L'Exil Qui Révèle La Force
e à une sorte de clarté froide. C'était fini. Vraiment fini. Il n'y avait plus de place pour le dou
alors que je fermais ma dernière va
s ton sac. Et une écharpe en plus, les so
pleine d'un amour inconditionnel qui contrastait
i, ma chérie. Appelle
is, ma
ite. La plupart de mes collègues étaient surtout soulagés de ne pas être à ma
ûr, ils é
'avaient pas encore vue. Pierre avait l'air sombre, Sophie lui parlait à voix basse
anne
e. Ils se sont approchés. J'ai c
ends ! » a in
, sans me retourne
r, » a dit Pierre, comme si c'était
a dit Sophie, se plaçant devant moi. « J'ai dit à Pierre que c'était un
comme si elle était la gardienne de ses sentiments, a provoqué en moi une vague de dégoût. Elle ne cherchait
mon regard d
dire. Et je n'ai rien à entendre de t
retournée v
contacter. Ni l'un, ni
quai, les laissant plantés là
ranlé. J'ai regardé Paris défiler, ses toits gris, ses rues familières. J
l'agence, j'avais aperçu pour la première fois l'homme
erre d'eau à la main, observant la scène avec une expression indéchiffrable. Il était plus grand que je ne l'imaginais, avec des cheveux poivre et
e, m'avait prise par le bras po
e architecte qui va rejoindre votre équipe. Jeanne, v
i tendu
tée, Mon
he. Ses yeux, d'un gris perçant, m'ont examiné
comme une reconnaissance. « J'ai bien
était ni un compliment, ni
Le chantier n'est pas un salon parisien. Le tr
ons et est parti, me lai
t. « Il est toujours comme ça. Ne
sonnel. C'était
t, j'ai repensé à cet homme. J'avais fui une relation toxique, une fausse fragilité, une lâcheté. J'allais vers un