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Pourquoi? Parce que nous sommes les filles !

Chapitre 5 Mariage précoce

Nombre de mots : 1807    |    Mis à jour : 11/09/2021

elle était touchée par ces arguments et raisonnements

nier à trouver des sol

reposer : tu seras la répétitrice

qui m'aidera à garder ma mémoire

t son petit - frère auront leurs diplômes (C.E.

ne seule chose :

n'en sach

Autrement je me mettrais dans des prob

liba que Naï aidait ses petits -

ge pr

nt tenir une maison, comment aimer son époux, comment vivre avec ses coépouses, comment être respectueuse et faire la bonne cuisine. Vu que le moment de se marier était proche, elle était maintenant moins présen

après qui l'honorèrent également par la naissance des garçons, faisant ainsi de Kaliba une femme ordinaire, une reine découronn

se de sa grande sœur. Il était le premier, non seulement de son centre d'examen, mais aussi de toute sa région. Au niveau national, il occupait la deuxième position. Balis en fut ravi et le

ait exactement comme sa mère le voulait : une bonne femme au foyer. C'est même en exultant qu'elle disait à sa petite sœur Naï que son moment était proche. Elle se disait qu'elle, de toute évidence, était faite pour être femme au foyer. A cause des coutumes et des traditions, el

ra si c'est réjouissant ou non, qu'o

) dans la rigueur et le travail comme ce fut le cas avec Balisou, son frère aîné

uctions de sa maman, ne voulant entendre parler de mariage. Mais incapable de s'opposer, elle était impuissante. A ce propos,

année scolaire. La grossesse la fit arrêter ses études et oublier tous les rêves qu'elle avait. Abandonnée de tous, elle se retrouva seule à s'occuper de son enfant pour satisfaire leurs besoins. Bien maquillée, elle faisait partie des filles rôdant pas très loin des hôtels et qui att

irent une chambre. Monsieur Balis oublia que les filles de la ville n'étaient pas vierges comme l'étaient ses épouses ; elles entretenaient des relations sexuelles avec beaucoup d'hommes comme ce fut le cas avec celle qui était à ses côtés, malgré son jeune âge. Monsieur Balis qui s'était accoutumé à avoir des rapports sexuels sans prése

ents mille francs sans qu'elle ne dépense inutilement son énergie et son temps avec les

lle fille pour ses nuits mouvementées. Finalement, trois ans plus tard, monsieur Balis ne sut point, de toutes ses conquêt

indre son époux. Elle était éplorée

as s'engager, elle n'avait guère le choix. Dans cette localité et bien ailleurs, le mariage des adol

e trouverait un moyen de continuer ses études de ce côté. En ville contrairement

comme avant, mais cela n'était pas possible. Elle ne sut po

t nulle, elle jouait parfaitement à l'ignorante. Elle souhaitait être répudiée par ce dernier. Hélas, répudier sa femme ne faisait pas partie de leurs réclamations coutumières. Mais comme le mot exception fait partie du dictionnaire français, toute femme qui av

sait à celles-ci d'en regarder les images bien qu'il se dît qu'

oup d'attention. Il prit un vieux tuyau de gaz, la bastonna copieusement au point qu'el

ait sans gêne, oubliant l'horrible bastonnade. Elle avait même ses émissions préférées, qu'elle regar

ses rapports. Elle était émerveillée par le téléphone portable et l'ordinateur de celle-ci. Son époux lui avait interdit de visiter les voisins, mais celle - ci n'en faisait

r des objectifs bien définis pour sa vie. Cela la gênait beaucoup, elle é

ut enceinte, et neuf mois après

ns compliquées : son mari la surprit en train de lire un journal. Etonné,

t, négligeant le f

avait seulement trois mois. Son organisme était encore frêle. Elle perdi

prendre malheureusement. Elle se dit au fond d'elle : ça ira. Cependant, son ty

a part du contrat ! Il décida de se rendre au village afin que ce dernier j

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