Chloé, l'Ombre Toxique
à nouveau. C'était Jean-Luc. Sa v
rrible après ton appel hier. Elle n'arrête pas de pleurer,
je n'ai même pas pu trouver la force de me m
s ?" ai-je sim
! Pas comme toi. Toi, tu es forte, tu encaisses tout. Elle, c'est u
. Les mots résonnaient é
re de ma fa
timbre et tu ne penses qu'à toi ! Si Chloé tombe malade à cause de t
peine capable de respirer. Jean-Luc devait partir pour un séminaire de golf à Deauville avec des clients. Je l'avais supplié de rester, juste un jour. Il m'avait regardée avec impatien
airante. Ce n'était pas un écho d
éter, d'être anxieux, de prendre soin de
personne, ce n'éta
u'un vide froid, analytique. J'avais passé des années à excuser son égocentrisme, à le mettre sur le compte de son ambition, de s
aboya-t-il au téléphone,
an-Luc.
oé a besoi
les sourcils
cins disent que c'est grave. Elle a besoin d'une transfusion sanguine en urgen
ration, lente et régulière. L'énormité de ce qu'il me dema
je lui donn
le, sans aucune place pour la négociation. "L'hôpital privé de Neuilly.
it que je sois la sauveuse. Que je donne une partie de moi-même
ueuse, qu'elle en devenait presque comi
oix qui ne tremblait pas.
ser ? Après ce que t
t une blague ? Écoute-moi bien. Je
je te pré
moi qui te préviens.
l n'était pas vide. Il était plein de ma propre force, de ma propre décision. Il avait franchi une ligne d
u'il vienne