La Seconde Chance de l'Alpha

pit

un passé qu'il aurait préféré oublier. C'était elle. Elle avait été là, tout comme Nina. Une autre femme, une autre illusion, une autre erreur. Il se souvenait de ses sourires, de ses paroles douces, et de la ma

ait pas là pour le manipuler. Pourtant, quelque chose en lui, quelque chose de primal, de terriblement humain, refusait de l'accepter. Et c'était ce même instinct qui lui dis

le ramener à ce souvenir douloureux. Il n'était pas prêt à revivre cette souffrance. Et pourtant, il ne pouvait pas l'empêcher. L'attirance qu'il ressentait pour elle, ce lien inexplicable, était inéluctable. E

qui passait entre eux. Comme un fil invisible qui les reliait. Elle se réveillait le matin avec une sensation étrange de malaise, comme si son corps réagissait de façon autonome à une situation qu'elle ne contrôlait pas. Ses mains tremblaient parfois, son c

s, mais rien ne fonctionnait. Son esprit était obsédé par lui. Et pourtant, elle refusait de l'admettre. Ce lien n'était qu'une illusion, une faiblesse qu'elle ne pouvait pas se permettre. Elle s'était toujours battue pour être indépendante, pou

fixement, ses yeux sombres emplis d'une intensité inquiétante. Il avait l'air épuisé, brisé presque. Il se redressa brusquement, comme s'il venait de réali

-il, sa voix rauque

illes à chaque fois qu'il l'effleurait du regard ? Elle n'avait pas la réponse, mais elle savait qu'elle était au bord de la rupture. Elle ne pouvait pas lutter contre tout ça,

lle d'une voix tremblante

arrêta. Il ne savait pas comment lui parler. Comment lui faire comprendre que ce qu'ils ressentaient n'était pas seulement de l'attir

le. Puis, d'un geste brusque, il s'éloigna, repoussant ses pensées dans les recoins de son esprit. Il savait que, tôt ou tar

s pour voir un homme surgir de l'ombre, armé d'un couteau. Avant qu'elle ne puisse réagir, Jean-Paul avait déjà bougé, se jetant sur l'agresseur avec la rapidité d'u

ente peignant son visage. Jean-Paul se pencha sur lui, ses p

nvoyé ? Qui

ul le secoua violemment, mais ri

qu'il venait de se passer. Mais une chose était claire. Quelqu'un voulait la mort de Jean-Paul. Et cette tentative d'a

nscient, et se tourna vers elle. Ses yeux étaien

lent ma tête. Et je crains que tu

nt. Ce n'était pas juste un lien entre eux. C'était un danger. Un d