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UNE NUIT, UNE VIE BOULEVERSÉE

Chapitre 3 Chapitre 3

Nombre de mots : 1388    |    Mis à jour : 25/02/2025

NE E

DE VUE

t là. Tapie au fond de ma poitrine, lourde et oppressa

r. La nuit, je luttais contre les souvenirs qui me hantaient, contre l'image d'Ethan et

it, fixant le plafond d'un regard p

marre de

r un homme qui ne m'

douleur m'enchaîner e

re fois depuis des jours, je ne me laissai pas tomber en arrière

le miroir accroché a

isage marqué par la tristesse. Ce n'était pas moi. Pas la Maya forte, cel

urs, j'avais porté le poids des

ient jamais eu les moyens de nous offrir une vie confortable en ville, alors

énorme, mais il nous permettait de payer le loyer, la nourriture, et une partie des frais de Lina pour ses

our que Lina puisse

t mon refuge. Mon équilibre. Celui avec qui, malgré

m'étais

vais plus me permettre d'être faible. Lina compt

uyant les larmes qui menaçaient de cou

un jean, un t-shirt propre et me changeai. Ensuite, je me dirige

e relève.J'attachai mes cheveux en une queue de cheval haute, me lavai le visage et in

ne vivrais plus pour un homme qui ne m'a

-

restais fidèle à ma décis

avais enfoui ma douleur sous une nouvelle routine. Je tra

t, l'argent man

ina avait encore des frais pour l'université, le loyer était u

ils sont ven

ers quand mon patron, Monsieur Vargas, un homme aux allures respectables mai

une proposi

la tête, i

nre de pr

seyant sur le co

rement. Que tu prends soin de ta

savait-il tout ça ? Depuis com

ai-je demandé d'

loppe épaisse et l'

arfois, tu fais passer des transactions. Des paiements en liquide que tu ne notes pa

mon estomac

légal, n'e

ment, haussant

gent passe inaperçu. Tu ne fais que du papier, tu ne touches même pas à

l'envelopp

est juste

tante. Il y avait sûrement plu

s dû di

, j'avais besoin de cet argent. Alors, j'

ça que tout

e. Des dossiers à ranger sans poser de questions. Puis, j'ai co

battait à tout rompre. Je s

notre situation, je me disais que c'était nécessaire. Je faisais ça pour elle. Pour nous. C'est

out devait bi

andait, sans poser de questions. Et en retour, l'argent tombait, me permettant de tenir

r-là, tout

ement combien, mais l'enveloppe était bien plus lourde que les précédentes. Une partie devait être discrè

ureau, l'enveloppe soigneusement cachée dans mon sac. Je savais que je jouai

ide, pressée de terminer cette mission et de rentrer chez moi. Ma

hes abaissées, silh

agir.L'un d'eux s'est avancé brusq

ne le

une once d'hésitation. Un friss

ez-moi tranquille ! ai-je b

omme a ri

sait ce que t

omment pouvaient-ils savo

it, donn

enaçante, et j'ai senti quelque chose

m'a traversée. Je n

ent tendu mon sac. L'homme l'a arraché de mes mains, l'a

nne

t que je ne bouge pas, puis ont dis

ait

cœur battant à un rythme incontrôlable. Mon

out l'argent. Une somme énorme. Mon cerveau

s allaient me tuer. J'ai reculé contre un mur,

is fo

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