Les Chaînes du Destin : L'Évasion de Stanley
couloir. Ses jambes refusaient de le porter, s
ule. Il s'effondra au s
referma de
ait s
ement brisé par sa prop
t pleurer
avait plus
de temps il resta là, à f
tournait en bou
it s'éc
utte-à-goutte régulier d'une fuite quelque part dans l'obscurité. Stanley était allongé sur le sol glacé, les paupières mi-closes, le c
nte de chair carbonisée lui donnait la nausée. Il savait qu'il aurait dû mourir de fièvre, ou du moins être inca
ta là, les yeux ouverts sur le néant. Pe
lque chos
frisson au creux de l'échine, puis de plus en plus intense. Ce n'était pas une douleur, m
brusque. Son cœur batt
er, mais un vertige v
il entendi
comme des échos lointains
ma les
ses paupières s'anim
apparut de
vill
taient plus vives, irréelles. Il entendait les rires des enfants, le chant
ne changea b
cr
flam
tes se déchaînaie
mais son corps était figé. Il était
t sa
fillette blonde qu'il ne reconnut pas. Son v
-t-elle à l'enfant.
che pour crier, mais
ombre apparut de
de noir, au re
a son
ey hu
dispa
eux, haletant, t
ne était toujours l
chose en lui
s de douleur, mais d'une éne
a son bra
la chair noire
redevenue li
uilla le
it pas p
uvait la blessure, s'assurant que ce n'était pas u
ur ses poignets, mar
si.
sur le
bougère
elle en lui, une énergie brute
ra profo
pas ce qui
chose éta
. Pas même une cicatrice. Il ne comprenait pas. Comment était-ce possible ? Il passa plusieurs minutes à toucher sa peau, comme s'il pouva
e plafond invisible au-dessus de lui. Il devait garder son calme, co
ttira son
uivi d'un touss
ait pas
l'ombre, de l'autre côté de la cellule. Une autre person
là ? mur
, puis une voix grave
mps à t'en rendr
, légèrement enrouée, comme si son proprié
i es
a légèrement, se re
it-il après un i
tan
r rican
in. T'as pas l'ai
serra le
is pas un
l'avais
ence r
sayant de distinguer plus de dé
bien de temp
ps. J'ai arrêt
t'ont-ils
un petit
es choses qu'ils ne v
n frisson lui pa
enre de
adossa au mur, cr
que certains prisonniers ne so
y se r
e que tu v
s lui. Même dans l'obscurité, Stanle
par e
Mo
pas un sim
ut un rir
st ab
as jamais ressenti quelque chose d'étrange ? Une force
ouche pour proteste
veines. Aux visions. À sa blessur
ha lenteme
ssens, n'e
lbutia Stanley. Je n'ai ja
chose ne les réveille,
nce s'i
son cœur batt
que ce qui m'est a
ébut, acheva
spira prof
it in
urtan
lorsqu'un bruit de pas lourds résonna dans le couloir. Il ouvrit les yeux juste à temps pou
na l'un d'eux d
é des mauvais traitements, mais il sentait cette énergie étrange qui
mmenez ? demanda-t-il en
ui agrippa le bras et le tira
ruk depuis l'ombre.
cracha l'un des gardes avant de
de sang et de terre humide s'accrochant à ses narines. Il tenta de résister,
van
ine l'aveugla un instant. Il n'avait pas vu le jour
a la vue, il réal
erclée par des planches de bois et des prisonniers massés auto
rène, un autre h
catrices sur les bras, une mâchoire carrée et d
tanley, mais un garde le pous
st, annonça u
leva l
sa présence imposante. Il n'était pas comme les autres
ef du
uelque chose, gamin, décl
tit son san
i je r
aussa les
s tu m
nt nerveux, certains évitaient son regard. Ce n'était p
lui sourit, dévoilan
e j'ai pas eu un bon c
glutit dif
venir, l'homme
du coup passer à quelques centimètres de son visage. L'ho
ème coup
s l'impact le projeta violemment en arrièr
latèrent aut
le, cracha
aça, ses mus
ait pas perdre.
ose en lui
leur in
ergie
redressa, plus vite qu'il
fronça le
al, adm
qua à n
is, Stanley l
t. Il esquiva sur le côté et, d
les côtes du colosse av
l'impact, un air stu
tomba sur
y se f
fort qu'un humain n
, furieux, et rev
ey était p
e puissance qu'il ne comprenait pas lui-même. Son corp
t, il esquiva une attaque et f
s'effondr
brisé par un mu
, le cœur battan
it de g
dit lentement de son e
nley avec un i
ntéressant,
n frisson lui pa