UNE NUIT, UNE VIE BOULEVERSÉE
es l
lou autour de moi. Mon souffle était court, irrégulier, mes mains tremblaient, mon
uste attrapé ce que je pouvais, enfilé rapidement un haut et un pantalo
le. Mais je ne m'arrêtai pas. Je marchai vite, puis plus vite encore. Mes larmes coulaie
.. Mon
ais placé toute ma confiance, celui que j'aimais de tout mon ê
'ouvris la porte de mon appartement d'un geste tremblant, puis je la refermai
m'effondrai sur mon lit, le visage enfoui dans les draps, et un hurleme
us ces souvenirs qui défilaient d
ontre l'autre. Ses "je t'aime" murmurés dans le creux
it un me
uoi tu m'as fait ça ? sou
ble. Son corps contre le sien. Leurs souf
éveiller et réaliser que tout cela n'était
rine, comme si me recroqueviller pouvait atténuer la doul
t-il cessé de m'aimer ? Quand avait-il décid
messages qu'il envoyait en souriant sans jamais me dire à qui. À ces
dû voir l
ce en lui.J'aurais d
, m'avait poignar
on corps. Je frappai le matelas du poing, su
oser me regarder e
bra soudain sur
e hésitant, les larmes touj
t lui.
essa
ésolé. S'il te p
ge se serrer enc
sanglots. Comment pouvait-il croir
mblant, mon pouce plana
et de rage, je balançai mon télép
it même pas
laissai les larmes couler encore et enco
lque chose en moi
e serait jamai
r mon lit, noyée dans mes larmes. Mon corps tremblait encore sous l'ef
s mal.
ma mémoire, retourner quelques heures en arrière et
a porte de ma chambre
ya..
ma sœu
n la voyant entrer, je me redressai l
se passe ? Pourquoi
er pendant quelques secondes. Puis, d
st Et
Lina s'approcha rapidement et s'assit à côté de moi sur le lit. Elle po
le, la mâchoire déjà serrée, comme si ell
de main tremblant avant de tou
eau couler et m'étais imaginé une soirée parfaite. Comment j'avais retir
orte, je l'avais vu avec un
d doux s'assombrissait, ses sourcils se fronçaient, et sa respiration s
finir sa phrase, mais ses yeux lan
mes coulant toujours
a ? C'est fini...
it forte, assurée. Mais elle
toujours jeté à l'autre bout
urné la tête vers l'écran qui
ha
ppel
Il voulait quoi ? M'expliquer que c'était "une erreur" ?
capable de bouger, in
elle, n'h
ièce d'un pas rapide et saisit mon télé
na,
ocha et porta le tél
lâcha-t-elle d'une voix tra
re crispée, ses doigts serrant mon télé
! siffla-t-elle. T'as osé la trahir a
l'autre bout du fil, mais Lina ne lui
tes excuses de merde ! cracha-t-elle. T'es qu'un
de rage, tandis que moi, toujours recroquevillée su
! Elle veut plus jamais entendr
eine une seconde
faire
ccrocha vi
touffés. Lina s'approcha de moi et posa mon téléphone sur la table de
. Il ne mérite rien de toi. murmura-t
rs couler sur son épaule. Elle avait rai