Sous contrat avec la mafia
lampadaires délabrés projetaient des ombres inquiétantes sur les murs délabrés. Giulia coupa le moteur à
chuchota Giulia en sortant un coute
n'avait jamais vu cette facette de Giulia, cette assurance presque fro
r sur le sol. Arrivées près d'une porte latérale entrouverte, elles s'immobilisèrent, éco
Giulia en tournant s
nte ses jambes trembler. Elles pouss
une odeur de métal et de poussière saturait l'air. Elles progressèrent lentement, leurs yeux scrutant chaque recoin. Clara
les figeant sur place. Giulia attrapa Clara
s," murmu
elles puissent compter sur cette chance. Giulia attendit qu'il disparaisse avant de reprendre leur progression. Enfin
t on sort. Pas de questions, p
de pouvoir garder son sang-froid si el
nts éclata autour d'elles. Des projecteurs s'allumèrent, les aveuglant temporairement, et des voix cri
hurla Giulia en bra
agilité stupéfiante, le neutralisa en un mouvement rapide. Clara recula, paniquée, tandis que Giulia affrontait
lumière crue et les cris la désorientaient. Elle
!" cria-t-e
porte, bousculant des caisses et renversant tout sur leur passage. Une fois deho
rombe, les mains cr
à," murmura Clara, le
plus tendue que jamais, ses lèvres pressées en une fine ligne. Cl
-
ait à poindre. Giulia arrêta la voiture à une cent
e peux apprendre sur cet entrepôt. Peut-être
ement, mais une peur plus grande la saisit lorsqu'elle franchit la porte de
En atteignant sa chambre, elle ouvrit la porte avec soulagement, mais son soulagement fut de co
to
n sourire en coin qui n
e, presque calme. "Nous devons parler.
la pièce, la laissant seule avec une
mais il était impossible de m'abandonner à cette fatigue. Anton savait. C'était dans son regard, dans son ton si calme qu'il en devenait terrif
s dans son fauteuil préféré, une tasse à la main. Il ne leva pas tout de suite les yeux vers
da-t-il, sa voix posée mais tei
nt de maintenir un ton neutre. « Je suppose
oi. Son regard perçant semblait me disséquer, cherchant à l
ourtant, tu semblais bie
e suite. Je savais que chaque seconde de silence jouait contre moi, alors
e en haussant légèrement les épaules. « J'ai
aitement avec le bord de sa tasse. Puis, il se leva et s'ap
ment, « ceux qui mentent ou qui trahisse
être criait de partir, de fuir, mais je me forçai à rester
on, » dis-je, ma voix tremblan
laissant seule dans le silence oppressant du salon. Je me laissai tomber dans un fauteuil, le souffle court, e
-
que parole pesée pour éviter de trahir quoi que ce soit. Mais je savais que je ne pouvais pas rester passive.
nsable, que je faisais encore partie de ses plans, il hésiterait peut-être à douter de moi ouvertement. Et puis, ce genre de rassemblement était tou
ansformée en un espace élégant mais intimidant, avec des chandeliers imposants et une vaisselle en argen
i semblait trop parfaite pour une simple assista
passe avec Anton ? » de
répondis-je sans détour. « Ma
jeta un regard rapide autour de nous
oue bien nos cartes, ç
n entrée dans la pièce, vêtu d'un costume impeccablement tai
désignant la table dressée. « Tu
n était difficile à déchiffrer. Était