Sous contrat avec la mafia
montagne de nouvelles questions pesait sur ses épaules. Qui était l'homme avec qui Livio parlait ?
a tension de la soirée retomber. Mais alors qu'elle vida
ns sa main une
evint. Elle avait trébuché près des caisses où Livio discutait. Dans la panique, elle avait ramassé que
it pas un obj
ns son ordinateur portable. Le dossier qu'elle ou
ssemblait à un entrepôt, entouré d'hommes armés. La qu
qu'il n'y a pas de négociation pos
que Clara ne comprit pas, mais ce fut la ph
avers de notre chemin, il se
ccadé. Elle sentit les larmes monter, mais les refoula
nsa à Anton. L'homme qui, quelques heures plus tôt, avait parta
de cet homme, celle qui n'hésitait pas à an
avait-elle l'impression qu'elle-même était en train
Depuis plus d'une heure, elle explorait le contenu de la clé USB, et à chaque nouveau fichier, son cœur se serrait un peu plu
e d'une pièce, une expression d'autorité implacable sur le visage. Auto
, ils doivent comprendre qu'il n'y aura pas de deuxi
n. Un homme d'une soixantaine d'années, aux traits familiers, apparaissait brièvement en arrière-plan. Elle
e penchant davantage vers l'
ais imaginé qu'il soit impliqué dans ce genre de situation. Et sur
ce qu'il appelait "la liste de ses offenses". Luigi supplia, d'abord calmement, puis avec une panique croissante, mais Anton ne broncha pas. À la
uement l'ordinateu
ra-t-elle, ses mains tremblan
Elle n'était pas horrifiée seulement par les actions d'Anton. **Elle é
-
a respiration encore légèrement irrégulière. Anton l'attendait dans le
un sourire charmeur. "T
nière heure à hésiter entre confronter Anton directement o
en ajustant nerveusemen
oir. La table était dressée avec une élégance parfait
iqua-t-il en s'asseyant en face d'elle. "Avec tout
qu'une boule d'angoisse
, exactement ?" demanda-t-elle,
il, un sourire amusé
oi cette
yant de ne pas montrer à quel
réoccupé ces derniers temps
e, son regard se fa
quées. Mais tu n'as pas à t'en soucier. J
? Comme Luigi Ferrera ?** Elle garda cette pensée pour elle, ma
nt, changeant de ton pour un registr
orgée de vin pou
encore un peu nouveau
e, comme s'il comp
cile. Mais je veux que tu sach
e, la déstabilisèrent. Était-ce une façade ? Une
rça un
rci,
-
t un travail urgent. Elle avait besoin d'espace, de tem
t si rassurantes, semblaient étrangement menaçantes sous la lumière tamisée.
rouver un semblant de calme, u
tinctivement, bien que son fr
e rép
la chamade. Puis, elle remarqua une enveloppe posée sur le comptoir
oppe et en sortit une simple feuille de papier.
r vivant ? Alors,
gts. Son esprit tournait à toute vitesse. **Que signifiait c
pliqué, elle risquait de précipiter Marco dans un danger encore plus grand. Et s'il ne
s elle les refoula. Elle n'avait pa
sûre : elle devait agir vite, mais avec prudence. Et pour cela,