Les sentinelles de la reine Ou'Teikh - Tome II : Le cauchemar de la princesse d'Abyssinie
ère p
ie des
arquement e
longue traîne aux éclats teintés d'un subtil mélange de rouge, jaune et orange enveloppant cette douce atmosphère matin
. Le débarquement les appelait avec une troublante imminence. Le lieutenant Bricard
z-vous bien dormi ? Voilà une b
s dans ce beau ciel semblent nous annoncer une magnifiqu
eurs provenant de la rive et entendu quelques ébrouements de chevaux sur le rivage la nuit dernièr
ue attention de nos hôtes ! Attendons-nous à les recevoir sous peu ! Je l'espèr
fut comme vous l'aviez demandé
! Alors j'en ai profité pour relire nos cartes et
que nous venons de vivre, vous avez été de tous les fro
écieux allié ! Cependant, aussi paradoxal que cela puisse paraître, vous peinerez à
dernière ! Je n'ai cessé de m'interroger sur notre position ! Sommes-no
diable les récits d'expédition ne mentionnent-ils pas l'existence de ces peuples dont la civilisation semble si évoluée ?
récit ou carte. Cela alimentait en lui une palpable frustration. Cependant, cette grande inconnue fut plus qu'il n'en fallait pour galvaniser l'esprit d'aventure qui d'ordinaire animait l'homme. Parfois, le lieutenant Bricard se prenait à imaginer à ce qu'aurait pu être le capitaine, ce talentueux marin doué d'un remarquable génie militaire, s'il n'avait pas embrassé la marine ?
l pas venu de tirer tout cela au clair ? demanda le lieutenant Br
Voici venu le moment de quelque rencontre avec leur souverain,
os ordres pour débarquer, capitaine ! lança le lieute
quelque audience auprès de leur souverain ! L'absence de fortifications portugaises sur des territoires
ela ne tienne, nous irons à terre pour le savoir et déjouer toute intrig
gne, votre fougue autant que votre zèle à l'appel de l'action et du devoir, répond toujours aussi fidèlement
honneur de servir sous votre commandement ! Je vais faire une dernière inspection et veiller à
s tenir rapide conseil et organiser le débarquement comme il se doit ! Faites apprêter deux chaloupes et
rer à travers ces collines escarpées ! Elles risqueraient dav
fusils et munitions ! Si les choses venaient à mal tourner, nos canonniers ser
as transmettre vos instructions ! répondit
ord de l'Aventureux, sous le commandement du capitaine Dargenteuil.
la rive ! Environ une vingt
! C'est en dignes marins de notre prestigieuse couronne de France que nous i
nstance, elle ne troubla nullement l'homme dans son maintien. Il replia son instrument et le tendit au lieutenant Bricard qui se trouvait près de lui, l'air de lui demander : « Sont-ce bien les hommes que vous avez vus derrière ce mont, dans cette grande cité ? ». La crainte d'un assaut des Portugai
en dignes serviteurs de Sa Majesté, le roi de France, que nous y entrerons sans défaillir ! Le moment est venu de lever le voile sur quelques troublantes interrogations ! Le temps
isse d'énormes chien
uelque garnison en retrait ? in
combinaison noire et sont armés de fusils, sabres et la
rt d'agrémenter notre débarquement ! Larg
répondit le second qui fit