Destinée Double
5 : Desti
un peu italienne, mais aussi camerounaise dans l'âme ; je n'avais plus revu les miens depuis belle lurette, elles me manquaient toujours autant, mais je me demandais bien si un jour je pourrai encore y retourner, les retrouver et y vivre. C'était toujours mon souhait. Cer
t pour du business me répétait il ! J'étais devenue sa petite vraie pute ! Alors danser avec un autre homme de ma race ne ferait pas de mal. Je savais qu'il n'accepterait jamais que je tombe vraiment amoureuse d'un autre, je savais qu'il ne le permettrait pas, de sortir avec un autre de part ma propre volonté. C'est lui, me répétait-il, c'est lui qui choisissait avec qui je devais le faire où pas, et non le contraire. Mais ce soir là, c'était quand même mon anniversaire ! J'étais bien curieuse... Il
emande bien ce que je f
h...
nne ? Tu as un
s camero
alors
place comme quoi il venait d'enten
par me donner le v
.. Je suis aus
alo
d'onduler mes hanches dans une de ces pe
toi qui va me donner l
onc originaires
lex, je m'ap
c'est
. Mme Nael
moi Naelle
rquoi tu t'es tu
lâchai et je me dirigeai brusquement hors de la piste ; je ne s
! J'ai juste poussé le bouchon un
e moi d'autre chose, parle moi un peu de mon pays !
ans... Mes parents se sont installés ici dep
âge as-tu
En passant Joye
moi, ça fait une bonne dizai
s me permettre de te faire ce genre de co
m'enlaça par la taille et me fit un baiser sur le
n a fait une nouv
'est juste un frère, un compat
olé mais je vais dev
Alors, il valait mieux en rester là ! En me retournant, je vis qu'il avait toujours les yeux posés sur moi, Antonio me tenait toujours par la taille. Alex leva juste son verre en guise d'un au revoir. Je savais que je n'allais plus le revoir, c'était p
court mais parfois celui de négociatrice sur fond de séduction ; tout passait par là et je devais parvenir à les convaincre. C'était la nouvelle méthode du Sicilien, la méthode d'intimidation pour contraindre ceux qui lui résistaient ; il se servait de moi pour atteindre ses objectifs et il pensait atti
pérerait tout, d'une façon ou d'une autre. Je suivais toujours tous ces cours particuliers, il y mettait beaucoup d'accent afin de me parfaire pour ce rôle que je venais d'endosser. Les deux précédentes missions étaient presqu'identiques, j'avais assumé le rôle de l'amante scandaleuse ; jouer les allumeuses, ensuite mettre le grappin dessus et conclure
se faisait appeler « Lucky ». Il m'attendait, mais plutôt à l'intérieur de cette galerie un peu austère ; j'avais la frousse, et je savais que je risquais ma vie en m'y rendant à ce genre d'endroit. On me conduisit, je me laissai guider un peu péniblement. Nous étions à ce moment précis dans la ville de Naples et «Lucky »
étais devenue une sorte de pute luxe, une vraie ordure, je me sentis mal. «J'aurai dû mourir.... j'aurai dû mourir depuis ce jour là... » Pensai je amèrement. Cette fois ci j'étais persuadée que mon destin n'était pas celui que je vivais à ce moment là, il aurait dû être un autre, il aurait dû être différent... Alors j'aurai dû mourir après qu'il m'ait enlevée ».... La porte s'ouvrit tout à coup, je me retournai, et au mê
ue tu as ? Je
s et trois hommes e
alin lui ! Moi je ne marche pas là dedans.... Je vais te prendre tout à l'heure... Il ne m'intimide pas du tout ! C'est moi qui pose
e me conduire dans une autre pièce toujours souterraine ; je sentais mes nerfs me lâcher et je sentais tout vaciller autour de moi ! Il faisait chaud et j'étais au bord de l'étouffement. La pièce d'à côté contenait un lit et une douche, assez propre
. Encore moins au sien... Il ne te retiendra pas
s éco
s que quelques vagues souvenirs de ma première communion avec ma sœur, de nos robettes blanches et de ce petit morceau de pain que le prêtre avait déposé dans le creux de nos mains ! Pour le reste, je n'avais plus aucune notion du Christ ! Surtout depuis que ma famille, mon village avaient été détruits par cet homme. Mais je
aiment, ne crois tu pas que
e tu m'aides....Je ne sais pas comment tu vas me sortir d
t il avait prévu de me prendre me donna un de ces tournis qui me mettait encore plus mal en point. J'avais juste des larmes pour
un d'autre. Au fur et mesure les voix que j'entendais se firent de plus en plus lointaines ; je sentais qu'on me portait sur ce fameux brancar
e céle
e fondre dan
t'appartenir
s bien mi
rpitudes hu
étaient plein d'amour vrai, je le sentais, je savais distinguer l'amour vrai du faux ! Mais je ne savais vraiment pas
. suis –je ?
fallu de peu... Mais le Seigneur ne la pas voulu !
ongue de couleur grise, une sorte de long foul
je... Il faut que j'y aille.
us retrouvera, d
ne savez pas ce
Je vous en supplie !!!! Il
le savons... Mais la maison du Seigneur a
a ? C'est quoi
ent des « Sœurs de
sœur ... Je ne sais pas... Si vous
i tu mets ta foi en DIEU, toi
êtes
ue mes boyaux me sortiraient directement par la bouche ; les coups de feu me perçaient le tympan, c'était insupportable, je me bouchai en même temps les oreilles et je fermais les yeux. Il y eut un moment de silence et lorsque je les ouvris, je ne pus contenir mon abjection ; ils venaient de tous s'entretuer ; je fis un effort surhumain pour me lever et me faufiler assez péniblement entre ces corps déchiquetés par les balles et qui baignaient dans une petite marre de sang ! Je fis un effort pour garder mon s
? Hein ? Tu ne t'en t
rd, le coup
it qu'il me regardait. Je n'arrêtais pas de crier et de tenter de ramper encore malgré mes blessures, je pensai immédiatement aux hommes d'Antonio,
résent ! Ils ... ils m'on
Seigneur sont i
j'eus du mal à le ré
i dis merci ! Mais vraiment, je dois m'en
vous y aller ? Vous n
st ce
5 jours que vous êtes inconsciente ; on vous a plongée dans une sorte de coma art
qui l'a
peux l
as je dois
e, je ne me sentais pas bien, j'avais cet
pas que je ne
z plus .... Vous ne po
gneur