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Les Chaînes du Destin : L'Évasion de Stanley

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1732    |    Mis à jour : 27/02/2025

Tomas. Ici, la terre était plus sèche, plus rugueuse. Les arbres étaient plus grands, plus sombres, projetant d'immenses om

ement re

e fi

n cœur tambourinant viol

ait que

reille. Le vent sifflait doucement à travers les branches, mais derrière ce bruit naturel

taien

ui avaient attaqué son village ne l'auraient

velle m

it là. Il vit une silhouette se déplacer entre les arbres. Grande. Agile. Une cré

vit le

çant l'obscurité, bril

es anciens du village racontaient aux enfants le soir, pour les effrayer et les tenir

ups-ga

quement résonna

it enc

nutile. Ces créatures étaient plus rapides que n'importe quel h

se redressa d'un bond et

ière lui, suivi d'

poursui

urait pu le faire trébucher. Son souffle était court, ses jambes c

rand pour qu'il puisse s'y glisser. Il n'avait pas le temps

ence t

utant son propre cœur

urds s'app

voix grav

est

a par le col et le tira vio

nt durement la terre. Il voulut se relever, mais un pi

et se retrouva fa

ts sous la lumière de la lune. Mais ce qui terrifiait le plus Stanley, c'ét

ain

omme grand, aux cheveux noirs ébouriffés, vêtu de vêtements de cuir. Il

ssant un sourcil. Qu'est-c

pas. Il était figé,

me so

loin de

gs. Chez lui... Il n'a

cevoir le changeme

l'autre côté,

urs pas, mais son silence

tourna vers la créature

l'emm

e protester, une main mass

evint

*

conscience, il

uleur sourde pulsait à l'arrière de son crâne. Il ouvrit lente

ux crépitants, des silhouettes se déplaçant entre les ombres. Le

e chaîne rattachée à son collier

s réve

ursa

lui, accoudé à un rocher, une dague à la main. Il jou

où sui

ourit lég

terres d

y dégl

Alph

ute. Celui qui décide

dans le sol et le f

e si l'Alpha décide que tu es inutile... eh bien,

tit la pani

garçon... Je ne s

éclata d

enace ? On

un félin paresseux, puis

ain, on verra ce que l'A

laissant seul d

re la paroi de la cag

t priso

semblait peser sur lui comme une couverture humide et glacée. L'air était lourd, chargé d'u

it enf

llongé sur une surface dure et froide, probablement de la pierre. Chaque muscle de son corps hurlait de

panique qui menaçait de l'envahir. Il ne pouv

moindre mouvement envoyait une douleur fulgurante dan

n réve

ans la pénombre,

er la silhouette de celui qui venait d

e métal s'ouvrit, laissant filtrer une lueur blafarde. Une silho

x noirs, celui qui

t lui, un sourire am

s bien,

ne répon

pencha l

ès bavar

anley, le forçant à relever la tête. Ses doig

toujours après un peti

it son estom

cha brutalement

ève

il n'avait pas la force de lutter. Ses chaînes furent détachées de ses chevilles, mais ses poignets rest

resque irrespirable. Il entendait des bruits autour de lui, des chuchotement

ement à l'intérieur

ère vacillante. Au centre de la pièce, une cha

médiatement ce qui

jetèrent sans ménagement sur la chaise et l

procha lentement, un sourire t

tenant, on v

ossier de la chaise, son regard

i es

glutit dif

m'appelle

doute. Mais d'

. de l'autre côt

ha lentemen

is-tu sur notr

ey hé

vérité ? Devait-il le

ra les

. J'ai

de l'homme

i qu

a été attaqué. Tou

ence t

nstant, puis se tourna

rifi

la tête et qu

qu'ils allaient comprendre qu'il n'était pa

son sourire toujours présent

attaqué ton

secoua l

e sais

e mens

s pas ! s'é

me so

ue ce soit fac

gardes, qui s'approcha avec un

t la panique

! Je vous ai d

e sa peau. La chaleur irradiait

taqué ton

Je ne sa

leur e

nt contre les sangles. L'odeur de

était ins

taqué ton

s larmes roulan

e... sais

moment, puis fit un s

al s'é

son corps trembl

pencha pr

e saurai. Et la prochaine

a et fit sign

-le dans

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