À LA TÊTE DU CARTEL
et h
elle reprend doucement conscience. Assise sur une chaise, les
nt face à des grandes verrières dont la plupart des carreaux sont
st seule et isolée dans un endroit inco
lui permettre de se mouvoir librement. L'individu marche de manière succincte. Ces pas résonnent et deviennent de plus en plus angoissants au fu
présence s'arrête. Louisa ferme
contourne puis
aît immédiatement. Vous êtes le tar
. Ravie de vous rencont
la carrure imposante de ce grand gaillard
ce de la situation nous a obligé à e
ment vous connaissez mon nom
he vous promettez
ta sale gueule !! crie Louisa en
veux bouclés devant ses yeux lui donne un air sauvage, prête à bondir pour lui arracher
de monsieur Del-Orti, dit-
qui l
nsieur Ricc
Elle admet rapidement que hurler des questions n'avancerait à rien. Elle prend
as fuir si vous me détachez,
oute façon je vo
ément, Louisa se libère et secoue ses poignets engourdis. La corde lui a brulé la peau et un hématome
ort ... dit-elle en se relevant dif
ous étiez beaucoup
t mal quand on me
ppelé le numéro, a
quel n
otre casier a
oit chiffonne
ppelle des inconnus qui me laissent des bout
ez la clé. Il faut f
t celle de monsieur Ricci qu'il a oublié
ontre la chaussée, entends les hurleme
oublié. Il vo
e sert à quoi ce
ir un c
coff
ais pa
rachez le
ez de m'interrompre, lui r
e zèle éner
s instructions de monsieur Del-Orti à votre égard. Je dois vous y accom
ropos de quoi ? l'int
ise. C'est très importan
écupérer ce foutu coffre vous-même ?! Po
pecte ses dernières volontés. Il veut que ce soit vous et personne d'
semble éprouvé un certain attachement envers monsie
té ? lui de
ir avec tout cela, je veux juste rentrer chez moi...
ai dit, ça ne mar
ué cette clé. Ça veut dire qu'
Cela explique votre pré
près d'un an lui a menti sur son nom, son travail et lu
ait-elle
le se trouve, sans téléphone et blessée. Le sourire rassurant
.. dit-elle