Une Robe, un Trône
fouettait le visage, mes poigne
erré les nœuds de ses propres mains,
ssistante, tandis que mon frère Henri, le nouveau Roi, s
mains rugueuses se sont posées sur moi, la
res gras résonnaient : ils parlaient de Sophie,
e Sophie avait volée et portée à ma propre fê
mon destin, que mon fiancé, mon frère, et une humble assistant
obe avait-elle déclen
ouffée de haine et de regret
une chaleur familière, les lys de mo
s dans ma propre chambre, indem
as morte. J'