Enchaînée au Milliardaire

pit

rfait. Il avait ce regard qui la suivait sans cesse, ce sourire qui ne se fanait jamais, et cette posture de commandant qui dominait chaque situation, chaque mouvement autour d'eux. Elle aurait dû se sentir heureuse, empor

, le calme semblait se dérober sous ses pieds. Maximilien l'observait, toujours à quelques pas d'elle, mais jamais vraiment loin. À chaque fois qu'elle tournait la tête, ses yeux étaient là, fixés sur elle. E

as anticipée. Maximilien se raidi légèrement, ses yeux se durcirent. Il n'interrompit pas la discussion, mais son regard lança une ombre dans l'atmosphère. Élodie, bien que distraite par la conversation, sentit immédiatement la tension, comme si un

orte que le monde autour de lui disparaisse lorsqu'il le désirait. À chaque geste, chaque mouvement, il semblait faire comprendre qu'il était le centre du tout. Il attendait quelque chose. Quelque chose de plus qu'u

e discuter avec lui ? » sa voix, cal

at d'incompréhension dans ses yeux. « Ce n'était qu'une conver

ses lèvres. « Tu n'as pas besoin de chercher cette attention ailleurs. » Ses mots étaient lourds de sous-entendus, mais il n'

plus forte à chaque instant. Elle avait l'impression que tout, tout à coup, devenait un test. Un test de sa fidélité, de son comportement, de ses

était un contrôle subtil, constant, presque imperceptible à chaque moment. Chaque geste, chaque parole était analysé. Comme s'i

enfin vers lui. « Maximilien, pourquoi tu r

ur ses lèvres, mais il n'atteignit pas ses yeux. « Tu

rchant à comprendre. « Et si je voulais just

» Il prononça les mots avec une fermeté qui la fit frissonner. « Et dans

oupa. « Tu as tout ce que tu désir

rêvé : l'homme puissant, l'homme séduisant, l'homme capable de lui offrir une vie de luxe et de confort. Mais cette possession, cette manière d

faible qu'elle ne l'aurait voulu. « Je veux juste être libre de.

autoritaire qui la réduisit au silence

e taire, de la faire douter. Chaque mot qu'il prononçait semblait marquer le début de la fin de sa liberté. E

in possessive sur son épaule. « Rappelle-

'impression d'appartenir à lui, mais il y avait une partie d'elle qui, malgré tout, se lais