Les Chaînes du Destin : L'Évasion de Stanley
Tomas. Ici, la terre était plus sèche, plus rugueuse. Les arbres étaient plus grands, plus sombres, projetant d'immenses om
ement re
e fi
n cœur tambourinant viol
ait que
reille. Le vent sifflait doucement à travers les branches, mais derrière ce bruit naturel
taien
ui avaient attaqué son village ne l'auraient
velle m
it là. Il vit une silhouette se déplacer entre les arbres. Grande. Agile. Une cré
vit le
çant l'obscurité, bril
es anciens du village racontaient aux enfants le soir, pour les effrayer et les tenir
ups-ga
quement résonna
it enc
nutile. Ces créatures étaient plus rapides que n'importe quel h
se redressa d'un bond et
ière lui, suivi d'
poursui
urait pu le faire trébucher. Son souffle était court, ses jambes c
rand pour qu'il puisse s'y glisser. Il n'avait pas le temps
ence t
utant son propre cœur
urds s'app
voix grav
est
a par le col et le tira vio
nt durement la terre. Il voulut se relever, mais un pi
et se retrouva fa
ts sous la lumière de la lune. Mais ce qui terrifiait le plus Stanley, c'ét
ain
omme grand, aux cheveux noirs ébouriffés, vêtu de vêtements de cuir. Il
ssant un sourcil. Qu'est-c
pas. Il était figé,
me so
loin de
gs. Chez lui... Il n'a
cevoir le changeme
l'autre côté,
urs pas, mais son silence
tourna vers la créature
l'emm
e protester, une main mass
evint
*
conscience, il
uleur sourde pulsait à l'arrière de son crâne. Il ouvrit lente
ux crépitants, des silhouettes se déplaçant entre les ombres. Le
e chaîne rattachée à son collier
s réve
ursa
lui, accoudé à un rocher, une dague à la main. Il jou
où sui
ourit lég
terres d
y dégl
Alph
ute. Celui qui décide
dans le sol et le f
e si l'Alpha décide que tu es inutile... eh bien,
tit la pani
garçon... Je ne s
éclata d
enace ? On
un félin paresseux, puis
ain, on verra ce que l'A
laissant seul d
re la paroi de la cag
t priso
semblait peser sur lui comme une couverture humide et glacée. L'air était lourd, chargé d'u
it enf
llongé sur une surface dure et froide, probablement de la pierre. Chaque muscle de son corps hurlait de
panique qui menaçait de l'envahir. Il ne pouv
moindre mouvement envoyait une douleur fulgurante dan
n réve
ans la pénombre,
er la silhouette de celui qui venait d
e métal s'ouvrit, laissant filtrer une lueur blafarde. Une silho
x noirs, celui qui
t lui, un sourire am
s bien,
ne répon
pencha l
ès bavar
anley, le forçant à relever la tête. Ses doig
toujours après un peti
it son estom
cha brutalement
ève
il n'avait pas la force de lutter. Ses chaînes furent détachées de ses chevilles, mais ses poignets rest
resque irrespirable. Il entendait des bruits autour de lui, des chuchotement
ement à l'intérieur
ère vacillante. Au centre de la pièce, une cha
médiatement ce qui
jetèrent sans ménagement sur la chaise et l
procha lentement, un sourire t
tenant, on v
ossier de la chaise, son regard
i es
glutit dif
m'appelle
doute. Mais d'
. de l'autre côt
ha lentemen
is-tu sur notr
ey hé
vérité ? Devait-il le
ra les
. J'ai
de l'homme
i qu
a été attaqué. Tou
ence t
nstant, puis se tourna
rifi
la tête et qu
qu'ils allaient comprendre qu'il n'était pa
son sourire toujours présent
attaqué ton
secoua l
e sais
e mens
s pas ! s'é
me so
ue ce soit fac
gardes, qui s'approcha avec un
t la panique
! Je vous ai d
e sa peau. La chaleur irradiait
taqué ton
Je ne sa
leur e
nt contre les sangles. L'odeur de
était ins
taqué ton
s larmes roulan
e... sais
moment, puis fit un s
al s'é
son corps trembl
pencha pr
e saurai. Et la prochaine
a et fit sign
-le dans