Les sentinelles de la reine Ou'Teikh - Tome II : Le cauchemar de la princesse d'Abyssinie
r arme, l'air de se demander quelle pouvait bien être la prochaine scène de cette rencontre improbab
inconnu, cette destination qui fut aux antipodes de leur mission ? Dans leurs regards perçait ce mélange de fascination et d'excitation mêlée d'une angoisse qui les
mbition d'explorer un jour ces lointaines contrées africaines ! Voilà qu'aujourd'hui je m'y trouve par quelqu
vi sur un plateau par ces indigènes ou plutôt servi à leur plate
on, au point de croire à ces viles sornettes, m
ême de dériver le cours de certains mouvements ! Ce que nous sommes sur l
tre malheur ! Je n'entends nullement confier mon arme à
d'en savoir davantage sur leurs intentions ! Pour l'heure, gardez-vous donc de commettre la moindre imprude
de Seigneu
les marins quelque intimidation palpable. La nature avait pourvu leurs équidés d'un haut garrot, d'une robuste charpente recouverte d'une magnifique robe de couleur noire pour certains et marron pour d'autres. Chaque cheval arborait majestueusement un ornement doré aux insignes de leur royaume. D
L'animal dans sa posture se distinguait par cette ligne flexible et cartilagineuse, laquelle partait de la dernière vertèbre formant la robuste queue de ce corpsoblong et platvers l'avant, poussé par de vigoureuses pattes postérieures, jusqu'au bout d'un museau allongé et comprimé. L'étendard flottant sous la douce brise mat
mien, en maître absolu, j
rd comme emblème de leur couronne
mal primitif, lequel est sûrement à l'image de l'évolut
! D'ailleurs, il ne s'agit nullement d'un lézard
e espèce ! reprit l
seigneur de guerre ! Il a su au cours d'une longue évolution élaborer des stratégies de chasse sans faille, lesquels lui o
s de Cartographes et de Naturalistes zélés !
de leur évolution comme de leur symbolique ! Si vous réfutez tant la noblesse de l'animal, pourquoi donc apparaîtrait-i
r goût de représenter leur pouvoir avec quelques animaux aussi primitifs que hideux, po
nes d'Europe, figurent lions, tigres, aigles et autres prédateurs, tous aussi exotiques les uns que les autres, je vous l'accorde volontiers ? Vous aurez
n avis, ces indigènes ne sauraient prétendre à quelque n
-vous comparer les armoiries de nos prestigieuses couronnes à cell
nspire ! Voilà qui risque fort un jour de ca
stionnements qui relèvent de l'Académie des sciences ! L'Histoire nous app
emblème
tour d'une autre petite unité d'une dizaine de cavaliers rangés dans un ordre qui évoquait singulièrement des chevrons dont la pointe était orientée vers l'océan, face aux marins
otectrice dont l'aspect évoquait singulièrement des écailles jointives, quadrangulaires sur le ventre et au dos, et espacées les unes des autres sur les flancs. Cette cuirasse protégeait leur corps du cou jusqu'à la ceinture, tels des reliefs épidermiques présentant des crêt
de leur monture. Celui-ci avait des dimensions qui leur assuraient une protection jusqu'aux genoux. Constitué de solides plaques d'un métal dont le relief donnait l'apparence d'une peau de crocodiliens. Au centre du bouclier se trouvait une plaque métallique arrondie,