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Enchaînée au Milliardaire

Chapitre 8 Chapitre 8

Nombre de mots : 1085    |    Mis à jour : 18/02/2025

pit

voir, un acte de possession masqué par un sourire poli. Maximilien, avec sa manière si sûre de lui, lui expliqua que son rôle était désormais de se concentrer sur sa place de femme, non pas de

n pouvait effacer d'un coup. Mais la froideur dans sa voix, la certitude de ses paroles, la contraignirent à un silence gêné. Elle s'interrogea

barrière. Quelques jours plus tard, Maximilien lui remit une carte de crédit, celle qui devait la « délivrer » de la vie d'avant. « C'est to

es moindres déplacements. Dès qu'elle sortait, il s'informait, par des moyens subtils ou directs, de chaque magasin qu'elle visitait, de chaque personne avec qui elle s'étai

tisé les choses. Elle achetait des vêtements, elle décorait la maison, elle vivait, ou du moins elle essayait de le faire. Mais à chaque fois, elle sentait un poid

, de tester. Un jour, alors qu'elle s'était rendue dans une galerie d'art pour décompresser, son téléphone vibra. Un simple message, un « Comment ça se passe ? » Elle n'y pen

e décision filtrée. Elle n'avait plus de place pour respirer. La vie qu'elle pensait avoir choisie, celle de femme comblée, brillante, entourée de lu

e, tu exagères toujours. Tu es ma femme, et tu n'as rien à craindre. Je te protège. » Ce qu'il disait était sans ambiguïté. Il lui disait qu

a marionnette. Chaque mouvement, chaque pensée, chaque parole étaient enregistrés et analysés dans l'ombre. Elle savait que sa liberté s'était évaporée, qu'elle

ions. Il voulait la contrôler, il l'avait toujours voulu. Il s'approcha d'elle, un sourire presque cruel sur les lèvres. « Tu ne te rends pas co

, une porte de sortie. Mais ce n'était plus possible. Maximilien avait verrouillé chaque issue, chaque recoin de sa vie. Elle était prisonnière. Cet

elle tentait de s'échapper, même pour quelques heures, il la ramenait, avec des mots si doux, si sûrs de leur vérité, que la rébellion semblait irréaliste, presque absurde.

e mot prononcé semblait l'avoir conduite à ce point, à cette cage où elle ne pouvait plus respirer. Maximilien l'avait entourée d'un luxe effra

ssées à attendre que tout cela cesse. Mais au fond d'elle, la lutte persistait, aussi fragile soit-elle. Et quelque part,

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