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L'Exil Qui Révèle La Force

Chapitre 4 

Nombre de mots : 832    |    Mis à jour : 03/07/2025

e à une sorte de clarté froide. C'était fini. Vraiment fini. Il n'y avait plus de place pour le dou

alors que je fermais ma dernière va

s ton sac. Et une écharpe en plus, les so

pleine d'un amour inconditionnel qui contrastait

i, ma chérie. Appelle

is, ma

ite. La plupart de mes collègues étaient surtout soulagés de ne pas être à ma

ûr, ils é

'avaient pas encore vue. Pierre avait l'air sombre, Sophie lui parlait à voix basse

anne

e. Ils se sont approchés. J'ai c

ends ! » a in

, sans me retourne

r, » a dit Pierre, comme si c'était

a dit Sophie, se plaçant devant moi. « J'ai dit à Pierre que c'était un

comme si elle était la gardienne de ses sentiments, a provoqué en moi une vague de dégoût. Elle ne cherchait

mon regard d

dire. Et je n'ai rien à entendre de t

retournée v

contacter. Ni l'un, ni

quai, les laissant plantés là

ranlé. J'ai regardé Paris défiler, ses toits gris, ses rues familières. J

l'agence, j'avais aperçu pour la première fois l'homme

erre d'eau à la main, observant la scène avec une expression indéchiffrable. Il était plus grand que je ne l'imaginais, avec des cheveux poivre et

e, m'avait prise par le bras po

e architecte qui va rejoindre votre équipe. Jeanne, v

i tendu

tée, Mon

he. Ses yeux, d'un gris perçant, m'ont examiné

comme une reconnaissance. « J'ai bien

était ni un compliment, ni

Le chantier n'est pas un salon parisien. Le tr

ons et est parti, me lai

t. « Il est toujours comme ça. Ne

sonnel. C'était

t, j'ai repensé à cet homme. J'avais fui une relation toxique, une fausse fragilité, une lâcheté. J'allais vers un

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