Mariage sous tension
Cadi. Je vais pas venir. » Je répétais, agacé. De l'autre côté, sa voix insistante résonnait, me pressant. « Po
ant que j'aie pu réagir, il avait déjà raccroché. C'était toujours comme ça
s y aller. Être autour de son frère
nce. Il ouvrit la porte avec ce regard renfrogné, comme si tout le poids du monde reposait sur ses épaules. « Comment on appelle l
, fais-toi plaisir ! » Je levai une main, comme pour le défier, tandis qu'il s'approchait du pied de mon lit. « Tu fais quoi
e. « Hé, tu vas devenir avocat bientôt, non ? » J'ai ajouté, essayant de relancer la conversation sur autre chose. « Ouais, et alors ?
ndre. « Ce cerveau est trop grand pour toi. » lança-t-il avant de claquer
enfilait déjà sa veste. « Tu vas où à cette heure ? » je demandai, sceptique. « L'épicerie
s yeux. « Non, je te crois pas. Tu vas chez notre tante, c'est ça ? » dis-je en le taquinant. Il me repoussa gentiment. «
laissai tomber sur le canapé et allumai la télé. L'épuisement me gagna rapidement.
ns arrêt. Mon frère était-il revenu ? Je frottai mes yeux, encore enso
ils. « Qu'est-ce que tu fais ici, Fabian ? » murmurais-je en sentant l
ir Sandra, je suis sûre qu'elle sera ravie de te lai
« Mais oui, Sandra ! Celle à qui t'as donné ton num
n numéro à qui que ce soit. Ouvre, je suis cr
rd, les yeux plissés de fatigue. « Pourquoi t'es pas chez toi ? » demandai-je en r
m'étais assoupie quelques minutes auparavant. Toujours avec sa veste. Je soufflai encore une fois. « Fabian ! » J'essaya
e me retrouvai allongée contre lui avant même de pouvoir protes
taille m'en empêchèrent. « Lâche-moi. » grommelai-je. Ses bras se resse
ses jambes, son souffle chaud contr
nt le mien. « T'as pas passé la soirée avec ce type
pris aucune photo ensemble, si c'est ce q
ira ses lèvres. « T
ciel. « Moi, jalouse
que j'étais jaloux. » murmura-t-il
e répondit pas immédiatement, mais je sentais qu'il y avait plus. Un silence épais t
n mot, il retira sa veste et la laissa tomber négligemment sur le sol. Son regard ne croisa pas le mien, mais son silence pesait autant que la tension dans l'a
-je d'une voix incertaine, tentant de b
r de le fixer, mes yeux glissant sur ses épaules larges et son dos parfaitement sculpté. Mon cœur
ant. « Pourquoi tu me regardes comme ça ? » demanda-t-il, les yeux à moitié fermés, un