À LA TÊTE DU CARTEL
éplorer dont nous ne connaissons toujours pas l'iden
l. Elle referme précipitamment la porte derrière elle et s'empresse de fermer le verrou. Sa
lle en attrapant la jeu
ue et se laisse sa
maman... Ne t'
evant ton restaurant ! T'as besoin de
z me reposer, souffle Louisa en s'
n, je suis là
projette son sac à dos sur le b
é sans qu'elle puisse faire quoique ce soit. Les images perturbantes de son corps désarticulé tournent en boucle dans son esprit et Louisa
de particulier en la tenant entre ses mains, peut-être
rte. Sa main se referment inst
rie ..?
man ! Ç
e tu veux ri
re seule, Louisa se lève et
Je veux juste
Tu veux pas
se précipite vers la porte d'entrée. L'une des ses solutions favorites pour éviter
ande sa mère en la sui
r des clopes et
e prend une grande bouffée d'air frais. Sa mère, de part son caractère hyper-protectric
sa rue. Les enfants qui jouent et rigolent dans les feuilles virevoltantes au vent, contrastent étrangement avec l'horreur de cette mati
nt, l'obscur
x. L'intensité de la frappe force Louisa à plier les jambes et se mettre au sol. Elle sent le sac se resserrer autour
t Louisa voudrait hurler jusqu'à s'arracher les cordes vocales mais sa trachée étant comprimée par le sac, elle n'émet pas le moindre son. Son impuissance face à ces hommes lui glace le sang. Elle entend br
onscience qu'elle vient