La Seconde Chance de l'Alpha

pit

avait l'air tellement sûr de lui, déterminé. Et malgré la colère qui bouillonnait en elle, une partie d'elle savait que, même si elle détestait l'idée de devoir accepter sa protection, elle n'

ir besoin de dire un mot. Il s'immisçait dans ses pensées, dans ses moments de calme, en remplissant tout l'espace autour d'elle. Elle s'efforçait

, pourtant, n'arrivait pas à masquer la profondeur de son inquiétude. « Tu vas me l

encore. Et ce n'était pas la première fois qu'elle le voyait lutter contre ces démons. Chaque fois qu'il parlait d'elle, chaque fois qu'il parlait de cette perte, il devenait plus froid

nait près d'elle, l'espace semblait rétrécir, comme si le monde n'existait plus. Elle n'était plus qu'un

per », dit-il, son ton laissant entrevoir une frustration qu'il ne parvena

é. Il y avait cette étincelle d'inquiétude, cette peur de perdre quelque chose de bien plus grand qu'elle-même. U

poser. Ils s'évitaient, les yeux fuyants, chacun de leur côté, cherchant à éviter la confrontation qui ne cessait de les attirer

, repoussant son assiette. « Je suis parfaitement capable de

pouvait voir la douleur dans ses yeux, cette blessure qu'il cachait derrière son masque impassible. Il avait pris cette décision

un murmure. « Ce n'est pas juste une question de te protéger des menace

s pas à me surveiller comme si j'étais une marchandise précieuse que tu devrais garder enfer

près, trop intime. Et pourtant, un frisson d'avertissement la traversa. Il posa une main

fle se mêlant au sien. « Mais... je ne peux pas te laisser seule

ble, brisée par la douceur de ses paroles. Jean-Paul n'était pas un homme facile à lire, mais il

autant que ça l'avait dérangé. Il se posa sur une chaise, se passant une main dans les cheveux. Il

t habituellement. Un fragment de ce qu'il était vraiment, un homme brisé, marqué, prêt à tout pour se protéger du monde. Et quelque p

-elle finalement. « Je ne peux pas t'embrasse

un dernier rempart avant de céder à ce qu'il savait être inévitable. « Tu n'as pas à être prête », répondit-il, la voix

serait inutile. Quelque part, au fond d'elle, elle savait que ce lien, cette attraction irré