Enchaînée au Milliardaire
pit
constant qu'elle n'était plus seule à décider de ce qui se passait dans sa vie. Elle n'avait plus de place pour ses choix, ni pour ses amis, ni même pou
oir courir dans ses veines. Une sortie entre filles, un moment pour respirer, oublier le contrôle de Maximilien, rire, vivre comme avant. Elle n'eu
a et haussant les épaules d'un air ind
e résistance : « Mais c'est juste une sortie, Maximilie
n de rien d'autre que de moi. » Il la fixait intensément, comme s'il attendait qu'elle se soumette à cette évidence. « Si tu veux vraiment pa
probablement déjà déçue. Mais il était trop tard, et elle le savait. Maximilien avait décidé. S
crits dans le quotidien. Elle avait tenté de s'accrocher à ses petites habitudes, comme quand elle avait demandé à re
endre, car Maximilien était toujours clair dans ses intentions. Il y avait des mots, des silences lourds, puis la voix de Clara qui s'é
e manière qui laissait peu de place à la dis
ait une des seules avec qui je m'entendais bie
el, juste calculateur. « Parce qu'elle est trop proche de toi.
scène, aussi banale en apparence, marquait une nouvelle étape dans son isolement. Maximilien voulait tout contrôler. Ses relations, ses
pièces vides. L'air devenait lourd, pesant. L'angoisse s'infiltrait dans son esprit, la dévorant peu à peu. Elle avait l'impression de n'être qu'un pion, une pièce sur un échiquier qu
s même sans un mot, se contentant de la regarder de loin comme un juge. Les mots étaient devenus inutiles
t été, pleine de vie et de rêves ? Où étaient ses amies, ses projets, sa liberté ? Tout s'était effondré sous le poids de Maximilien, s
règle, une nouvelle surveillance. Le téléphone, qu'elle croyait encore pouvoir utiliser en secret, était désormais surveillé. Elle n'écrivait plus à ses proch
ignait, tout en nourrissant au fond de son âme cette petite flamme de rébellion qui, bien que minuscule, refusait de s'éteindre complètement. Mais plus elle
ée sur son visage, comme pour signifier qu'il n'était pas un monstre. Mais sous cette apparence parfaite, il y avait le contrôle. L'isolement. L'angoiss
place pour ses rêves. Elle était enfermée dans cette cage dorée, une prison construite à coups de gestes, de mots