Mariage sous tension

étais assise sur le bord de mon lit, mes pensées en désor

se ? m'a demandé Fabian, une l

? lui ai-je répondu,

tout le monde que

regardé,

dit de le faire. J'ai simpl

échapper u

romance, c'est absurde. Tu n'es q

'as pas utilisé ce terme q

enchait vers moi, murmurant mon nom d'un

uviens, n'

lon de sensations, me retrouvant

leur intense m'envahissant. Je l'a

jouter à cette tension délicieuse entre nous. Je pouvais sentir

és, et il y avait quelque chose de plu

a-t-il dit, l'espoir et l'ince

ent, consciente de ce qui é

u'on est en t

e par un bruit à la porte.

re, et j'ai immédiatement s

rait un tournant, mais je ne pouva

ixer comme si elle allait m'offrir une issue. Mais en vrai, j'avais fin

ture, et comme des automates, tout le monde a obéi. Moi, j'ai jus

t, même des détails que j'ai essay

ls m'ont ramenée à l'école, mais j'étais encore en plei

in de ranger ses affaires, j'ai attrapé mon sac, fourré mon

lle rassemblait ses affaires. « Ton frère vient te chercher ? » a-t-elle demandé en fronçant le

evrais l'appeler, mais juste à ce moment, mon téléph

is-je d'une

. Monte dans la voiture, » a répondu mon frère avant de raccrocher auss

e. « C'est Fabian, » dis-je d'une voix éteint

liers. Cadi m'a suivie, mais elle n'avait aucune idée de ce q

re le capot de sa voiture, bras croisés, il me re

mais je savais bien qu'elle n'avait aucune envie de monter avec nous. « Non, t'

e je ne puisse contourner le véhicule pour m'asseoir à l'arrière, il m'a coupé la route

ouveau vers moi. « Monte devant. » J'ai dégluti, ma

ot. Le silence était lourd, presque étouffant. Et

» Sa question m'a prise de court. J'ai secoué la tête, niant en bloc, mais il

je me souvenais du matin. C'était difficile d'oublier

rné vers moi, me prenant le visage entre ses mains avant de m'embrasser. J'ai ouvert de gran

naient fermement mes hanches tandis que je me pressais contre lui, sentant la chaleur monter

isage. Je n'ai pas répondu, mais mon corps parlait pour moi. Il m'a embrassée à nouve

« Tu goûtes... la fraise, » dit-il en souriant. « Mon baum

garde-toi, là, sur mes genoux... » J'ai souri malgré moi. « Je cherche jus

rçant avant de m'embrasser une nouvelle fois, et

urmurait : *Mon frère... s'il d

pas. Je détournais le regard, mal à l'aise, jusqu'à ce que ses yeux rencontrent les mien

ton sec. Il se pencha vers moi, et je reculai instinctivement, sentant la tension grimper. Un sourire se de

le voulais aussi." Sa réponse était froide, mais un éclat de malice dansait dans son regard. "Et si on se mariait juste parce que t