Sous contrat avec la mafia
vérité, elle avait besoin d'un moment seule, loin d'Anton, pour réfléchir. Giulietta
?" demanda-t-elle en so
a hé
l'entourage d'Anton sait quelqu
io, Giulietta esquis
urs tableaux. Mais méfie-toi, Clara. Si tu veux te
ujours eu cette aura de mystère, mais elle n'avai
preuves ?" de
haussa l
avec Giulia récemment. Et crois-moi, ces de
Giulietta semblait honnête, mais dans ce m
rsation à voix basse avec Giulia, dans un coin reculé de la galerie. El
disait Giulia, le ton agacé. "Anton v
a voix basse mais ferme. "Et si on jou
? Travaillaient-ils ensemble pour détruire Anton ? Ou étai
ais ses pensées tourbillonnaient. Pouv
nouveau message sur son téléphone. Une voix fro
coffre d'Anton. Récupère-la et apporte-la à l'
léchir. Ils savaient. Ils
au d'Anton sans qu'il s'en aperçoive ? Et même si e
salon, leva les yeux de son j
-il, ses yeux noirs perçant
, puis força
juste fa
e refermait sur elle. Et bientô
ux épais qui coupaient la lumière extérieure rendaient l'atmosphère oppressante, presque suffo
ombien de temps lui restait-il avant qu'il ne rentre ? Peut-être
ois, notant ses gestes lorsqu'il y accédait. Après quelques secondes d'hésitation, elle tourna la molette, reproduisant le code qu'elle ava
rangés dans des chemises en cuir. Sous ces dossiers, la clé qu'elle cherchait reposait, petite m
evait-elle fouil
mpagnées de rapports détaillés. Les noms inscrits lui étaient étrangers, mais les visages... Certains lui semblaient vaguement familiers. Des chef
rçant. C'était le père d'un de ses anciens amis d'enfance, un homme qu'elle avait rencontré plusieur
eutralisé."** Les mots étaient écrits en rouge, d'une
dans la serrure de l'entr
clé, qu'elle glissa dans la poche de sa veste. La bibliothèque c
Cla
argée d'une pointe d'interroga
e, sa voix légèrement plus ai
e la porte, sa silhouette imposant
ce que tu
chant de garder une
e voulais noter quelques idées pou
ement plissés, comme s'il essa
? Tu sais que tu au
s épaules, feig
, et je ne voulais
oment, puis un sourire s
. J'ai quelque ch
lon, où un grand tableau était posé contre le mur. Une toile, apparemment récent
pour toi. Je sais combi
entit désarçonnée. Était-ce une manipulation ? Une façon de l'amadouer ? Ou peut-être, juste peut-êt
ra-t-elle, incapable de dissim
posant une main lé
s que, malgré tout, tu
ntexte, auraient pu avoir du sens. Mais ici, maintenant, ils
-
son esprit encore embrouillé par les événements de la soirée. La clé était cachée dans
r sa table de chevet. Une bizarrerie dans le poids du vase attira son at
on cœur battant à t
. Quelqu'un l'espionnait. Était-ce Anton ? Giul
e ombre, chaque bruit dans le silence noctu
ien n'ét