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Enchaînée au Milliardaire

Chapitre 4 Chapitre 4

Nombre de mots : 1109    |    Mis à jour : 18/02/2025

pit

ace pour un doute, pour un « non », pour un refus. Une proposition de mariage après seulement quelques mois. C'était presque absurde, mais en même temps, c'était lui. Et elle, en face de lui, elle n'

imilien. Avec un homme qu'elle connaissait à peine, ou qu'elle pensait connaître. Ce n'était pas qu'elle en doutait, non. C'était tout autre cho

éussit-elle à murmurer

que trop bien. Il savait comment la captiver, comment faire en sorte que chaque seconde à ses cô

me toi. Parce que je ne veux plus attendre. Parce

ponse, au fond. Tout en elle voulait dire « oui », mais son esprit résistait. Pourquoi tout allait-il si vit

nir qu'elle n'était même pas sûre de vouloir. Et pourtant, elle sentait cette envie grandir, cette irrépressible nécessité de le rejoindre, de ne plus être seule. Maximilien était tout ce qu'elle avait cherché, mais de manière si différen

te, chaque peur, se dissipait progressivement. Était-ce vraiment de l'amour, ou était-ce si

ser la question, n'est-ce pas ? » fit-elle,

en s'approcha d'elle, effleurant sa main de son propre bras. « Je veux que tu sois ma femme. Parce que tu es celle qu

de doute dans son regard, seulement la certitude de son amour pour elle. Elle n'avait jamais rien vécu de tel. Et, même si elle n'avait pas encore mis de mot

omment formuler ce qu'elle ressentait. « Je ne

avantage. Sa présence, son reg

logique des choses. On a tout, Élodie. Tout ce qu'on pourrait vou

œur battre, et pourtant, tout en elle savait que ce n'était pas lui qui était en train de la séduire. C'était ce monde qu'il lui offrait.

e posèrent doucement sur sa nuque, effleurant sa peau avec une douceur infinie. Il n'y avait pas de retour possib

jours voulu, » murmura-t-elle,

son oreille. « Alors, di

non, elle devait garder une part d'elle-même, mais les mots restèrent coincés dans sa gorge. Maximilien

s entrailles, effacer toutes les résistances. Elle était en train de tomber, et elle savait qu'elle ne

in, sans même réaliser qu'ell

t, elle ne l'avait pas anticipé. Et pourtant, elle avait cédé. Pas parce qu'il l'avait forcée,

répondit-il. « Nous allons être parfaits

trop beau pour être vrai. Pourtant, elle n'hésitait plus. Elle s'était en

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