À LA TÊTE DU CARTEL
s milliers de parisiens qui rejoignent leur lieu de travail et entre-temps, la plupart d'entre eux s'arrêtent boire leur café matinal dans un petit b
! glisse t-elle discrèt
lui répond sèchement J
ice, Louisa se saisit d'un plateau argenté et rejoint rapidement sa collègue déjà en pleine action sur la terrasse extérieure. Elle s
ur mi
sieur Ricci ! V
y a du monde
s je vous ai gardé v
si gentil et
ction pour la jeune femme. Ils avaient partagé de longues conversations lorsque Louisa travaillait tard le soir pour effectuer la fermeture du bar. Une relation presque paternelle s'est doucement installé
plus lorsqu'il lui lais
vec le journal du mat
demm
mène la plupart des additions
ictor ? dit-elle en s'adressant
a va ? Pas trop
ué comme d'habitude...Y'a
sition très attendue au Louvre
ue tu vas y aller ? réplique Lo
ement Victor. C'est que sur invitation privée et
e fois t'inquiète pas ! Dit, c'est gra
ans leur conversation par u
Et on a connu mieux pour une serveuse de mettre un
surviennent dans la tête de
e pas Jean ! dit-elle sarcastique
on égo surdimensionné a dû mal à enca
Louisa regagne la terrasse et prend de nouvelles commandes. Le rythme effréné
, lance monsieur Ricci as
ouvre dans la matinée, ça explique la foule ! répond
et d'ailleurs je dois m'y rendre si
faire, pourquoi vous allez à
a question de la jeune femme, obnu
ux et fronce ses
? demande Louisa qu
cter à la réalité et relè
res après les attaques terroristes et le Brésil à un nouv
es investisseme
nal. Tu t'y connais un peu en commerce et finance inter
nt. Je suis étudiante en psychologie moi, alors
ce que pour améliorer votre culture gén
puis sort son porte-feuil
dit-il en reprenant ses affai
nne journée mo
a ess
laissé un généreux pourboire en apposant un billet de 50€ pour un simple thé au citron. En soulevant le billet
nce
e décide rapidement de le rattraper mais l''homme s'engage sur le passage piéton tand
ublié votre clé ! scande-t-el
ns se préoccuper de la foule. Les personnes présentes sur son chemin sautent sur le côté pour échapper au pire alors que brusquement, la voiture regagne la route et ac
le fauché ainsi que deux autres personnes. L'homme est brutalement projeté e
és avec lui sont projetées sur le côté et un jeune homme voit sa jambe broyée par l'une des roues avant. La puissante berline noire, dans son élan, remonte
raidit p
r le cadavre gisan