UNE NUIT, UNE VIE BOULEVERSÉE
suis
e sombre, mon sac vidé, mes mains trembla
rqu
mnée à être un enchaînement de s
homme pour qui j'aurais tout donné, qui
tenant.
page, qui avais voulu être fo
r me retrouver dans une
ontrôlables. C'était la seule chose que je p
ur, les genoux repliés contre moi, et
était
ait même pas à moi, mais c'était moi qui devais l
que j'alla
e pouvais pas demander de l'aide à Lina.
anique, j'ai rassemblé le peu de force qui me
it que j
. Chaque silhouette me semblait menaçante, chaque bruit me faisait sursauter. J
mains tremblaient tellement que j'ai mis plusi
ment-là que mon
de regarder l'écran po
eur V
ofonde inspiration, puis j'ai décroché, col
e murmuré, la
qué comme un
tu ? La livrai
aider à fuir la réalité. Il allait péter les plombs.
No
ilen
nt, glacial, av
ent ça
ément, essayant de c
me suis f
ette fois. Puis un rire.Pas un
it plus lente, plus
mes mots, mais il n'y avait aucune fa
Ils savaient ce que je transportais. Ils a
, plus rapide. Je l'entendais perdre
-t-il craché. Tu viens
poignée de la porte, mes
s, je n'ai pa
voix était tranchante, impi
rire amer, nerveux. Comm
enant le dessus. Même mon salaire d'un an ne
pas mon pro
froid, sec, sa
pour me rendre mon argent. Ou
a racc
lle, figée dans l'horreur. Une semaine. J'avais une sem
is pas... Vargas vi
e chez moi com
nt en boucle. Une semaine. C'est tout ce que Vargas m'avait donné. Une semaine pour t
oi et j'ai laissé mon corps s'ef
que j'alla
mon regard est tombé sur une bouteille de vin
as bu depuis
mis à Lina
précis, plus rien n
e en transe, et j'ai attrapé la
s un petit bruit sec. J'ai renversé un peu de vin dans un
même la
puis mon ventre. C'était censé m'apaiser,
l, ma tête posée contre le canap
is fo
ans mon crâne. Les larmes coulaient sans même
t que Lina m'a tro
ouvrir, puis refermer. Des bruit
Ma
remplie d'in
ent, et j'ai vu son visage inqu
ue tu fais ? Pourqu
à moitié vide à côté de moi
ais ar
rire sans
, oui... mais au
luttant contre le tournis, et je
t dans
n a changé in
e que tu v
iculté du monde, je lui ai raconté tout.Le travail illé
nue blanche c
murmuré, dis-moi qu
tant une nouvelle vague
soit une blague, Lina.
sur le sol à côté de moi,
nt s'est instal
a réalité a commen
, presque po
est f