À l'aube de mes sentiments
lgré la joie de vivre qu'elle dégageait. A ce moment je pensais à ma propre vie. Qu'est ce que je deviendrai si elle n'avait pas été la. Aurait je eu la même volonté pour me
rfois rigoler ensemble. Quand tata rentrait c'est elle qui réchauffait et je la revoie encore dresser la table, mettre de l'encens, aller se changer et se parfumer pour venir manger avec tonton Fara. Pour quelqu'un qui mangeait parfois dans sa chambre et se couchait tout de suite après le changement était radical.
xes. Je me trouvais trop grande, trop mince et sans forme. Tout le monde me trouva belle et jolie mais pour moi j'étais bizarre. A cette époque je faisais tout pour grossir. Je mangeais comme une ogre
t ce qu'elle mange à quoi ca lui
rosse. Bizarre. Ca me déprimait et je me sentais mal dans ma peau ce qui a accentué ma timidité et ma propension à me renfermer sur moi-même. Les règles ont accentué mon mal être et je me suis encore plus renfermé sur moi-même. Je fuyais les gens et préférait de loin m'enfermer
an d'amour se projettait dans chacun ses romans. Elle était à la quête perpétuelle du grand amour. Dès qu'un garçon la regardais une fois, ou lui parlais, elle se voyait déjà finir sa vie avec lui ; et même si ca n'aboutissais pas, elle ne se décourageait jamais. Persévérante jusqu'au bout. Moi j'étais plus réservé avec les garçons. Je recevais beaucoup de déclaration
dre car il semblait s'amuser. Il était mignon, plus que mignon même. En plus il était travailleur, sérieux et adorai lire. On avait les mêmes centres d'intérêt. J'aimais discuter avec lui car il me
é, offre moi ton
es Mouha... répondi
table banc, m'a regardé droit dans les yeux et a
véritable torture de te côtoyer tous les jours et que tu me prennes juste pour un ami. Je ne supporte plus ca car je suis vraiment m
oi je ne savais plus quoi répondre car cette fois ci j'étais convaincu qu'il était sérieux en me disa
i jamais réfléchi à ce type de relation entre no
ndre la tangente. J'ai cherché Coumba pour
nt beau. Vos formez un beau couple ma chérie.
uste comme un frère. Mais je ne sais a
non. Essaie et si ça ne m
e considéré encore trop jeune pour m'engager dans une relation amoureuse et surtout pas avec un jeune de ma classe. J'avais 1
longue il comprit et un jour me glissa un mot dans mon sac. Je le vis à la maison et il m'expliquait qu'il m'aime plus que tout, mais qu'il préfère mon amitié à cette soudaine froideur qu'il a constatée ces derniers jours. Sa lettre était tellement triste que j'en pleurais. Le lendemain, à la pause, je suis allé lui parlé et lu
Il est arrivé un dimanche soir et ce jour la, j'étais très nerveuse. J'étais allé voir mes parents et à mon retour je l'ai trouvé au salon en train de discuter avec son beau père. J'ai eu comme un choc en le voyant. Il était encore plus beau que dans mes souvenirs. Mon cœur battait
uldé
s-je timidement en
ait que j'avais les oreilles rouges. Mon cœur battait fort et j'avais perdu tous mes moyens. Il me posait des question
t grandi. Tu ne m'avais pas di
ouldé tranquille. Même
il vint s'assoir à coté de moi et continuait à me dévisager comme une peinture. Son ciné
la porte. C'était lui. Il s'était douché et changé. Il sentait bon et quand il est entré dans ma chambre je l'ai regardé avec d
ouldé c'es
voix tremblante en
milieu de la chambre et
pour savoir ce qu
ntenait un coffret avec un lait de corps, un
ci...c'e
Je ne savais pas t
e dans les pensées.
a. c'est tout à fait normal. Bon
n fait je ne voula
cement la porte. Cette nuit j
passé entre ces deux la. Malick me demandait toujours d'arrêter de paraitre gênée en sa présence et pour cela dès qu'il me voyait, il criait, venait me prendre dans ses bras, me soulevait et toutes autres types de singeries. Finalement, au bout de quelques jours, la gêne fit place à une complicité et je le taquinais sans cesse sur son accent français, sur la manie qu'il avait à son âge de j
première fois que j'entrai dans une salle de cinéma et quand la première image est apparu dans la noir, j'ai sursauté et pris sa main ; ce qui m'a valu des blagues pendant des jours. C'était aussi l'époque du walkman (ne rigolez pas). C'était à la mode et il voulait
quelques jours et qu'il était hospitalisé. Je promis de lui rendre visite le lende
dre mon petit déjeuner. En traversant le salon, j'ai aperçu Malick assis en train de répon
uoi tu pars? Vie
rs a toujours faire la bise). Il était plus grand que moi et avait une petite barbe. Ca
de me lever et je ne
.
de ou tu n'as pas envie
n peu trop rapidement
nt belle dit il en se mettant deva
s « lifes » et avait attac
Je m'éloignais un peu et me contentai de sourire. Je ne savais pas quoi répondre et je crois que je n'avais pas tr
de me ta
us les jours des compliments.
dans 3 moi
ais rencontré de jolies filles comme toi
ire à gorge déployée. Il était vraimen
endre mon pe
me prenant la main pou
u'il appelait son co locataire pour lui dire je ne sais quoi. Je l'écoutais en hochant la tête
n forme aujourd'hui
et j'ai prévu d'aller
is hier. Mais j'espère que
que c'est le palu. Je dois y
si tu veux, me dem
aman a décidé d'y aller cet après
était pas la quand tu me demandais mon âge. Elle
dans la cuisine. Tu es en âge de te marier et au lieu de ce