Mon Mari, Sa Maîtresse, Ma Vengeance
avocat, mon téléphone a sonné. C'était Antoine. J'ai hésité, puis j'ai
uoi
anniversaire de mon père ce soir. On fait u
neutre, pres
mille ? Tu plais
s. Il est triste, il ne comprend pas. Fa
s pour ça. Mais il avait raison sur un point. Louis souffrait. J'ai appelé mon fils. Sa peti
n. J'ai ravalé ma fierté et m
parents, un hôtel particulier à Neuilly. La porte était ouvert
ine, ses parents, son frè
ire. Il riait. La mère d'Antoine, une bourgeoise glaciale qui ne m'avait jamais aimée, lui souriait avec une a
n arrivée. J'ai traversé la pièc
, mon c
et son sourire a disparu. Il s'est ac
ama
timide. J'ai tendu les
voir m
n visage dans le cou de Manon. Ça
ête de mon fils, son expression un
r le temps. N'est-ce pas, mon trésor ? J'ai fait des co
. Ouvertement. Dev
trop. La di
lle pas "mo
ais chargée de fureur.
levé un
rdon
n'es rien pour lui. Tu n'es qu'une apprentie qui
ue. Antoine s'est levé d'un bo
ffit ! Excuse-toi
is t'excuser ! D'amener ta maîtresse aux dîners de fa
! Manon est là pour lui, elle s'en occupe ! Elle est plus un
s parents hochaient la tête, l'air appro
hauteur. Toujours à te plaindre. Manon
rire qui ressembl
us êtes pathét
approché de
ne verras pas Louis tant que tu ne te
. Mais il ne voyait pas que la femme
rdé avec un
toujours
partir. Il m'a attrapée pa
tireras pas
'est levé
lure pour notre nom. On aurait dû t'écouter, mon fils,
e a re
quartier... On ne peut pas
un vase déjà plein à craquer. Quelque chose en moi s'es
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