UNE NUIT, UNE VIE BOULEVERSÉE
passion
DE VUE
e je caressais son visage. Elle était là, devant moi, magnifique sous le voile translucide de la vapeur, son regard bril
gèrement, et un sourire naquit sur ses lèvres avant qu'elle ne ferme les yeux sous la caresse. Mon autre main descendit doucement le long de son bras, suiv
on corps contre moi. Mon cœur battait plus fort. D'instinct, mes mains glissèrent sur ses hanches, l'attirant contre moi avec une délicatesse mêlée
heveux trempés tandis que nos lèvres dansaient ensemble, savourant chaque seconde, chaque frisson. Puis le baiser s'intensifia, plus pr
mes gestes avec la même ferveur, ses doigts glissant sur ma poitrine, descendant lentement, attisant en moi un feu grandissant. Nos corps s'épousaient sous la do
istait plus. Nos bouches se détachaient lentement, nos respirations s'entremêlant dans l'espace infime qui nous séparai
: - Tu sais que tu es irrésistibl
re, mes doigts continuant d'exp
empe : - Et toi, tu es un
e ne résistai pas à l'envie de le parsemer de baisers légers, se
es yeux, frissonna
e réaction de son corps. Nos souffles s'accéléraient au rythme de nos c
- J'aime sentir chaque frisson sur toi... savo
es lignes invisibles sur mon torse. Son regard était in
de désir : - Alors fais
ennes avec une envie plus marquée. Nos corps s'imbriquaient parfaitement, nos gestes devenaient plus pressants, plus profo
savourant chaque seconde de cette proximité brûlante. Elle laissa échapper un soupir, se press
aite, où le désir se mêlait à la tendresse. Chaque caresse était une promesse, chaque regard un aveu silencieux. Nous éti
DE VUE
isait quelques jours qu'on ne s'était pas vus à cause du travail, et il me manquait terriblement
la table de l'entrée,
tha
les sourcils. Peut-être qu'il dormai
ant un œil dans le salon, puis dans la chambre. Vide.
sous la
belle... Une douche surprise, un moment de complicité sous l'eau c
laissant tomber mes vêtements un à un sur le sol. Mon cœur battait
t ma peau nue. Je pouvais déjà imaginer la surprise dans ses yeux, son sour
vec douceur, prête
vis me figea
l'eau ruisselante, Et
on corps pressé contre le sien, leurs souffles courts, leurs peaux
omme un coup de tonnerre. Une chaleur brutale me monta au visage, non pas
passa, interminable, puis une autre. L'incompré
, de la situation. Mon cœur battait si
tout seul, une détonatio
THA
ué d'un mélange d'effroi et de honte. Ethan, lui, devint livide. Ses yeux s'écarq
la bouche entrouverte, cherchan
à expliquer ? Tout
si une main invisible le broyait. J'avais cru lui faire
ah
Une colère brûlante, inc
t tu as
agrin. Mon regard se posa une dern
nstant précis, je n'avais plus qu'une seule envie : fu