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Destinée Double

Chapitre 3 Chapitre 3

Nombre de mots : 2985    |    Mis à jour : 18/09/2022

3 : Desti

s plus

n'était presque jamais là, toujours entre deux ou trois avions, toujours entrain de gérer ou de régler des comptes quelque part sur la planète, à 40 ans il ne s'arrêtait jamais. Il n'était jamais là, mais sa présence je la ressentais tout le temps, il semblait omniprésent! Il était partout! Dans les médias, la p

disait de ne pas tenir compte de tout ce qui se racontait, il les traitait tous de mouchards, et de n'y prêter guère attention. S'il pensait que je me faisais un sang d'encre pour ses conneries, il se mettait le doigt da

ais te montrer

mée en italien ! Je parlais déjà assez couramment cette langue, en plus du français. Je venais de terminer mes études, à l

oi, il voulu me faire changer et oublier, tous mes tendres souvenirs d'enfance ; il pensait me faire changer et tout oublier; c'était quasiment impossible. Cette face cachée de la lune qu'il me faisait voir à tout bout de champ ne me rendrait jamais les miens! J'avais longuement pleuré mon départ et je me demandais ce qu'était devenue entre autre

e; elle était bien gentille et jouait en même temps les dames de compagnie. J'avais aussi remarqué qu'elle rendait compte points par points de tous mes faits et gestes à son patron ; je compris par la suite qu'elle n'avait pas le choix ; je compris que ce qui était peut être arrivé à Madeleine au pays pouvait aussi lui arriver si elle transgressait certaines règles. Elle ne faisait

ien, ses entrées et sorties, ses allées et venues un peu partout; mais personne ne nous avait encore jamais vus s'afficher ensemble publiquement. J'avais appris qu'on m'appelait "la petite gazelle africaine du Sicilien!" certains poussaient le bouchon un peu loin en me traitant de «

passé la vraie bague au doigt, il m'embrassa, je lui rendis tout simplement ce baiser de judas, en jouant les amoureuses... J'étais devenue une femme en tant que telle, j'apprenais toujours de Mémé la gouvernante ; elle me donnait tous les petits secrets à savoir comment tenir un homme ; elle m'apprit à cuisiner italien ! Mais elle m'avait averti q

l'excitait au plus haut point. Je me plaisais aussi de temps en temps à le voir piquer ces colères et mourir de jalousie. Mais ce n'était que provisoire ; il me prenait aussitôt et nos jeux érotiques reprenaient de plus belles ; j'étais devenue une vraie petite bombe ! Je savais le prendre et le rendre fou ! Il jouissait toujours à l'extrême, il était en extase. On faisait quand même chambre à part et ça me plaisait mine de rien, de pouvoir ainsi entretenir chacun une petit

xpliquait tout ce dont je voulais savoir... Mais lorsque je lui demandais si c'était normal que j'entretienne ce genre de relations avec Antonio, du moins je lui demandais souvent pourquoi il m'avait épousée si jeune et a

ce qu'il demande...Va, il t'attend

nquaient pas et ne tarissaient pas, il avait de l'inspiration...O

lle bien racée !!!! Viens, où étais tu de la journée ? Je détest

tant ! Je suis toute à toi ! Je vais monter sur ta

re et deviner les formes de mon corps ; il se plaisait à laisser la lumière du jour qui disparaissait lentement et dessiner les petits détails d

priété privée, sa petite femme

ulais revoir les miens secrètement, mais je savais que c'était peine perdue, il n'accepterait jamais ! Jusqu'au jour où lors d'un de mes séjours à Paris, je tentais une petite évasion ! Je voulu faire changer mo

a !!! Tu ne t'e

ous sommes toutes les deux ici, il n'en saura rien,

tu ne réalises pas encore qui est cet homme... Antonio ... Je dis bien Antonio ... Le Sicilien ! Je ne connais pas ton pays! Imagine même qu

n ira à..

quo

vill

ton... Village ! Tu me l'avais raconté ! Souviens

Par sa f

force ! Laisse faire, tu ne sais pas pourquoi il a agit ainsi ! Cet homme c'est l'incarnat

ans doute

ma mère et ma sœur, et je m'en voulais par moments de me laisser donner autant, de me laisser satisfaire e

étais, certains m'enviaient et d'autres me détestaient tout simplement ! Je m'étais quand même fait quelques copines du moment, nous nous entendions bien et nous avions l'habitude de sortir, boire un petit café, aller au cinéma, aller danser, ou encore d'étudier ensemble chez chacune d'elles. Elles venaient très rarement au manoir, je ne v

peloter sans gêne ! Il n'avait que 26 ans, je le trouvais hyper craquant, avec son regard chaud et ses longs cheveux bouclés qu'il laissait pousser et qui lui retombaient légèrement sur les épaules. Il bandait, nous étions presque nus tous les deux, dans la chambre de Luigia ! Il fallait faire vite, car le couvre fe

chambre d'étudiant. Je me sentais femme et je me sentais vraiment aimée et désirée ! Avec Antonio mon mari, j'étais plutôt sa chose, son objet, l'objet de ses fantasmes, Antonio avait un plan bien tracé avec moi, je le savais ! Je lisais dans son regard parfois une petite mesquinerie qui en disait bien long, il savait ce qu'il faisait ! Alor

en peine mon

.. Il l'a tué ! I

i je vis et je fin

nt et un jalou

si égoï

nt de partout ! Mon cœur était en peine, je pleurais intérieurement, pour ne pas afficher mon mal être face à lui ! J'aimais sincèrement Roberto.... Il me l'avait arraché, il l'avait tué, son corps avait été retrouvé gisant dans une marre de sang ! On avait fait croire à une agr

ait consolée et pansé les bleus que j'avais eu suite au

nous un instan

réservait comme surprise par la suite. Il s'arrêta soudain, et se rapprocha de moi. Il me prit le visage avec une

ïe

i heureuse et chanceuse que tu

e... Snif !!!! Je veux mourir... Partir,

tit chien !!!!! Je vais t'apprendre désormais qu'on ne se fiche pas de ma gueule... Tu vas baiser autan

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