Mariage sous tension
?" demanda-t-il. "Chez moi, où tu crois ?" répondis-je en roulant des yeux. Alors que je tentais de me libérer, il me tira vers lui. "T'as ou
s la porte, sortis rapidement et me dirigeai vers l'entrée de la maison. Derrière moi, j'entendis la portière de la
es." Arrivée à la porte, je sortis mes clés. Alors que je m'apprêtais à entrer, la porte
e plaqua doucement contre le mur, son souffle brûlant contre ma peau. "Je veux juste un autre baiser," murmura-t-il, ses lèvres
protestai-je faiblement, mes mains se posant sur son torse pour le repousser. Mais il ignor
s nous séparâmes brusquement. "C'était quoi ça ?" demandai-je en remettant rapidement m
judas, je grognai d'agacement. Fabian, amusé, vint se placer à mes côtés. "C'est ton frère ?" de
ôté. "C'est Can," murmura-t-il, la voix pleine de mépris. Can, ce garçon un
. Can me tendit une rose rouge avec un large sourire. "Je l'ai cueillie pour toi," dit-il, pl
préfère les roses jaunes." Je roulai des yeux, décidée à ne pas laisser Fabian gâcher
... à bientôt !" dit-il avant de s'éloigner en courant. Je refermai la
t ?" grogna-t-il. Je le poussai doucement. "T'es juste jaloux," lui dis-je en riant. "J
avais-je atteint ma chambre que la porte s'ouvrit brusquement, révélant Fabian, un sourire es
va bien." Je regardai ma fermeture éclair, réalisant que mon sous-vêtement rose était exposé. "Sors d'ici
is je ne pouvais m'
, sous une lune pleine, où l'on ne savait jamais trop si l'obscurité étouf
olets étaient fermés, mais j'entendais chaque bruit de la rue, chaque voiture qui passait, chaque murmure porté par le
'où ça venait. Fabian était là, assis à côté de moi, un sourire en coin accroché à son visage. "T'es là pour me faire passer une au
t-il en s'étendant à mes côtés, son bras passé sous sa tête. "Et si ton frère débarque ? Hein ? Il te casserait la gu
n insouciance habitant toujours ses gestes. Mais il y avait quelque chose dans ses yeux
un lion lent, toi". Il éclata encore de rire. Ce rire... Il m'avait toujours apaisée et rendue folle à la fo
, murmura-t-il contre ma peau, me faisant frissonner. "Tu ne sais même pas qui je suis, mon vieux", lui ai-je
ait trop. Mais en même temps, comment résister à quelqu'un qui semblait savoir exactement quoi di
sous ma tête, me tournant face à lui. Je l'observais, ce visage que je connaissais presque par cœur. Il
Je l'embrassais doucement sur la joue, une impulsion que je regrettais aussitôt. "Qu'est-ce que tu fais ?", murmura-t-il
aimer", murmura-t-il en m'embrassant doucement sur les lèvres, avant de me serre
veillant d'un coup. Merde, on était foutus. "Fabian, réveille-toi", murmurais-je en tentant de me dégager de ses bras. Ma
pide, presque volé. "Sérieux ? C'est vraiment pas le moment", soufflais-
ns ? On dirait que t'es tombée du lit ou quoi ?" Je lui jetai un regard exaspéré. "Exactement ça. J'suis
vec mes nerfs. Quand je retournai dans la salle de bain, il était là, à tripoter mes affaires, l'air de rien. "
is facile de se
s, résonnait dans toute la pièce, mais personne ne semblait réellement s'amuser. Tout le monde restait figé, comme si danser éta
s, m'a lancé un regard en coin avant de d
incapable de cacher mon ennui. C'était censé être une fête d'école entre filles, mais ri