La Revanche de la Princesse
mporte quel hiver. Les cordes rugueuses me serraient les poignets et les chevilles, si fort que la peau était à vi
de de toute émotion, alors qu'il me livrait à la tribu barbare des Steppes. Mon propre frère, Henri, avait appro
enso
oulaient rien de moi, pas d'information, pas de rançon. Ils voulaient seulement me faire souffrir. Alo
e. Tu n'aurais jam
a à cause d'une robe ? Parce que je l'avais réprimandée pour avoir volé ma robe le jour de mon anniversaire ? Cette s
e m'a traversé l'espr
oid. Plus
vitraux, projetant des couleurs chatoyantes sur un sol en marbre. L'air était dou
mes appartements au palais impérial. Mes mains... elles étaient
e fixait, c'était moi. Mais plus jeune, pleine de vie, sans l'ombre de la mort dans les yeux. Je p
huit
sur mon bureau. La date était encerclée de rouge. C'était aujour
uis et Henri, de la vengeance de Sophie... tout était gravé dans mon âme
ne seconde chance. Une chance non pas de fuir, mais de
venait de la grande salle de bal où ma fête d'anniversaire battait son plein. Les nobles de l
discutait avec des ducs, l'air suffisant. J'ai vu mon frère, Henri, le Prince Héritier
, je l'
e, tournoyant avec une grâce
portait
réation unique, d'un bleu impérial profond, brodée de fil d'or avec le sceau discret de la famille royale. Une r
is réprimandée en privé, essayant de préserver sa dignité. Quelle idiote j'avais été.
y aurait ni indul
ue semblait s'estomper, les visages des invités devenaient flous. Se
, quand j'ai parlé, était forte, claire et glaciale,
ard
ent approchés, attendant mes ordres. Tous les regards se son
s Sophie, qui s'était figée, un sou
nez
ne tremb
z-lui cet
tupeur a parcou
vés sur le visage de Sophie, q
r oser porter une