Enchaînée au Milliardaire

pit

ombre menaçante, et Élodie était restée là, à tourner en rond, se noyant dans ses pensées. La solitude pesait sur elle, un fardeau lourd, que même l'immense

ment construite, Élodie commençait à percevoir des fissures. Un soir, alors qu'il était encore absent, elle s'était aventurée dans son bureau. C'était un endroit qu'elle n'osait que rarement fréquenter. Il y avait des papiers éparpillés sur

s chiffres tapés sur le clavier du coffre semblait soudainement étouffé dans la pièce vide, comme un murmure secret. Lorsqu'il s'ouvrit, un frisson la parcourut. L'intérieur était bien plus

ails : des affaires louches, des menaces, des transactions douteuses. Maximilien n'était pas ce qu'il prétendait être. Il était bien plus impliqué dans un réseau de manipulat

nnaissait à peine, mais qui résonnaient comme des échos dans son esprit. Maximilien n'était pas juste un homme d'affaires impitoyable. Il avait des liens avec des figures de l'omb

était de retour, mais il n'était pas seul. Elle se cacha rapidement derrière un meuble, son cœur battant la chamade. Les voix étaient indistinctes, mais

avec un homme qu'elle n'avait jamais vu, mais qui semblait bien connaître Maximilien. Elle n'ent

es la gravité de la situation. » Maximilien parlait calmement, trop calmement. « Tu sais ce que

disposition. » Cette phrase, cette manière de parler... Maximilien ne semblait pas seulement être un homme d'affaires, il était bi

s règles du jeu, sans pitié. Elle n'avait pas le droit d'intervenir, mais l'angoisse la rongeait. Maximil

menace. Elle savait qu'il y avait des choses qui étaient mieux laissées inexplorées, mais le doute commençait à s'installer en elle. Le

pouvoir, un homme qui n'hésitait pas à utiliser la violence, la manipulation et la menace pour arriver à ses fins. Elle se rendait

, n'est-ce pas ? » dit-il d'une voix douce, presque rassurante. « Mais tu vois, dans ce monde, il faut savoir faire des choix. Certains sont di

toute la vérité, même si cela signifiait faire face à l'homme qu'il était réellement. Elle n'avait plus de place pour les illusions. Le masqu

répare-toi. Parce qu'une fois que tu connaîtras la vérité, il n'y a plus de retour possible. » Il s'approcha d'