L'Exil Qui Révèle La Force
venirs de Pierre et moi, quand nous étions enfants. Nous avions grandi ensemble, nos parents étaient amis. Il était mon meilleur ami avant d'être mo
dents, un bras passé autour des épaules de l'autre. Un pincement a traversé ma poitrine. Où était passé
e ses parents. Elle était venue vivre chez son oncle, le père de Pierre. Au début, j'avais eu de la peine pour elle. Elle était t
'adapter à elle. Si je proposais une randonnée, Sophie était "trop fatiguée". Si je voulais aller au cinéma voir un film
iser pour un examen important. J'avais préparé des fiches, organ
hie a une migraine terrible
uvent en ce moment, non ? » a
e, Jeanne. Elle est
sourire s'est figé. Elle a bafouillé une excuse sur sa "guérison miraculeuse". J'ai compris à ce moment-là. Elle ne mentait pas seulem
dispute de couple. C'était la fin d'une illusion. L'homme que j'aimais n'existait plus, ou peut-être n'
rte brusquement. C'était Pierre.
rler ? Vraim
s rien à te d
suis désolé pour hie
mbé sur une petite boîte en bois sur ma commode. C'était une boîte à mus
-il dit, la prenant dans ses m
Ou
ses, Jeanne. On ne peut pas tout
veux dire, pour ta trahison ? Pour le fait q
mencé à s'énerver, à faire
tégé Sophie ! C'est différent ! Po
in a heurté la commode. La boîte à musique a basculé et s
st tombé, lo
mécanisme tordu et silencieux. Le symbole de notre histoire, brisé en mille m
. Il n'y avait plus de colère
ris avec un air cont
grave, je t'en rachèterai
mprendre ce que cet objet représentait. Le manque absolu d'empathie.
petit rire sans joie s
u ne me rachèter
es morceaux de notre
hez moi. Ma