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Les Chaînes du Destin : L'Évasion de Stanley

Les Chaînes du Destin : L'Évasion de Stanley

Auteur: Ridlhey
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Chapitre 1 Chapitre 1

Nombre de mots : 1721    |    Mis à jour : 27/02/2025

res tremblantes sur les murs de bois. Stanley, allongé sur sa paillasse, écoutait les bruits nocturnes habituels : le vent s'engouffrant entre les arbres, le craquement du bois

tendit le p

te fois. Puis un bruit sourd, comme si quelque chose venait de heurter violemment

e était e

s torches, projetant des éclats de braise dans le ciel noir. Des silhouettes couraient dans tous

uvrit brusquement et son p

t ! On doit part

u'est-ce qu

ttrapant une dague posée sur la table. Ils so

les plus rudes, des famines ou des maladies, il était resté un ro

gir qu'un homme surgit dans l'encadrement, le visage masqué par un foulard sombre. Ses yeux br

ey hu

Mais son corps refusait de bouger. Ses jambes tremblaient, figé

garçon ! rug

ses forces. Un cri de douleur résonna. Il en profita pour se dégager et courut vers l'arrière

l entendait des

uit ! Ratt

haleine, zigzaguant entre les maisons en flammes. Il vit des villageois aux prises avec des h

principale du village. Impossible de fuir

es, un passage à peine visible sous un tas de débris. Sans

ui, s'étenda

famille. Il tourna la tête une dernière fois vers le village en flammes. Il vit sa mère, entourée

pouvait-il faire ? Il n'était qu'un garçon. Il n'avait ni force

récipités le tira

est

it. Ils l'ava

ient son visage, déchirant sa tunique. Il trébucha sur une racine et

ut pas all

, mais il savait qu'il ne pourrait pas leur échapper

er un endroit p

i. Puis il aperçut une crevasse entre deux rochers. Il se préci

rrivèrent quelques

st-il

ché quelque part.

a respiration était saccadée, son cœur battait à tout rompre. Il

nce s'i

oix, plus

ul dans cette forêt. Il finira par mour

loignèrent

tait toujours là, mais tout avait changé. Son village n'était plus qu'un brasier

de vide s'e

enoux, les p

utre pensé

rer. Il devait survivre. Trouver d

ête, les mâcho

s qu'il avançait à travers la forêt obscure, les pieds nus s'enfonçant dans la terre humide. Son souffle était court, saccadé, ch

aurait pu croire qu'il était enfin seul, mais il savait que ce n'étai

, mais il n'osait pas s'arrêter. Pas maintenant. Il savait que s'i

i et s'effondra sur le sol, ses genoux raclant la terre. Son regard se posa sur son pi

quelques mètres, un reflet argen

ea

. C'était peut-êtr

u coulait rapidement, glacée sous la lumière pâle de la lun

e lui. Des branch

ng se

taien

rps se tendit sous le choc. Le courant l'emporta immédiatement, l'entraînant e

i, des voix

dans la r

entirent. Ils essayai

nt, priant pour que l'eau le cache suffisamment longtemps. Son corps heurta u

l sentit le sol

nts dégoulinaient, collant à sa peau glacée. Il jeta un regard derri

était une torture. Son pied blessé laissait des traces rouges sur le

ait, une odeur familiè

san

rata un b

geait le ventre. L'odeur devenait plus

co

r les autres, d'autres éparpillés comme des poupées de chi

si

porta une main à sa bouche,

on.

ous lui et il tomba à

parfois du pain en cachette. La vieille femme qui lui racontait

it aucun s

... ? murm

x se b

t tué tout

crier, frapper le sol, pleurer. Mais aucun son ne sortai

étourner les yeux. Jusqu'à ce qu'

un appr

attant à tout rompre. Il n'avait pas

loin, le paysage changeait. Les arbres devenaient plus rares, la t

tendait un pay

e. Des montagnes escarpée

t la frontière

lage qu'il avait perdu, ni à cette terr

ul

ait s

il n'avait

t, il fit un pas en a

it pas où

brûlants de fatigue. Son corps hurlait pour du repos, mais il n'osait pas s'arrêter. Il ne savait pas où il al

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