Pourquoi? Parce que nous sommes les filles !
oduc
, continentale et mondiale, ne peuvent s'opérer sans l'apport et l'implication significatifs des femmes. Une femme est d
es ou non, ont la lourde responsabilité de suivre, seules, l'éducation d
alphabète peut transmet
sui
e une analphabète
t la non/sous scolarisation des filles, que nous avons
qu'elles subissent, leurs limites, leur incapacité à faire face aux événements dont elles sont victimes, il es
sillage que j'étale les conditions déplorables, vulnérables et piteuses des jeunes filles. « Pourquoi ? Parce que nous sommes des filles ? » Relate l'amour qu'a le personnage principal Naïmatou pour l'école. Naïmatou passera par des difficultés inimagina
ner le lecteur à comprendre la portée d'un fait social, de se mettre à la place des différents personnages
d
e la vue des cabanes joliment tissées attirait des touristes. Les mœurs et les traditions des gens de cette zone nous donnaient l'impression d'être dans un m
croirait facilement que c'est l'unique langue du coin. Ce qui est assez frappant, ce sont les salutations. On dirait que les gens de cette localité ont toujours à se dire. Les salutations se déroulent d'une manière particulière. . Lorsqu'ils se croisent, ils se saluent longuement cela dépasse l'ente
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éalablement couvert de nattes. Tous les hommes mangeaient ensemble dans un plateau où l'on servait le repas, du plus petit au plus grand. De même les femmes, elles mangeaient toutes dans un
tranger voulait obtenir une quelconque information d'une femme, elle cachait son visage et partait sans dire un mot ou alors regardait l'étranger en face d'elle comme un monstre et pressait le pas, question de fuir. Lorsqu'une femme rencontrait un homme de la localité, elle
s institutrices. Non, il n'y avait que des instituteurs dans leur école. En fait les enfants de la localité savaient que la femme était fait
atou étaient déjà parents d'une fille. Il était impatient et anxieux bien que ses compagnons fussent à ses côtés. En réalité, ces derniers n'étaient point là pour le rassurer. Ils étaient là comme prétendants en vue de proposer chacun d'eux une importan
nifiait que l'enfant était de sexe féminin. Si elle sortait avec un enfant, cela prouvait que c'était un garçon. Dans ce cas, celui – ci était remis au papa qui à son tour effectuait quelques rituels pour un accueil digne d'un prince, d'un héritier. Si le bébé était mort -
mmes d'argent pour l'avoir pour femme. Le premier dit : un million, le second monta les enchères à un million cinq cent mille et un autre à deux millions. Pendant un bon moment, les enchères tournaient autour de deux et deux millions et demi. Puis, un homme qui ne s'était pas prononcé depuis le début de la discussion dit : trois millions de francs CFA. Cette somme vint intimider les autres qui se turent. Ains
n ou de la bière, non ! Pas du tout !Il s'agissait plutôt de la bouillie faite à base de maïs, de soja ou de riz a
au sexe de l'enfant. Or la femme n'a pas toutes les cellules sexuées, elle a uniquement la cellule sexuée X, alors que l'homme a à la fois les cellules X et Y. Lorsqu'il donne à la femme la cellule X, elle donne naissance à une fille. Quand il donne à la femme la c
rendre une autre femme qui lui donnera p
nd on les voyait, elles avaient l'air d'être grande - sœur et petite - sœur. Il n'y avait pas de distinctions entre elles, ou entre les futurs enfants, elles ne se haïssaient pas. On ne disait pas ma demi-sœur ou mon demi-f
ant, les citadins se demandaient toujours comment ces individus réussissaient à vivre cinq dans une pièce. En réalité même en ville, ils avaient
mois plus tard, elle va donner naissance à un enfant de sexe féminin. Le mari, très en colère, va cette f