Enchaînée au Milliardaire
pit
e orchestré avec une précision glacée. Le château, majestueux, paraissait se tenir là, figé dans une époque révolue, comme un décor emprunté à un rêve trop lointain. Maxi
que chose dans l'air, un frisson qui parcourait sa peau à chaque regard,
lis. Maximilien, toujours en contrôle, toujours en apparence parfait, dirigeait l'événement comme un maître de cérémonie, avec cette aisance déconcertante. Elle
ut cela se termine. Elle n'avait pas l'habitude de ce genre de monde, et bien que Maximilien l'ait préparée, quelque chose ne passait pas. Il y avait cette froideur, cette di
des regards glaciaux, des sourires qui n'atteignaient pas les yeux. Des regards lourds de jugement, comme si elle n'était pas à sa
ttention, il était l'homme que tout le monde respectait et admirait. Et elle, à ses côtés, n'était qu'une ombre, un appendice décoratif. Ce n'était pas ce qu'elle avait im
ophistiquées, et les hommes, eux, portaient cette aura de pouvoir qui semblait leur conférer une sorte de privilège qu'elle ne pouvait pas comprendre. Mais ce n'était pas ce qui la perturbait le plus. Ce qui la perturbait, c'était cet
attardaient trop longtemps sur elle, avec une intensité troublante. Et les femmes, elles, étaient plus distantes, plus froides, comme si elles savaient des
nteries qu'elle ne comprenait même pas. Il avait ce regard, ce sourire sûr de lui, ce ton léger et assuré. Il était à sa place, et elle... elle se sentait à côté. Un
le de marié parfait. Elle était heureuse qu'il ait ce regard brillant, cette aisance. Mais plus elle le voyait, plus elle se sentait insignifiante, une simple
es. Et Maximilien, en voyant la scène, se détacha immédiatement du groupe pour intervenir. Un sourire froid sur le visage, il s'avança vers l'homme, lui adressa quelques mots fermes. L'homme se redressa immédiatement, son attitude soumise, une soumission qui ne fit qu'aggraver le malaise dan
i lui avait été promise. Mais plus elle observait Maximilien, plus elle se demandait s'il y avait réellement de l'amour dans cette relation. Il l'avait épousée, oui. Mais
ucement. Mais Élodie n'arrivait plus à sourire. Ce monde qui l'avait attirée, cette vie qu'elle pensait idéale, lui paraissait désormais de plus en plus irréelle. Les gens
« Tu es magnifique, Élodie, » murmura-t-il. Mais il n'avait même pas remarq
en cachant son inquiétude croissante. « Oui, je sais. » Mais au