si au début j'étais totalement décontenancé, j'ai par la suite eu l'idée judicieuse de me créer ma propre vie c'est-à-dire, sortir à leurs insu. Là au moins, il n'y a personne pour me rabâcher les oreilles à longueur de temps.

D'ailleurs, Le fait que je sois l'ainée de la famille ne tourne pas les choses à mon avantage. Je suis constamment obligé de donner le bon exemple comme si j'avais demandé à tenir ce rôle de la grande sœur parfaite.

Et ma mère qui ne cesse de me répété à tout bout de champs que je représente une figure maternelle pour mes frères. Et alors ? Donc pour cela, je ne dois pas vivre ma vie ?

Mes copines en ont marre que je sois à longueur de temps entrain de leur parler de la chance que certains enfants ont. Je parle de la liberté de sortir sans avoir l'impression d'être dans une prison.

Je suppose qu'elles doivent être sûrement du même avis que mes chers parents raison pour laquelle elles affichent constamment cet air agacé.

Je sais que je dois me concentrer sur mes études et vouloir faire la fête tout le temps m'éloignera de mes objectifs Premiers, mais est ce pour cela que je dois vivre comme un rat de bibliothèque ?

Je pense sérieusement que le fait d'accorder une certaine liberté à son enfant peut l'amener à se responsabilisé et il réfléchira à deux fois avant de commettre l'irréparable.

Alors que le coincé, une fois qu'il voudra se braquer, il ne sera attirer que par les vices. Et quand il sera dehors, il voudra faire tout ce qu'on lui a empêché de faire pendant des années en un laps de temps.

Ils m'arrivent très souvent de me demander comment ce serait si j'étais née dans une famille assez ouverte d'esprit parce que cette vie ne me plait pas du tout.

Le seul fait de me dire que j'aurais peut être eue la liberté que j'ai toujours rêvé d'avoir me mets dans tous mes états. Comme on dit, il n'y a que les contraires qui s'attirent.

Je suppose que c'est pour cela, Dieu m'a placé dans une famille comme celle-ci.

Ce qui me pousse d'ailleurs a redoublé d'effort cette année, c'est mon envie de décrocher ce foutu baccalauréat et m'envoler pour le canada.

J'ai rêvé de ce pays depuis ma tendre enfance. La seule matière dans laquelle je n'ai pas eu à fournir d'effort depuis le collège, c'était l'anglais. J'ai toujours été la meilleure en cette matière.

L'un de mes passes temps favori, est de regarder des films en anglais sous-titré et rechercher sur internet les définitions des mots que je ne connaissais pas. Bien que cela ne soit pas trop divertissant, cela m'a aidé à me bonifier.

Étant de nature très extraverti, je parle sans cesse parfois pour ne rien dire ce qui fait que presque tout le monde me connait au lycée mais cela a ses bons coté parce que je me fais invité dans les fêtes les plus branché du bahut et même en dehors.

La vie de fêtarde est souvent très mal vue en Afrique de l'ouest et surtout au Niger ou 99% de la population est musulmane. Ils pensent tout de suite que quand tu sors, c'est pour aller te prostituer ou se disent que tu n'es pas vierge, ce que je trouve carrément aberrant. Ils passent leurs temps à se focaliser que sur l'apparence physique bien que très trompeuse dès fois.

La seule personne qui me comprend, c'est mon meilleur ami Ashraf qui, malgré qu'il soit très croyant et pratiquant, ne me juge pas bien au contraire.

Je me rappelle d'ailleurs qu'une fois, il m'avait dis que malgré le fait que je fasse constamment la fête, je ne dois jamais oublier de faire les cinq prières obligatoires et m'exhorte à chaque fois de faire le bien autour de moi. Que ferais je sans lui ?

J'ai été tiré de mes pensées par la sonnerie, annonçant la fin du cours et surtout annonçant le début du weekend ce qui ne peut que me réjouir car je vais encore casser la baraque.

Ça me rappelle que je dois aller faire les boutiques. Je dois me torturer par conséquent les méninges pour trouver une bonne raison qui pousserait papa à me donner un peu de sous. Vous ai-je déjà dis que ma vie c'est de la merde ? Bon ben sachez que c'est le cas !

Bref, trêve de bavardage. Ce soir, Niger prends moi cadeau... rien ni personne ne m'empêchera de m'amuser.. La vie est courte, il faut savoir en profiter..............

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Je m'appelle Charbelle ! J'ai perdu mes deux parents dans un accident de voiture alors que je n'avais que 12ans. À leur décès, une amie à maman m'a hébergé chez elle en attendant que mon oncle qui était au Nigéria ne vienne me chercher. Les jours passaient mais ils ne revenait pas. Le mari de ma tutrice n'était pas d'accord de ma présence mais sa femme ne voulait pas me laisser souffrir. Au fil du temps, il finit par accepter que je vive avec eux. Tout allait bien et ils prenaient bien soin de moi. Au fait, ils n'ont pas d'enfant. J'étais comme leur fille et ils ont même voulu faire de moi leur enfant légitime par adoption mais ça n'a pas abouti car la famille de mon père était contre. Le nouvel épisode de mon aventure a commencé le lendemain de mon anniversaire ; je venais de fêter mes 18ans. Mon tuteur ne cessait de me rendre visite dans ma chambre surtout quand il constate que je viens juste de quitter la douche. Souvent, il dit que c'est pour passer mon chargeur. "Ton chargeur charge vite mon téléphone " dit-il. Un jour, il a essayé de m'embrasser mais je l'ai repoussé. Quelques jours plus tard, il me proposa de coucher avec lui en échange d'une moto neuve mais j'ai refusé systématiquement. Avec le temps, son comportement devenait insupportable et je ne savais comment prévenir sa femme. J'ai ensuite raconté ce qui s'est passé à ma meilleure amie puis elle m'a recommandé d'en parler à sa femme. C'était compliqué et je ne savais par où commencer. Aussi, je me demandais si elle va me croire. Avec beaucoup de courage, j'ai fini par informer ma tutrice. Elle ne m'avait pas cru et elle me menaçait sous prétexte que je veux détruire son foyer. C'était le début des hostilités entre elle et moi ; heureusement qu'elle n'a rien dit à son mari. Un jour, elle m'a rappelée pour me demander de lui prouver que son mari essaye vraiment de coucher avec moi. Durant nos échanges, elle m'a proposé de la biper si je remarque qu'il veut recommencer et surtout de le laisser m'embrasser pour qu'elle soit convaincue. Le week-end suivant, alors qu'elle avait demandé la permission à son mari pour aller au salon de coiffure, je me retrouvais seul avec lui au salon. Nous regardions la Tv mais il ne cessait de sourire chaque fois que nos regards se croisèrent. Gênée, je suis partie me coucher dans ma chambre. Quelques minutes plus tard, il vint frapper à ma porte. Sans plus tarder, j'ai bipé ma tutrice avant de l'ouvrir. Je n'avais pas encore embrassée un homme dans ma vie. Assis près de moi sur mon lit, il me tenait pas la hanche en me parlant d'amour jusqu'à me faire coucher sur le dos. J'avais très peur et je regardais l'heure. Tout ce que je voulais, c'est que ça femme vienne vite découvrir vraiment de quoi je parlais. Il commençait par m'embrasser et me caressait avec tendresse puis je me suis laissée emporter.... Il était toujours couché sur moi. Après qu'il eut soulevé ma robe, j'ai senti un corps étranger me pénétrer. J'étais complètement emportée par ses va et viens... Tout à coup, sa femme ouvrit la porte sur nous : "Charbelle ?".

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